Auteur du quinzième temps ce vendredi lors des EL2 du Grand Prix de Grande-Bretagne, le Britannique Lewis Hamilton a admis qu’il a toujours du mal à être à l’aise au volant de sa Mercedes, encore plus sur un tracé comme Silverstone où le vent a largement perturbé les pilotes aujourd’hui.
Bien que ce ne soit que la première journée d’essais et que les conditions météo attendues ce samedi à Silverstone (la pluie est attendue) pourraient venir rebattre les cartes, Lewis Hamilton se montrait plutôt pessimiste ce vendredi soir et compte sur l’aide précieuse du pilote de réserve de l’équipe, l’Allemand Mick Schumacher, qui sera dans le simulateur toute la soirée à Braclkey pour tenter de trouver un meilleur équilibre sur la W14 avant les qualifications de samedi.
« Il y avait beaucoup de vent, comme c’est souvent le cas ici à Silverstone. Je pense que c’est quelque chose qui aide cette piste à devenir la meilleure au monde. » a déclaré le septuple champion du monde.
« Cela [le vent] a certainement rendu la voiture plus incohérente, mais nous relevons également les mêmes défis que nous avons rencontrés pendant la majeure partie de la saison. C’est une voiture difficile à conduire et elle continue à l’être. »
« Sur un tour unique, nous n’avons pas semblé faire d’amélioration entre les différents pneus, ce qui suggère qu’il nous manque quelque chose. Le point positif pour nous est que le rythme sur les longs relais n’était pas trop mauvais. »
« L’équilibre est délicat, mais nous y travaillerons ce soir. Nous aurons Mick [Schumacher] dans le simulateur, alors j’espère que nous pourrons trouver des solutions pour demain. »
« Nous ne sommes pas dans la même course que les Red Bulls mais j’espère que nous pourrons nous battre pour le podium, même s’il faudra un gros coup de pouce. »
Avant le Grand Prix de Grande-Bretagne, l’équipe Mercedes occupe la deuxième place au championnat du monde des constructeurs avec trois points d’avance sur Aston Martin.
