Sergio Perez – deuxième à l’arrivée du Grand Prix du Japon – estime que son équipe est désormais dans une très bonne dynamique avec avoir signé un doublé sur l’un des tracés les plus difficiles du calendrier.
Suzuka est considéré par les équipes comme étant un circuit référence, notamment parce que l’unique tracé en huit du calendrier est composé de trois secteurs très variés avec de longues lignes droites, des courbes très rapides, des virages à moyenne vitesse et des virages à faible vitesse.
Il est considéré que si une monoplace est à l’aise à Suzuka elle le sera également sur tous les autres circuits du calendrier et le doublé signé ce week-end par Red Bull laisse penser à Perez que la RB20 fonctionnera partout ailleurs pour le reste de la saison.
« C’était un bon week-end pour l’équipe. Tout a bien fonctionné, mon deuxième départ [après le drapeau rouge] était un peu meilleur, mais pas assez pour dépasser Max. » a déclaré Perez après l’arrivée du Grand Prix du Japon où il a franchi la ligne d’arrivée treize secondes derrière Max Verstappen.
« J’ai eu du déséquilibre durant le premier relais, ce qui signifie que je n’ai pas pu maintenir [les pneus] en vie. j’ai dû rentrer au stand et j’ai été undercuté par Lando [Norris]. Ensuite, j’ai trop poussé sur le relais avec les Mediums, mais avec les Durs j’étais plus à l’aise. »
« Donc, ensuite le rythme est revenu, mais je pense que dans l’ensemble, j’ai souffert à cause de ce premier relais. » a-t-il ajouté.
Lorsqu’on lui a demandé s’il a un bon sentiment en quittant le Japon avant de disputer le très attendu Grand Prix de Chine, Sergio Perez a répondu : « Oui, définitivement. Je pense que nous sommes dans une bonne dynamique. »
« Si vous vous souvenez, ici à Suzuka l’année dernière a probablement été mon pire week-end, donc je pense que si nous sommes forts dans des endroits comme celui-ci avec beaucoup de virages à grande vitesse, je pense que nous pouvons être forts partout ailleurs. »
Après le Grand Prix du Japon, Sergio Perez est deuxième au championnat du monde des pilotes avec treize points de retard sur son coéquipier Max Verstappen.
« Il est considéré que si une monoplace est à l’aise à Suzuka elle le sera également sur tous les autres circuits du calendrier »
Jamais entendu ça auparavant. Moi, ce que je vois, c’est que Hamilton considère que sa W15 est une péniche à 0.6 sec de RedBull quand Ferrari avait, selon les journalistes, la meilleure F1 2018 pourtant reléguée à 1.7 sec de la pole position de Hamilton cette année-là.
En 2019, 1ère ligne Ferrari. En quoi est-ce révélateur de la domination Mercedes toute l’année ?
J’aimerais vraiment pouvoir comprendre la différence de traitement médiatique entre les années Mercedes et celles RedBull en ce moment :
Après de mauvais essais libres, on avait « Hamilton a réagi en champion du monde pour tout inverser grâce au hammer time ! » tandis que depuis 2022, c’est « RedBull masque son ultra domination et on s’ennuie ».