L’équipe Aston Martin a décidé de faire appel de la pénalité de dix secondes infligée à Fernando Alonso ce dimanche après l’arrivée du Grand Prix d’Arabie Saoudite.
Ce dimanche à Djeddah, les commissaires de course du Grand Prix d’Arabie Saoudite reprochaient au pilote Aston Martin de ne pas avoir correctement purgé une première pénalité infligée pour ne pas avoir correctement positionné sa monoplace sur la grille de départ.
Le double champion du monde a en effet écopé d’une pénalité de cinq secondes pour un mauvais positionnement sur la grille de départ, une pénalité qu’il devait purger lors de son arrêt au stand. Cependant, la direction de course a estimé que les mécaniciens de l’équipe Aston Martin ont touché la monoplace d’Alonso avant que les cinq secondes de pénalité ne soient purgées.
Pour cette erreur – similaire à celle d’Esteban Ocon au GP de Bahreïn il y a quinze jours – Fernando Alonso a écopé de dix secondes de pénalité sur son temps final, ce qui veut dire que l’Espagnol – qui a franchi la ligne d’arrivée à la troisième place – a perdu son podium et a été officiellement classé quatrième.
Cependant, l’équipe Aston Martin a choisi de faire appel de cette décision et les commissaires ont donné raison à l’écurie du constructeur britannique, ce qui veut dire que Fernando Alonso récupère son podium, le 100° de sa carrière. Aston Martin a montré qu’il y avait eu des précédents où un mécanicien touchait la voiture avec le lève-vite sans pénalité.
L’Espagnol est donc classé officiellement troisième de l’épreuve et a marqué 15 points ce dimanche pour cette deuxième manche de la saison. George Russell – qui avait récupéré la troisième place – est donc rétrogradé à la quatrième position.
Dans le cas de Carlos Sains, vu que l’accrochage avec Alonzo a été sans conséquence (ce dernier étant sur le podium !) on aurait pu « fermer les yeux » !
Ainsi s’impose l’arbitraire, sous couvert de justice pour tous : des règlements pointilleux menant à des sanctions données sur la base de vidéos plus ou moins pertinentes, jamais filmées de la même manière et jamais dans les mêmes contextes, comme le VAR au Foot et au Rugby, donc à l’interprétation de l’arbitre, donc subjectif. Et qui dit subjectif dit « arranger » qui on veut au final. Il serait tellement plus simple d’ajouter 5s au temps final du fautif pour ces histoires de position sur la grille plutôt que d’ergoter sur le 10e de seconde d’avance ou le millimètre pour lequel un mécano a touché la voiture dans le paddock. Mais ils ont choisi l’arbitraire.
La formule 1 devient de plus en plus débile avec des règlements aussi cons les commissaires son aussi nul que le gouvernement.
Les décisions de la FIA franchement …
Un coup oui, un coup non, un coup avec du retard et puis finalement peut etre….