Romain Grosjean ne pense pas que la F1 moderne ait perdu son essence au cours des dernières saisons.
Le pilote français Romain Grosjean ne pense pas que la F1 moderne soit devenue terne au fil des années, contrairement à ce que beaucoup peuvent penser depuis l’introduction des moteurs hybrides en 2014.
Le pilote Haas, qui participera à sa cinquième saison avec la formation américaine en 2020, est bien conscient que l’équipe Mercedes, qui domine outrageusement la catégorie depuis 2014, est en partie responsable de ce sentiment général d’un manque de spectacle. Mais selon Grosjean, c’est aux autres équipes de faire en sorte de rattraper Mercedes.
« Pas du tout. En termes de dépassements, nous avons le plus haut niveau jamais atteint auparavant, donc, c’est assez positif, tout du moins par rapport aux années 90. » explique Romain Grosjean à FormulaRapida.net.
« D’un autre côté, Mercedes fait un travail incroyable, ils ne rendent pas le sport très excitant, mais ils font un meilleur travail que les autres, donc, c’est aux autres équipes de les rattraper. »
« De toute évidence, une équipe comme Haas n’a pas le même budget et les mêmes ressources, donc nous ne pouvons pas vraiment nous comparer, mais ils font définitivement du bon travail. »
Lorsqu’on lui demande quelle est, selon lui, la principale différence entre les F1 modernes et celles avec lesquelles il a début sa carrière, le Français répond : « Eh bien, j’ai roulé avec et sans le ravitaillement en carburant, avec des réglementations différentes, des pneus différents. »
« Chaque période a eu ses hauts et ses bas, mais les voitures d’aujourd’hui sont plus rapides qu’avant, elles sont incroyablement rapides, presque trop rapides pour se battre et dépasser pendant une course. »
« Mais elles sont amusantes à piloter et sont si belles, donc…chaque saison comporte ses faiblesses et ses forces. »
Si les Formules 1 2ème ère turbo ont la même puissance env. 750 CV + 130 CV él. en tout près de 1000 CV selon un documentaire de 2016 qui à tourné chez Renault GB et France, contre 750-1000 CV en course pour les F1 turbocompressées surtout 84-87, la grandes différance c’est que la consommation à été divisée par 2.5 et selon un ingénieur de chez Renault si la consommation était la même aujourd’hui qu’en 84-87 la puissance serait de 2000-2500 CV… Philippe Khaki.