Les organisateurs du Grand Prix des Pays-bas ne savent pas encore si leur course pourra avoir lieu ou pas au mois de mai.
Suite à l’annonce de l’annulation ou du report des quatre premières courses de la saison de Formule 1, les organisateurs des Grands Prix néerlandais et espagnols ont annoncé qu’ils étaient en concertation avec la F1 et la FIA concernant la situation pour leurs épreuves.
Le Grand Prix d’Australie a été annulé vendredi matin, après qu’un membre de l’équipe McLaren à Melbourne a été testé positif pour le coronavirus. Cela faisait suite à l’annonce, le mois dernier, de l’annulation du Grand Prix de Chine, prévu du 17 au 19 avril.
Et plus tard vendredi matin, le Grand Prix de Bahreïn, qui devait initialement se tenir le week-end prochain, et le Grand Prix du Vietnam, prévu du 3 au 5 avril, ont été également reportés à la lumière de l’escalade de la situation avec l’épidémie de coronavirus.
Les deux prochaines courses du calendrier devraient donc être le Grand Prix des Pays-Bas, prévu du 1er au 3 mai, et le Grand Prix d’Espagne une semaine plus tard, mais la F1 a publié un communiqué indiquant que la saison 2020 débuterait à la fin du moi de mai, ce qui a semé la confusion.
Les organisateurs des deux courses ont donc annoncé qu’ils étaient en pourparlers avec la Formule 1 et la FIA.
« Sur la base des communiqués de la direction de la Formule 1 et de la FIA, nous sommes en consultation commune avec eux sur les conséquences possibles pour le Grand Prix des Pays-Bas. » ont annoncé les organisateurs du GP des Pays-Bas.
« Ces conséquences ne sont pas encore pleinement connues, mais en cas de report éventuel, tous les billets resteront valables. Dès que d’autres nouvelles seront connues, nous les partagerons avec toutes les parties concernées. »
Barcelone pour sa part a déclaré ce vendredi : « analyser toutes les différentes options disponibles avec la Formule 1. »
Impossible à l’heure actuelle de dire avec certitude si les Grands Prix des Pays-bas, d’Espagne et de Monaco seront bien disputés au mois de mai, puisque la situation évolue d’heure en heure dans le monde face à l’épidémie de coronavirus.