Après avoir prononcé le fameux “F-Word” en conférence de presse à Mexico, Charles Leclerc est finalement convoqué chez les commissaires ce vendredi à São Paulo.
Les affaires de gros mots en conférence de presse font décidément l’actualité ces dernières semaines. Alors que Max Verstappen avait prononcé le fameux “mot en F”, très utilisé en anglais, lors de la conférence de presse du jeudi à Singapour, il avait été sanctionné de travaux d’intérêt général.
Une sanction qui avait fait polémique, et qui avait même poussé Verstappen à donner les réponses les plus courtes possibles dans les conférences de presse officielles suivantes.
Le sujet est donc revenu sur la table à la fin du week-end dernier, lorsque Charles Leclerc, en conférence de presse d’après-course, avait lâché malencontreusement un “F-Word”, au moment de décrire sa frayeur en fin de course dans le dernier virage.
Très vite, le Monégasque s’était repris : “Désolé. Oh non !”, avant d’ajouter en rigolant : “Oh non ! Je ne veux pas rejoindre Max.” Un membre de la FIA était ainsi venu lui parler à la fin de la conférence de presse.
Leclerc being spoken to by an FIA official after dropping an F-bomb in the post-race presser.
After doing it Leclerc immediately laughed and said: “Oh no, I don’t want to join Max!”
Max got community service for swearing during an FIA presser in Singapore. pic.twitter.com/r9i84VEq4F
— Nate Saunders (@natesaundersF1) October 27, 2024
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Les déclarations de Verstappen responsables de la convocation de Leclerc ?
Toutefois, contrairement à Max Verstappen, Charles Leclerc n’avait pas fait l’objet du convocation de la part des commissaires suite à ce langage. Une différence de traitement que le Néerlandais ne s’est pas privé de mettre en avant ce jeudi lors de la journée médias à São Paulo.
“Apparemment ça ne compte que pour moi de toute façon, parce que, vous savez, après la course au Mexique, quelqu’un a dit un gros mot. Je n’ai rien entendu”, avait indiqué Verstappen en conférence de presse ce jeudi.
Il avait également abordé le sujet à une autre reprise dans le paddock de São Paulo : “C’est bizarre. En fait, ce qu’il [Charles Leclerc] dit est pire que ce que j’ai dit dans le contexte, et c’était une conférence de presse beaucoup plus importante avec plus de gens qui regardaient. Mais vous savez, je ne vais pas m’attarder là-dessus. Les choses sont ce qu’elles sont.”
Coïncidence ou non, Charles Leclerc a finalement été convoqué chez les commissaires ce vendredi à 21h45 (heure française), officiellement pour son “langage lors de la conférence de presse d’après-course de la FIA au Mexique.”
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