Quatorzième de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie, l’Espagnol Carlos Sainz a vécu l’un des vendredi les plus étranges de sa carrière à Istanbul aujourd’hui.
Tout comme les autres pilotes de la grille, Carlos Sainz a eu le plus grand mal à garder sa monoplace sur la piste ce vendredi en raison d’un tracé complétement resurfacé et extrêmement glissant.
« Il s’agissait de la session la plus étrange que j’ai faite de ma vie, le vendredi le plus étrange. » a déclaré Carlos Sainz ce vendredi soir à Istanbul.
« Avant d’arriver ici, nous pensions pouvoir faire des temps au tour en 1m22/1m23 et ce matin nous étions en 1m45… »
« Vous pouvez donc facilement imaginer à quel point c’était difficile, à quel point c’était délicat. C’était tellement étrange, mais en même temps, c’était un bon défi pour les pilotes ingénieux. C’est un défi différent que je suis prêt à relever. »
Le pilote McLaren a également connu un souci mécanique ce vendredi matin, ce qui l’a forcé à immobiliser sa monoplace sur le bord de la piste et à mettre fin prématurément à sa séance.
« Ce n’est certainement pas l’idéal d’avoir perdu tous ces tours ce matin, principalement parce que la piste est toute nouvelle pour moi et les conditions sont très difficiles. »
« C’est quelque chose que nous allons devoir examiner pour nous assurer que cela ne se reproduira plus, mais en même temps, j’ai pu faire pas mal de tours en EL2, donc, je me sens prêt pour demain. »
Enfin, lorsqu’on lui demande si le rêve de piloter sur la piste d’Istanbul est devenu une réalité aujourd’hui, l’Espagnol répond : « Ce n’était pas ce à quoi je m’attendais à cause de la surface de la piste. »
« Quoi qu’il en soit, aujourd’hui j’ai pris le virage 8 à fond, même avec ce manque d’adhérence sur la piste. Cela montre donc à quel point ces voitures seraient rapides et incroyables sans ce problème d’adhérence. Mais cela devrait s’améliorer au fil du week-end. »
Classement des EL2 à Istanbul
