Les EL2 au Mexique transformés en test Pirelli : tout ce qu’il faut savoir

Max Verstappen (Red Bull) - ©️ Red Bull Content Pool
Max Verstappen (Red Bull) - ©️ Red Bull Content Pool

La deuxième séance d’Essais Libres ce vendredi au Mexique sera en réalité un test Pirelli dans le but de valider les pneus les plus tendres de la gamme 2025.

Les EL2 du Grand Prix du Mexique dureront une demi-heure de plus qu’une session d’essais libres classique, portant le total à 1h30 de roulage dédié à Pirelli.

Dans cette séance, les équipes auront un programme spécifiquement choisi par le manufacturier de pneus italien. Deux trains de pneus supplémentaires, sans couleur sur les flancs, seront fournis pour tous les pilotes : un train 2024 qui servira de référence et un train prototype 2025, homologué en septembre.

Le programme de roulage prévoit deux simulations, une en mode qualifications, et une en mode course, et cela pour chaque train de pneus. Une comparaison pourra être faite entre les écuries puisqu’elles auront toutes la même quantité d’essence et le même nombre de tours à effectuer pour chaque simulation.

Lire aussi : GP F1 du Mexique : à quelles heures sont programmés les EL1 et les EL2 ce vendredi ?

Une exception faite pour les pilotes qui ne participent pas aux EL1

Les EL1 du Grand Prix du Mexique verront plusieurs rookies remplacer les titulaires. Ces derniers bénéficieront alors d’une exception en EL2, n’ayant à effectuer qu’une heure de test Pirelli, et une demi-heure avec un train de pneus médiums spécialement alloué, leur permettant de ne pas être trop pénalisés par rapport aux autres.

Les nombreuses données récoltées seront utilisées en vue du test d’après-saison à Abu Dhabi, qui débutera deux jours après le dernier Grand Prix de la saison.

Ce test Pirelli au Mexique rajoute du défi aux écuries qui perdent ainsi une séance importante de roulage sur une piste qui sera verte en début de week-end, c’est-à-dire avec peu de gommes au sol et donc peu d’adhérence. Le circuit de Mexico est également particulier en raison de son altitude extrêmement haute pour un Grand Prix de F1, culminant à plus de 2000 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui jouera un rôle sur les monoplaces et les pilotes.

Lire aussi : Villeneuve estime qu’Hamilton “n’a pas le langage corporel d’un vainqueur”

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.