Lewis Hamilton est revenu longuement sur sa saison 2018 et sur la façon dont il a dû gérer son combat face à Sebastian Vettel cette année.
Le pilote Mercedes a révélé que le moment le plus marquant de sa saison fut le Grand Prix d’Italie – où il a eu un contact avec la Ferrari de Sebastian Vettel – et où la Scuderia s’est faite battre à domicile par les flèches d’argent.
« Ce fut une saison incroyable – mentalement et physiquement, pour tout le monde dans l’équipe. Du côté des pilotes, le côté mental à été la clé. » explique Hamilton dans un entretien pour la BBC.
« Ferrari a été si forte à certains moments de l’année – en particulier au cours de la première moitié de saison – que nous ne savions pas comment cela allait se passer. »
« Les meilleurs moments de la saison ont été lorsque nous étions en mauvaise posture et que cela ne semblait pas génial. »
« Mais nous avons ensuite réussi à retrouver notre chemin et à faire collectivement un meilleur travail dans l’ensemble que leur équipe et leurs pilotes. C’est vraiment ce qui a fait la différence cette année, et toute l’équipe peut en être fière. »
Monza, un coup dur pour Ferrari
Le désormais quintuple champion du monde de Formule 1 a également expliqué où et comment il a réussi à prendre le dessus sur son adversaire Sebastian Vettel.
Hockenheim, Monza et Singapour lui viennent à l’esprit, mais le rendez-vous italien – où Vettel et Hamilton se sont percutés au premier tour de course – était probablement le plus gros coup psychologique pour la Scuderia Ferrari selon Hamilton.
« Ils [Ferrari] ont vécu deux moments difficiles sur le plan psychologique, d’abord lorsque Seb [Vettel] a commis son erreur personnelle en Allemagne. »
« En tant que pilote, lorsque l’équipe commet une erreur, c’est douloureux. Mais quand c’est vous, quand c’est sous votre contrôle, c’est un sentiment horrible. Il aurait pris cela à cœur. »
« Ensuite, nous avons eu ce combat à Monza, ce fut un coup dur pour eux. Mais nous n’avons pas été complaisants après ce superbe résultat pour nous. »
« Nous savions que nous devions encore continuer, réussir dans des endroits comme Singapour, où Ferrari nous détruisait habituellement. Et quel week-end c’était ! »
« Aucun d’entre nous n’avait prédit que nous gagnerions à Hockenheim, Monza ou encore moins Singapour. Mais ensemble, nous avons fait un travail extraordinaire avec l’équipe. »
hhhoua…i il oublie que le GP de grande Bretagne ou Hamilton a pleure comme une fille apres la victoire de Vettel