Daniel Ricciardo admet qu’il aurait pu choisir de jouer au tennis si son papa ne lui avait pas transmis le virus du sport automobile étant petit.
L’Australien, natif de Perth, a très vite été fasciné par la vitesse et le bruit d’un moteur à explosion dans sa jeunesse, notamment grâce à son père, qui n’a pas hésité à le mettre dans un karting dès le plus jeune âge.
« J’étais très actif durant mon enfance. J’aimais le sport et je préférais toujours aller dehors plutôt que de jouer à la console à l’intérieur quand j’avais le choix. » nous explique Ricciardo.
« Mon père a fait un peu de sport automobile plus jeune, donc je passais les week-ends à le regarder sur les circuits. Je suppose qu’il m’a transmis le virus. »
« J’étais fasciné par le bruit et la vitesse. À l’école, les autres enfants faisaient du football ou du rugby, mais très peu de la course. C’était l’occasion d’être différent et j’adorais cela.«
Lorsqu’on lui pose la question de savoir ce qu’il aurait fait dans sa vie s’il n’avait pas été pilote de Formule 1, Ricciardo répond : « De façon assez réaliste, je dirais le tennis. » explique le pilote Renault. « J’ai pratiqué beaucoup de sports lorsque j’étais petit et c’était ma deuxième discipline préférée. »
« J’ai toujours apprécié les sports individuels où je pouvais avoir plus de responsabilités. J’aurais donc choisi de poursuivre la voie du tennis. »
Concernant ses meilleurs souvenirs en Formule 1 jusqu’à présent, Daniel Ricciardo admet que sa victoire à Monaco en 2018 pour Red Bull reste à l’heure actuelle en pole position.
« C’est toujours un sentiment particulier de s’imposer en F1, donc c’est formidable de l’avoir déjà vécu à sept reprises. La victoire de Monaco en 2018 était tout particulièrement satisfaisante. » explique t-il.