Grand Prix du Mexique : Lando Norris triomphe et reprend la tête du championnat face à Piastri
Lando Norris a signé une victoire magistrale au Grand Prix du Mexique, reprenant les commandes du championnat du monde de Formule 1. Dominé par Oscar Piastri durant les 15 dernières manches, le Britannique profite de la contre-performance de son coéquipier McLaren à Mexico pour reprendre l’avantage d’un seul point, à quatre courses du terme de la saison.
Norris décroche ainsi la dixième victoire de sa carrière, devant Charles Leclerc et Max Verstappen. Ollie Bearman réalise quant à lui une remarquable quatrième place, tandis que Piastri ne peut faire mieux que cinquième, notamment en raison d’une voiture de sécurité virtuelle déployée en fin de course. Cette décision, jugée controversée, a empêché Verstappen et Piastri — tous deux prétendants au titre — de tenter une remontée dans les derniers tours, après la sortie de piste de Carlos Sainz.
Un dépassement supplémentaire aurait permis à Piastri de conserver la tête du championnat.
Départ mouvementé
La course, longue de 71 tours, a débuté dans la confusion. Leclerc et Verstappen ont manqué le premier virage après un départ à quatre de front, tandis que Norris, parti en tête, conservait la première place à la fin du tour initial, après que Leclerc a dû restituer un avantage obtenu hors piste.
George Russell s’est emporté à la radio contre Verstappen, coupable selon lui d’avoir traversé l’herbe pour garder la quatrième position. Le Néerlandais, seul pilote du top 5 parti en pneus médiums, a néanmoins été signalé à la direction de course pour cet épisode, tout comme son accrochage musclé avec Lewis Hamilton au sixième tour, qui l’a vu repousser la Ferrari hors de la piste.
Russell, pris dans la confusion, a chuté à la septième place, tandis que le jeune Ollie Bearman profitait du chaos pour se hisser au quatrième rang.
Alors que Norris s’échappait avec trois secondes d’avance dès le neuvième tour, Piastri, en difficulté dans la seconde McLaren, stagnait à la neuvième place. Leclerc et Hamilton suivaient le leader, Verstappen pointant cinquième derrière Bearman, hors de portée du DRS. Les commissaires ont ensuite ouvert plusieurs enquêtes, notamment sur Carlos Sainz et Fernando Alonso pour avoir quitté la piste, sans donner suite.
Au 15e tour, la hiérarchie s’est figée, avant l’abandon de Liam Lawson (Racing Bull) après un incident évité de justesse avec des commissaires sur la piste. Norris, solide leader, comptait alors cinq secondes d’avance sur Leclerc.
Hamilton, troisième, écopait de 10 secondes de pénalité pour avoir gagné un avantage en sortant des limites de piste face à Verstappen, un coup dur pour le septuple champion qui visait son premier podium avec Ferrari. Le Néerlandais, lui, était blanchi pour un incident similaire.
Carlos Sainz lançait ensuite la valse des arrêts au 19e tour, mais un excès de vitesse dans la voie des stands lui valait une pénalité de cinq secondes.
Hamilton s’arrêtait au 23e tour, perdant un temps précieux avec sa sanction. Bearman imitait le mouvement un tour plus tard, tout comme Piastri, qui parvenait à ressortir devant la Ferrari. Devant, Norris gérait parfaitement son avance, insensible aux multiples rebondissements derrière lui.
Stratégies et moments de tensions
La seconde salve d’arrêts bouleversait de nouveau la course. Verstappen, dernier des leaders à s’arrêter au 37e tour, ressortait derrière Hamilton mais disposait de pneus plus frais pour la fin.
Chez Mercedes, Russell exprimait son mécontentement face à Antonelli, qu’il jugeait trop lent devant lui alors qu’il visait la troisième place. Malgré les tensions, l’équipe ordonnait finalement un échange de positions.
À l’avant, Norris s’envolait avec 20 secondes d’avance sur Leclerc, tandis que Bearman résistait brillamment à Russell pour conserver la quatrième place provisoire, en vue d’un premier podium pour Haas.
Piastri, relancé par une stratégie à deux arrêts, dépassait Ocon et Russell pour remonter au cinquième rang, gagnant des points cruciaux dans la lutte au titre.
Dénouement sous voiture de sécurité virtuelle
La fin de course voyait Verstappen revenir sur Leclerc pour la deuxième place et Piastri se rapprocher dangereusement de Bearman. Mais la sortie de piste de Sainz dans le stade déclenchait une voiture de sécurité virtuelle, figeant le classement.
Relancée brièvement dans les derniers virages, la course s’achevait sans changement : Norris s’imposait devant Leclerc et Verstappen, Bearman signait un superbe quatrième rang, et Piastri devait se contenter de la cinquième position.
Une conclusion frustrante pour le pilote australien, qui perd la tête du championnat — et un triomphe éclatant pour Lando Norris, désormais de retour aux commandes.
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