Le directeur de Pirelli en F1 confirme que le tracé du Mugello – qui accueillera le Grand Prix de Toscane le 13 septembre – est un circuit difficile pour les pneus.
C’est désormais officiel depuis ce vendredi, la F1 disputera le Grand Prix de Toscane le 13 septembre sur le tracé du Mugello en Italie, une semaine après le Grand Prix d’Italie qui se tiendra à Monza.
La dernière fois que Pirelli a fait rouler une monoplace moderne sur le circuit du Mugello c’était en 2012 lors d’un test, mais depuis, les F1 et les pneumatiques ont beaucoup évolué et Pirelli ne possède donc que très peu de données sur ce tracé.
« C’est génial d’avoir maintenant un calendrier composé de 10 courses. Le Mugello est un circuit que nous connaissons, car nous y avons couru avec d’autres séries. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli en F1.
« C’est un tracé qui est assez dur pour les pneus, donc, nous devons être bien préparés pour ce circuit. »
« A la mi-septembre, il est également possible d’avoir des températures élevées. La dernière fois que nous y sommes allés avec une Formule 1 c’était en 2012, donc il y a très longtemps. »
« Mais nous sommes vraiment heureux d’avoir une seconde course en Italie, parce que nous sommes Italiens et donc nous aimons l’idée d’une seconde course en Italie. J’espère que ce sera une grande course et une grande célébration sur ce très beau circuit. »
Il y a quelques semaines, la Scuderia Ferrari a fait rouler sa monoplace de la saison 2018 sur le Mugello dans le cadre d’une journée d’essais privés avec ses deux pilotes.