La Formule 1 va connaître une révolution technique en 2022 mais la discipline ne compte pas s’arrêter sur cet élan et travaille déjà sur une nouvelle réglementation concernant les unités de puissance en 2025.
A ce titre, Stefano Domenicali, le nouveau PDG de la F1, aimerait que le coût des blocs propulseurs soit moins élevé à l’avenir, notamment pour que la discipline soit plus attrayante et attire de nouveaux manufacturiers.
« Il n’est pas possible que l’unité motrice de la Formule 1 puisse coûter ce qu’elle coûte aujourd’hui. » a déclaré l’italien à nos confrères de Sky Sports.
« Je pense qu’il y a une marge, une grande marge là-dessus, et l’un des agendas que nous avons est que nous aimerions impliquer les équipes et les équipementiers pour essayer d’anticiper la nouvelle réglementation moteur encore plus tôt que ce qui est attendu. »
« Nous devons nous assurez que ce genre de sujet [le coût des moteurs] fera partie de l’ordre du jour, et je suis sûr que nous pouvons le faire. »
Avec le départ du motoriste Honda à la fin de la saison 2021, la Formule 1 va se retrouver avec seulement trois motoristes : Mercedes, Ferrari et Renault.
Avec une nouvelle réglementation et des coûts réduits, la F1 aimerait attirer de nouveaux constructeurs, ce qui semble en bonne voie comme le précise finalement Domenicali : « Ce que je peux dire, c’est que nous sommes en pourparlers avec d’autres manufacturiers. »