Le patron de la F1, Stefano Domenicali a mis fin au suspens hier au sujet de la présence du Grand Prix de France au calendrier 2023.
Le contrat entre les organisateurs du Grand Prix de France et la F1 arrivait à son terme à la fin du mois de juillet 2022 et n’a donc pas été renouvelé. Même si le calendrier de la saison 2023 n’a pas encore été publié, Stefano Domenicali a indiqué que la course au Castellet ne se tiendrait pas en 2023. Il n’exclut cependant pas un retour du Grand Prix de France dans les années à venir.
« Nous discutons avec la Fédération française et même avec le gouvernement parce que l’avenir est de plus en plus lié aux promoteurs qui voient cela comme un investissement pour le pays. »
« Les discussions sont donc tout à fait ouvertes pour un bel avenir. Et comme vous, le savez, une possibilité, non pas l’année prochaine, mais à l’avenir pourrait être une proposition de rotation qui permettrait à chacun de faire partie du calendrier. »
De nombreuses interrogations subsistent encore sur le calendrier 2023 mais le patron de la F1 a indiqué que les discussions se poursuivaient, notamment au sujet de la présence du Grand Prix de Belgique.
« Comme vous pouvez l’imaginer, je ne peux pas trop commenter le calendrier 2023, par respect des discussions et de la formalisation de celui-ci avec Conseil mondial du sport automobile et la FIA« , a-t-il déclaré.
« Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai vu des commentaires selon lesquels j’ai dit que la Belgique serait la dernière année [en 2022] – je serais prudent sur ce commentaire, je serais très prudent, c’est la seule chose que je dirais. » a conclu Stefano Domenicali.
La publication du calendrier officiel de la Formule 1 2023 est prévue à la fin du mois d’octobre.
Un symbole de plus du déclassement de la France à l’international.
Et de l’Union Européenne puisque c’est aussi le sort réservé à d’autres GP du continent.
Et c’est logique : lorsque les lois votées dans nos pays imposent un affaiblissement des industries pour des raisons écologiques, les autres pays du monde qui ne restreignent pas leurs industries en profitent.
C’est une décision misérable dans la lignée des Bernie Eclestonne.
L’argentier de la F1 avait jadis travailler à enterrer le GP de France.
Voilà l’argent est plus fort, une fois encore.
Il y a un différence : Bernie aimait la F1 et Mosley le contrait sur ses lubies. LM, Brawn et Domenicali sont en roue libre dans leur destruction de ce sport européen dans son ADN.