Qu’elle soit injuste ou non, la pénalité infligée à Lando Norris lors du Grand Prix des Etats-Unis ayant eu pour conséquence de voir le pilote anglais perdre la troisième place du podium au profit de son adversaire direct dans la course au titre, Max Verstappen, ne sera plus contestée par l’équipe McLaren.
Le team anglais a fait savoir de manière élaborée en quoi son interprétation des circonstances de course ayant mené à la pénalité de Norris, amené hors-piste par un Verstappen qui défendait sur un dépassement de la McLaren, différait largement de l’interprétation faite par les commissaires à la fois de la situation et du règlement sportif.
Néanmoins, Andrea Stella, directeur de l’équipe McLaren, souhaite désormais mettre cet épisode derrière et se concentrer sur les dernières épreuves de la saison, au terme desquelles le team peut encore briguer les deux couronnes mondiales 2024.
McLaren pourrait disposer d’un droit de révision de la décision prise par la FIA. Pour cela, il lui faudrait présenter d’ici jeudi une pièce significative et pertinente, qui n’aurait pas été évaluée par les commissaires lors de leur prise de décision initiale.
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Au-delà du fait que McLaren estime que la décision des commissaires n’avait absolument pas besoin d’être prise si hâtivement pendant la course et que les pilotes auraient dû être entendus après la course, il semble qu’aucun élément ne sera soumis par l’équipe anglaise, qui estime que les commissaires disposaient déjà, au moment de leur décision, de tout ce qui était nécessaire pour ne pas charger Norris, voire pénaliser Verstappen.
« Je pense qu’il n’existe pas de nouvelles preuves pertinentes », estime ainsi Andrea Stella. « Les uniques preuves que nous avons utilisées jusqu’à présent pour évaluer notre interprétation, en désaccord avec les commissaires, sont déjà disponibles ! »
« Si l’on ouvrait un droit de révision, je ne pense pas qu’il sera couronné de succès. Il n’est pas nécessaire d’avoir de nouvelles preuves. Il s’agit juste une question d’interprétation… »
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Après l’épisode de l’aileron arrière le mieux c’est effectivement de faire profil bas .
La décision à été prise lors du GP, jamais ils ne reviendrons sur leur décision sinon c’est la porte ouverte à toutes réclamations et cela pourrait faire jurisprudence.
Pour moi afin de limiter les sorties de limite de piste il devrait y avoir un mètre derrière le vibreur des quilles en plastiques, ces quilles pourraient être enlevé lors des GP moto.