Les écuries de Formule 1 ont découvert avec plaisir les nouvelles installations du circuit Gilles Villeneuve de Montréal ce mercredi.
Les mécaniciens des équipes de Formule 1 sont toujours les premiers à commencer à travailler [et souvent les derniers aussi] en arrivant sur un circuit, afin de débuter le montage des garages, ainsi que des monoplaces, qui sont en grande partie démontées pour le transport.
Lors de cette journée de mercredi à Montréal, les mécaniciens ont pu découvrir les nouvelles installations construites en moins d’un an sur le tracé montréalais, des installations flambant neuves qui enchantent les équipes.
« C’est 100% mieux que l’an dernier. » a indiqué un mécanicien de l’équipe Racing Point au JDM. « Nous sommes très heureux des améliorations qui ont été apportées, il ne manque absolument rien. »
« C’est très positif, on y constate une grande différence par rapport aux années précédentes. » a pour sa part affirmé un mécanicien de l’équipe Renault, alors qu’il ne considère pas les paddocks de Montréal comme étant les plus beaux du calendrier.
« Non, je ne crois pas. Même si les installations sont intéressantes, ceux d’Abou Dhabi, Bahreïn et d’Azerbaïdjan sont supérieurs. »
Une place assurée pour longtemps ?
Ces nouvelles installations construites sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal devraient permettre au Grand Prix du Canada de figurer encore quelques années au calendrier de la F1, c’est en tout cas le souhait du promoteur du Grand Prix.
« On peut maintenant penser à l’avenir. » souligne François Dumontier. « On est là pour longtemps. On n’a pas fait ces travaux pour perdre le Grand Prix en 2029. »
« Je pense que la F1 a besoin de Montréal, et l’inverse s’applique aussi. Quand nous avons perdu notre course en 2009, tout le monde souhaitait son retour au calendrier l’année suivante, et c’est ce qui est arrivé. »
« Je réalise aussi qu’avec l’entreprise américaine Liberty Media, les relations avec les promoteurs ont beaucoup changé et pour le mieux. C’est une autre bonne nouvelle. L’ambiance n’est plus la même, et c’est motivant de travailler pour la même cause. »