Les deux pilotes Renault ont puisé tous les moteurs à leur disposition depuis le Grand Prix d’Italie.
Les deux pilotes Renault ont puisé tous les moteurs à leur disposition depuis le Grand Prix d’Italie, ce qui va donc obliger l’équipe du constructeur français à jongler entre d’anciennes versions du bloc V6 Turbo et des nouvelles entre les séances d’essais libres du vendredi et la course le dimanche afin d’éviter l’utilisation d’un moteur neuf et donc des pénalités qui vont avec.
« Les deux pilotes ont puisé tous les moteurs à leur disposition depuis Monza. Nous devons exploiter ce qu’il nous reste pour les dernières courses. Nous utiliserons d’anciennes spécifications le vendredi, puis les dernières le samedi et le dimanche. » nous confirme Rémi Taffin, directeur technique moteur chez Renault.
Concernant les performances du moteur Renault pour la seconde partie de la saison, Taffin se dit satisfait du niveau de performance affiché par le bloc V6 du constructeur français.
« « Nous sommes satisfaits de notre niveau de performance, mais nous ne nous arrêtons pas là. Nous devons travailler pour l’an prochain et l’année suivante. »
« Nous sommes heureux de l’avoir obtenu dans notre voiture et de la manière dont nous assainissons notre fiabilité après un mauvais début de saison dans le domaine. Il y a une marge de progression que nous essayons d’atteindre. »
« Nous avons introduit nos derniers moteurs à Spa et à Monza et nous nous concentrons sur les résultats à délivrer en 2020 et 2021 tout en parvenant à une fiabilité et des performances aux plus hauts niveaux. »
Pour le Grand Prix du Mexique, Rémi Taffin nous explique la plus grande difficulté rencontrée pour l’unité de puissance, qui devra performer à plus de 2000 mètres d’altitude ce week-end.
« Le Mexique propose un défi à part dans la saison. À deux mille mètres d’altitude, l’air est beaucoup moins dense que partout ailleurs au cours de l’année. L’air est utile pour générer de l’appui et refroidir la monoplace. »
« Nous savons donc que ses effets sont beaucoup plus faibles à Mexico. Nous utilisons un package aérodynamique avec des niveaux d’ailerons similaires à Monaco même s’il ne crée toujours pas autant de traînée et produit notre vitesse de pointe maximum. C’est un peu un rendez-vous où il faut limiter les dégâts sur la performance. »
« Nous ne concevons pas la voiture pour qu’elle réponde aux spécificités du Mexique, mais nous nous assurons de minimiser les effets de l’altitude. Nous avons été relativement compétitifs dans ce domaine les années passées. »
« Sur le plan du groupe propulseur, nous savons que le moteur ne peut pas fonctionner à son maximum et que le turbo n’est pas capable de compenser l’air moins dense. »
« Nous pouvons anticiper ce qui nous attend au Mexique sur les bancs de Viry et nous courons là-bas depuis quelques années pour connaître ce que l’on peut espérer de notre ensemble. Nous verrons ensuite où sont les autres. »
Après Toro rosso 2017, Mc Laren 2019?
Ben voyons !
Et après on se fout de la gueule de Honda…
Vous êtes con ou vous le faites exprès ?
A votre avis, les autres motoristes font comment ? Exactement la même chose ! Que ce soit Mercedes, Ferrari ou Honda, tous utilisent des moteurs du début d’annee en essais libres tant quid ceux ci n’ont pas cassé, pour ne pas user et prendre le risque de casser le dernière évolution lors d’un libre…
Pour critiquer, sur cette info, faut ne pas comprendre le fonctionnement de la F1 et n’intervenir QUE pour casser Renault !
Eh bé…ça sent la fin difficile, et attention ceux qui sont après la 5ème place vont pousser fort…