Alors qu’une récente rumeur l’envoyait directement à la tête de la Juventus de Turin, Maurizio Arrivabene a très vite démenti cette fausse information, soulignant qu’il lui restait encore un travail à accomplir avec la Scuderia.
Interrogé par nos confrères de La Gazzetta Dello Sport sur la pression entourant la fonction de team principal de la Scuderia Ferrari, le manager italien assure qu’il est finalement plutôt serein face à la ferveur des tifosi.
Diriger la Scuderia Ferrari n’est pas aussi facile qu’il y parait, puisque l’équipe italienne est vénérée, mais aussi détestée par tout un pays lorsqu’elle perd le dimanche.
« Lorsqu’on parle de Formule 1, on parle directement de Ferrari, parce que c’est dans l’ADN de ce sport. » déclare Maurizio Arrivabene.
« Y-a-t-il trop de pression ? Je ne dirais pas cela, au contraire, nous devons remercier tout le monde pour la passion qu’ils ont pour notre équipe. »
« Cet amour doit nous obliger à faire de mieux en mieux, et je suis très fier d’avoir été choisi pour ce rôle. »
« Parmi les plus belles victoires dont j’ai le souvenir, il y a eu Silverstone (victoire de Vettel), le berceau de la Formule 1. »
« J’essaie toujours d’être calme et cool sur le muret des stands, j’essaie de ne pas montrer mes sentiments, mais là je ne pouvais pas cacher la grande émotion de gagner ce Grand Prix. »
« Il y a trois courses que nous ne pouvons absolument pas rater chaque année, il y a Monza, le Grand Prix d’Allemagne et celui de Grande-Bretagne. »