Respectivement qualifiés sixième et neuvième sur la grille de départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan, Fernando Alonso et Lance Stroll ont tous les deux été ralentis en qualifications par un problème de DRS sur leur Aston Martin ce vendredi à Bakou.
S’il y a bien un circuit du calendrier sur lequel les pilotes ne veulent pas perdre la puissance du DRS, c’est bien sur le tracé de Bakou qui offre la plus longue ligne droite de la saison (plus de deux kilomètres). Et c’est pourtant ce qui s’est passé ce vendredi pour les deux pilotes Aston Martin qui ont perdu quelque dixièmes en qualifications.
« Je pense… que nous aurions pu être un peu meilleurs. Nous avons eu quelques problèmes lors des EL1 et aussi lors des qualifications avec le DRS, ce qui nous a coûté quelques dixièmes. » a commenté Fernando Alonso ce vendredi soir à Bakou.
« C’était si serré dans le classement que cela a fait une différence. Mais bon, nous ne sommes que vendredi, nous avons encore un long week-end devant nous avec les qualifications Sprint demain et une autre course avant celle de dimanche [bien que la course Sprint n’aura aucun impact sur le Grand Prix de dimanche, ndlr]. »
Neuvième sur la grille de départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan, le coéquipier d’Alonso, Lance Stroll, a fait écho aux propos de l’Espagnol concernant le problème de DRS.
« C’était serré, la voiture se comportait bien mais nous avons eu des soucis avec le DRS. En Q3 en particulier, je n’avais pas de DRS, donc cela l’a coûté du temps. »
« Vous perdez du temps dans la ligne droite, c’est frustrant. Nous devons juste régler cela pour la course, mais nous avons une petite nuit de sommeil devant nous avant de reprendre la piste demain pour aller directement en qualifications. J’ai donc hâte de faire des tours plus rapides. » a conclu le Canadien.