Hülkenberg admet se trouver dans une situation confortable et agréable

Nico Hülkenberg Haas
Nico Hülkenberg dans le cockpit de sa Haas

Nico Hülkenberg admet volontiers se trouver dans une position confortable et privilégiée pour la première fois de sa carrière en sachant bien en avance pour quelle équipe il pilotera l’an prochain en Formule 1. 

L’annonce a été officialisée quelques jours avant le Grand Prix de Miami : Nico Hülkenberg quittera l’écurie Haas à la fin de cette saison 2024 pour rejoindre Sauber (actuellement Stake F1) l’an prochain, avant de débuter en tant que pilote Audi à partir de 2026 lorsque le constructeur allemand arrivera en Formule 1 avec son équipe d’usine.

Plus habitué à devoir attendre la dernière minute pour trouver un baquet en Formule 1, Nico Hülkenberg admet que le fait de savoir de nombreux mois en avance où il sera l’an prochain est une situation très confortable dont il profite sans remord.

« En fait, il n’y a pas grand chose à gérer, tout est théorique. Cela commencera dans six ou sept mois. » a déclaré Nico Hülkenberg lorsqu’on lui demande comment il gère le fait de connaître si tôt dans la saison sa prochaine destination.

« C’est en fait assez confortable pour moi pour la première fois de ma carrière, vous savez, de savoir que je suis en quelque sorte en sécurité et que je sais où est mon avenir et que je regarde le jeu des chaises musicales à distance. »

« C’est une situation confortable et plutôt agréable. Comme je l’ai déjà dit, d’habitude j’étais de l’autre côté, donc c’est bien de ce point de vue. »

« Mais pour le moment, je suis juste concentré sur ma saison avec Haas, Pour l’année prochaine, comme je l’ai dit, tout est encore théorique et encore assez loin. »

Dans sa carrière, le pilote allemand a roulé pour Williams, Sauber, Force India, Racing Point, Aston Martin, Renault et Haas. 

2 Comments Laisser un commentaire

  1. Pour les voitures de 2026, on nous parle beaucoup de E fuel…..
    Présenté comme une alternative écologique à l’essence actuelle …
    Comme bien souvent, c’est, hélas, totalement faux :
    Les carburants de synthèse ou électro-carburants, dits « e-fuels », sont produits à partir d’électricité renouvelable ou bas-carbone, de dioxyde de carbone ou d’azote dans le cas de l’e-ammoniac, et d’hydrogène issu d’électrolyse.
    Comme chacun sait, 60% de l’électricité mondiale est produite par des énergies fossiles (fuel, charbon)… Alors ok, sur la piste elles polluront moins… mais si on réfléchi en polution globale, c’est un zéro pointé !
    Et on occulte souvent que la plus dangereuse pollution vient des micro particules libérées par les pneumatique !l
    Selon Emissions Analytics… Les quatre pneus d’une voiture émettent 1 000 milliards de particules ultrafines par kilomètre parcouru. Ces particules sont si minuscules qu’elles peuvent passer à travers les tissus pulmonaires dans la circulation sanguine et franchir la barrière hémato-encéphalique, ce qui a des conséquences inquiétantes sur la santé.
    Alors en F1 !!
    Alors, assumons nos contradictions et continuons à la regarder… Mais, par pitié, pas de fausses promesses écologiques !

    • De toute façon, tout pollue….
      Puis la planète est passée de l’ère glacière a l’actuelle sans être industrialisé!
      C’est bien qu’elle se réchauffe toute seule….

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Cesare Ingrassia

Cesare Ingrassia est le directeur de la publication du site d'actualités sur la Formule 1, F1only.fr. Véritable passionné, Cesare Ingrassia est accrédité par la FIA et la F1 et se déplace de paddock en paddock pour vous offrir une couverture totale de chaque événement tout au long de la saison.