Le sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton a insisté sur le fait que pour lui remporter des titres mondiaux en Formule 1 n’était la chose la plus importante à ses yeux.
Très impliqué dans la lutte contre le racisme et les discriminations ces derniers temps, le pilote Mercedes – qui a déjà décroché six titres en F1 et qui semble bien parti pour égaler le record de sept titres de Michael Schumacher cette année – pense que le plus important pour lui est de faire passer un message pour qu’il y ait une réelle prise de conscience dans la F1 et le sport en général.
Lorsqu’on lui demande s’il essaie d’être bien plus qu’un simple champion du monde en catégorie reine, Hamilton répond: « Ce n’est pas une volonté de ma part, ce n’est pas quelque chose que je veux. » indique Lewis Hamilton à la RTBF.
« Dans la vie, on combat tous quelque chose. Mais au final, on essaie tous de trouver quel est notre but dans la vie. Gagner des titres mondiaux, pour moi, ce n’est pas assez important. »
« C’est sensationnel, c’est une opportunité incroyable, c’est un très grand privilège d’être ici et de gagner, mais qu’est-ce que cela veut dire? Que veulent dire les chiffres? Rien, selon moi. »
« Je suis là depuis si longtemps, cela fait 14 ans environ que je suis en F1, et les fondations sur lesquelles a été bâti ce sport n’ont pas changé depuis. »
« C’est toujours un sport dominé par les hommes, je suis un des seuls pilotes de couleur. On peut sans doute compter sur les doigts d’une main les pilotes de couleur dans ce sport. »
« Attention, je ne pense pas que tout le monde est raciste ici, c’est plutôt un manque de prise de conscience. »
« Mais nous vivons à une époque où nous devons tirer les leçons de ce qui se passe, et il y a déjà pas mal de choses qui ont bougé. »
« Ici en Belgique, j’ai entendu parler des statues qui ont été enlevées, et le changement, la prise de conscience auxquels on assiste en Belgique est incroyable. C’est l’heure de changer, de grandir, d’accepter notre passé et de travailler ensemble à un meilleur avenir. »
« Honnêtement, arriver en Formule 1, ce n’était pas facile. » insiste Lewis Hamilton.
« On en revient toujours à ces difficultés, à ces barrières, c’est plus difficile pour les minorités d’y arriver. »
« Si vous demandez à quelqu’un de couleur ce que ses parents lui disaient petit, c’est qu’il faut travailler dix fois plus dur à l’école qu’un camarade qui est blanc. »
« Et c’est pareil ici ! J’ai cette responsabilité. Je me dois de toujours tout donner. Je dois continuer à élever mon niveau. »
Vienne Luc.. pour vous noir veut dire africain ? Minorité veux dire africain..quel ignorance
@Sisley…Vous lisez et comprenez ce que vous avez envie de lire et ce que vous avez envie de comprendre. C’est un choix de vie assez limité.
Ce sport a été pensé et créé par des hommes blancs, à l’attention d’un public blanc essentiellement, n’est-ce pas? Que maintenant Hamilton s’y sente un peu à l’étroit et milite pour une plus grande ouverture doit faire de lui un suprémaciste noir, j’avoue n’avoir jamais lu quelque chose d’aussi Imbecile
Ce sport a été pensé et créé par des hommes blancs, à l’attention d’un public blanc essentiellement, n’est-ce pas? Que maintenant Hamilton s’y sente un peu à l’étroit et milite pour une plus grande ouverture doit faire de lui un suprémaciste noir, j’avoue n’avoir jamais lu quelque chose d’aussi Imbecile
Ma question aux émois soudain d’Hamilton n’a pas changée.
Dans quelle mesure la F1, la course automobile en général, intéresse t elle les Africains ?
Ensuite, pourquoi ne se dirige t Il pas vers les grosses fortunes africaines pour leur demander des comptes concernant le peu d’investissement de leur part dans un futur de pilotes africains ?
Si les blancs de Mercedes ont permis au noir Hamilton de réussir sa carrière, devrions nous ne plus avoir que des pilotes noirs à l’avenir pour complaire à un Afro-Européen sur le retour de conscience ?
Quand aux Brésiliens, aux Asiatiques, aux Indiens, et les autres. Est-ce que la couleur de leur peau n’est pas assez éloignée du blanc que pour qu’un Hamilton ne puisse les reconnaître en tant que « diversité » parmis la « blancheur » d’un paddock qui lui pique tant les yeux?
Hamilton est en train de devenir un suprémaciste noir et ses affirmations se rapprochent de plus en plus de ce racisme qu’il prétend combattre derrière sa pauvre petit peau noire de pseudo victime de la société blanche.
Il est temps que Mercedes lui ferme la porte au nez avant que ça ne commence à puer méchamment.
A vomir.