L’organisation du Grand Prix de France a tenu à réagir aux récentes déclarations faites par le PDG de la Formule 1, Stefano Domenicali, qui a annoncé à la veille du Grand Prix de Belgique que la manche française ne ferait pas partie du calendrier de la saison 2023.
Ce mercredi soir à Spa, le PDG de la Formule 1, Stefano Domenicali, a mis fin au suspens au sujet de la présence du Grand Prix de France au calendrier 2023 en indiquant que la course au Castellet ne se tiendrait pas l’an prochain. Toutefois, Domenicali a laissé la porte ouverte à une proposition de rotation de certaines courses afin de garantir leur présence au calendrier à l’avenir tout en accueillant de nouvelles destinations.
Du côté du Grand Prix de France, l’organisation a publié ce jeudi un court communiqué de presse dans lequel elle prend acte de la décision de la F1 de ne pas reconduire le contrat pour 2023 et confirme que l’option d’une possible alternance dans les années à venir reste à l’étude : « Le Grand Prix de France de Formule 1 prend acte des récentes déclarations de Stefano Domenicali, président de Formula 1, sur son absence au calendrier de la saison 2023. »
« Après le succès important de son édition 2022, le Grand Prix de France, la Formule 1, et l’intégralité des parties prenantes du Grand Prix continuent de travailler ensemble sur la présence de cet événement dans le calendrier dans les années à venir, et notamment un système d’alternance. »
« Le Grand Prix de France de Formule 1 tient à remercier ses clients, l’ensemble des administrateurs de son GIP, le circuit Paul Ricard et l’ensemble de ses partenaires pour leur soutien sans faille. »
— Grand Prix de France F1 (@GPFranceF1) August 25, 2022
Sinon la France peut aussi dire aux pontes de la f1 de se mettre des parcmettres dans le fessier, pourquoi c’est pas le gp inutile d’Italie qui dégage avec son circuit tout droit nulissime ou les grands prix des pays du désert…