Les organisateurs du Grand Prix d’Italie n’ont pas encore pris de décision officielle pour leur course programmée au mois de septembre à Monza.
L’Italie, comme les autres pays qui accueillent une manche du championnat du monde de F1, continue de suivre l’évolution de la situation sanitaire dans le monde.
Le Grand Prix d’Italie est prévu au mois de septembre à Monza, mais sa tenue n’est absolument pas assurée à l’heure actuelle, notamment parce qu’on ne sait pas si la F1 arrivera à mettre en place un calendrier digne de ce nom en raison des différents reports.
« Les paddocks durant l’ère du coronavirus seront moins encombrés, avec une réduction de 30 ou 40% des gens à l’intérieur. » estime Angelo Sticchi Damiani.
« Pour élaborer un protocole, en plus d’avoir un groupe de travail médical, nous nous sommes tournés vers un virologue réputé. Il nous assistera lors de cette période préparatoire et nous fournira toutes les informations pour accueillir le Grand Prix d’Italie. »
« Maintenant, il est très difficile de faire des prévisions. Nous aimerions attendre encore quelques semaines avant de prendre une décision officielle. Nous devons comprendre quelle sera la situation en septembre. »
« Evidemment, nous sommes toujours prêts à renégocier notre relation avec Liberty Media [les détenteurs des droits commerciaux de la F1]. »
Quant à une course qui se disputerait sans public, Angelo Sticchi Damiani ne veut pas encore y penser : « Une course sans public nous poserait un problème. »
« Pour le moment, je préfère éviter cette hypothèse. J’espère au plus profond de mon cœur qu’un tel scénario ne se produira pas. »