La F1 rediffuse ce mercredi 15 avril le Grand Prix d’Espagne 1996 au cours duquel Michael Schumacher a décroché sa première victoire avec Ferrari.
L’histoire a montré que la Ferrari F310 pilotée par Michael Schumacher n’était pas l’une des plus grandes machines construites par la Scuderia Ferrari, mais lors de ce dimanche après-midi pluvieux en juin 1996, l’Allemand a tout de même réussi à décrocher sa toute première victoire avec la Scuderia.
Largement battu par la Williams de Damon Hill en qualifications [plus d’une seconde d’avance], Michael Schumacher n’avait quasiment aucune chance de remporter le Grand Prix d’Espagne 1996 au volant de sa Ferrari.
Mais quelques heures avant le départ de la course, des trombes d’eau s’abattent sur le tracé de Catalunya, obligeant les officiels à se poser la question de savoir s’il ne fallait pas annuler l’épreuve.
Finalement, une brève interruption de la pluie avant l’extinction des feux permettra aux pilotes de prendre un départ normal.
Après un départ raté, Schumacher se retrouvait sixième à la fin du premier tour de course, derrière Gerhard Berger et son propre coéquipier chez Ferrari Eddie Irvine.
Mais très vite, Damon Hill ira encastrer sa Williams dans un mur et les sorties de piste en cascade en raison d’un tracé complétement détrempé, vont permettre à Michael Schumacher de remonter dans la hiérarchie au volant d’une Ferrari réglée pour la pluie. Le pilote allemand tournait alors près de quatre secondes plus vite que son rival le plus proche, Jacques Villeneuve.
Au final et malgré la perte de deux cylindres sur le moteur V10 de sa Ferrari, Schumacher s’imposera devant un certain Jean Alesi et Jacques Villeneuve.
Le Grand Prix d’Espagne 1996 sera rediffusé ce mercredi 16 avril à 20h00 (heure de Paris) sur les canaux de communication officiels de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.
Evidemment, le seul pilote de la grille à disposer d’un mulet sur toutes les courses du championnat et déjà régler pour la pluie. ceci explique cela…et tous les championnats gagnés car pilote N°1 chez Ferrari.
L’avantage que cela lui procurait pendant que les autres écuries ne désignaient pas de pilote N°1 comme chez McLaren (Hakkinen/ coulthard) ou Williams (Montoya/Ralf) dans le début des années 2000 qui devait se partager le mulet une course sur 2. Le seul a le battre à cette tactique Briatore avec Alonso chez Renault.