L’équipe Renault a particulièrement déçu ce samedi à Bakou lors de la séance de qualifications en raison d’un rythme incroyablement lent de la part de ses deux monoplaces.
Dix-huitième au terme de la séance de qualifications à Bakou, le pilote Renault Nico Hulkenberg n’aura même pas passé le stade de la Q1.
Le pilote allemand a seulement réussi à battre les deux monoplaces Williams et prendra donc le départ de la course depuis le fond de la grille ce dimanche en Azerbaïdjan.
« Depuis le début du week-end, je ne retrouve pas l’harmonie entre la voiture et moi. Nous n’avons pas trouvé le juste équilibre avec la monoplace ou les pneumatiques. » explique Nico Hulkenberg.
« Les événements en qualifications n’ont pas joué en notre faveur avec un drapeau jaune pénalisant mon premier tour lancé et un blocage de roue m’envoyant trop loin dans le deuxième. Il ne faut toutefois pas tirer un trait sur la course. »
« Nous savons que ce sera difficile, mais nous savons aussi ce qu’il s’est déjà passé ici. Nous devons être dans le coup et nous donnerons tout en course. »
Pour Alan Permane, directeur sportif de Renault, rien n’est encore perdu puisque c’est demain en course que les points seront distribués.
« Les qualifications n’ont pas été bonnes puisqu’aucun de nos pilotes n’a atteint Q3. Le week-end a été difficile et un peu haché, mais toutes les équipes sont logées à la même enseigne et cela fait partie des défis de Bakou. » explique Permane.
« Nico n’était pas totalement en confiance avec la voiture. En parallèle, Daniel était un peu plus à l’aise et il a réussi à passer en Q2 tout en étant très proche du top 10. Comme nous l’avons vu ces deux dernières années, tout peut arriver à Bakou et nous n’excluons rien pour la course demain. »