Charles Leclerc se dit triste de ne plus pouvoir ressentir l’adrénaline derrière le volant de sa Ferrari au cours des prochains mois.
Le Grand Prix d’Abou Dhabi marque la fin de la saison 2019 de Formule 1 après 21 courses disputées tout autour du globe entre le mois de mars et le mois de décembre.
Après sa toute première saison en tant que pilote Ferrari, le Monégasque Charles Leclerc admet qu’il aura un peu de mal à rester sans piloter au cours des prochains mois, qui seront réservés au développement de la future monoplace de la saison 2020.
« Abou Dhabi, la dernière course de l’année ! La plupart des gens du paddock ont probablement hâte de partir en vacances, mais de mon point de vue, je suis triste à l’idée de ne plus ressentir l’adrénaline derrière un volant au cours des prochains mois. » explique Charles Leclerc.
« Lors de cette course, tout le monde pousse au maximum car, pour la plupart des pilotes, il n’y a plus rien à perdre. »
« La course débute le jour et se termine la nuit, ce qui est quelque chose de très spécial et que nous n’avons nulle part ailleurs. Un autre aspect est différent ici : c’est la dégradation des pneus. Nous devons nous y habituer et l’anticiper. »
« C’est toujours une course intéressante, j’attends juste avec impatience ma dernière sortie de la saison avec la Scuderia Ferrari. »
Après le Grand Prix d’Abou Dhabi, les équipes resteront sur le tracé de Yas Marina pour participer à deux journées de tests pour le compte de Pirelli. Il faudra ensuite attendre le mois de février 2020 lors des essais hivernaux pour voir de nouveau les pilotes en piste.