Sixième à l’arrivée du Grand Prix d’Arabie Saoudite ce samedi à Djeddah, le pilote Mercedes George Russell a trouvé sa course assez longue et ennuyeuse derrière l’Aston Martin de Fernando Alonso.
Le Britannique George Russell n’a jamais réussi à mettre Fernando Alonso sous pression ce samedi soir à Djeddah, le pilote Mercedes ayant passé une très grande partie de la course à un peu plus d’une seconde de l’Espagnol sans jamais pouvoir se rapprocher davantage, et ce même avec l’aide de l’Aspiration.
« La soirée a été longue. J’ai passé près de 40 tours à 1,5 seconde de Fernando Alonso mais je n’ai pas pu le dépasser. » a expliqué Russell après l’arrivée de l’épreuve.
« J’avais l’aspiration dans les lignes droites, mais je ne parvenais pas à m’approcher suffisamment à grande vitesse pour lui mettre une réelle pression. La 6e place est probablement un bon résultat au final et il est clair que nous n’avons pas encore trouvé le juste milieu avec cette voiture. »
Après les deux premières courses de la saison, George Russell estime que la W15 manque cruellement de performance, notamment en course lorsqu’il s’agit de marquer des points. Le Britannique espère donc que la pause de quelques jours avant le Grand Prix d’Australie va permettre à son équipe de trouver des solutions.
« Globalement, il faudra trouver un peu plus de performance. Nous avons vu le potentiel et le rythme de la voiture, mais nous ne l’avons pas montré lorsque cela était important. » a-t-il ajouté.
« Nous devons comprendre pourquoi et nous améliorer avant Melbourne. Comme nous l’avons vu, la hiérarchie derrière les Red Bull est très serrée, nous devons donc prendre le dessus. Il y a beaucoup de travail à faire mais je crois en l’équipe. »
Après le Grand Prix d’Arabie Saoudite, l’équipe Mercedes occupe la quatrième place au championnat du monde des constructeurs avec deux points de retard sur McLaren.
C’était pas super Georgie qui, il y a 2 semaine, nous disait que la voiture était incroyable et pouvait jouer aux avants postes ?
Toujours aussi pertinent ces millenials…