Onzième à l’arrivée du Grand Prix de Hongrie ce dimanche, Charles Leclerc a connu une course « compliquée » au volant d’une monoplace au comportement bien différent par rapport au début du week-end à Budapest.
Le pilote monégasque n’a jamais été en mesure de trouver du rythme avec sa SF1000 ce dimanche en course, alors que le comportement de la Ferrari semblait pourtant bien meilleur en début de week-end par rapport à la première course de la saison.
« Ce fut une course très compliquée. » nous a expliqué Charles Leclerc ce dimanche soir après le Grand Prix de Hongrie.
« Je ne suis pas sûr de ce qui s’est passé, car nous n’avons apporté aucune modification à la voiture et pourtant, elle était extrêmement difficile à piloter, avec un équilibre bien pire que ce que nous avions identifié vendredi et samedi, quand elle était mieux que prévu. »
« Au volant, elle ne ressemblait même pas à la même voiture et il faudra bien analyser toutes les données pour essayer de comprendre pourquoi c’était si difficile. »
« Nous nous sommes arrêtés pour monter des pneus Soft un peu en avance sur les autres et le timing était bon mais quand je suis revenu sur la piste il n’y avait qu’une seule ligne sèche et les pneus n’étaient pas exploitables à ce moment là. »
« Pour cette raison, je dirais que les pneus tendres se sont révélés être un choix inapproprié. À partir de ce moment, nous avons toujours été assez lents. Je pense que nous avons tous beaucoup de travail à faire ensemble. »
Au classement des pilotes, après la troisième course de l’année, Charles Leclerc occupe la septième position et se trouve à égalité de points avec le pilote Racing Point Lance Stroll.