L’édition 2023 du Grand Prix de France Historique organisée sur le circuit Paul Ricard au Castellet ce week-end de Pâques a battu tous les records grâce à un plateau impressionnant de monoplaces et une course d’endurance de GT et Protos.
Ce week-end de Pâques fut l’occasion unique de revoir en piste des Formule 1 emblématiques des années 1970 aux années 2000, ainsi que des Formule 2, Formule 3 et autres Formule Ford, à jamais inscrites dans l’histoire du sport automobile.
Pour compléter le spectacle, le Grand Prix de France Historique a accueilli samedi soir la course d’endurance de six heures de V de V Sports réservée aux GT, Tourisme et Sport Prototypes de 1947 à 1990. L’occasion de revoir en piste Jean Alesi qui partageait le volant d’une Lotus Elan avec Philippe Gache, Stéphane et Jean-Pierre Richelmi.
Accessible dès vendredi, le Grand Prix de France Historique a tenu toutes ses promesses en terme de spectacle en piste. Le public a pu aller à la rencontre des pilotes qui on fait la légende du sport automobile français : Jean Alesi, René Arnoux, Franck Montagny, Yannick Dalmas, Eric Hélary, Soheil Ayari, Jean-Pierre Jarier ou encore Tristan Gommendy.
Au plus proche des spectateurs, Peter Mann a fait rugir sa Ferrari F2008, engagée par la Scuderia Ferrari dans le championnat du monde de Formule 1 en 2008 pour Kimi Räikkonen et Felipe Massa.
« Ces trois jours de fête prouvent qu’il y a un véritable engouement pour les sports mécaniques et un amour pour ce circuit de Formule 1. » confie Stéphane Clair, directeur général du Circuit Paul Ricard.
« C’est un immense bonheur de voir cette passion partagée : des pilotes et des collectionneurs se mélangent aux spectateurs. »
« Le rendez-vous est déjà donné l’an prochain pour le week-end de Pâques, avec encore plus de voitures mythiques et des champions de F1 internationaux. Et comme certains l’ont souhaité, notre Président Jean Alesi, pourrait reprendre le volant de sa Ferrari F1 lors de la prochaine édition. »
De qui se moque-t-on à la fin… Ces organisateurs réclament des F1 modernes hybrides ou électriques, au prétexte de pressions écologistes pour 2h de GP, mais se vantent de faire rouler ces antiquités qui consomment 80 l/100 km avec une pollution atroce due aux carburateurs !