Le pilote Ferrari Charles Leclerc a révélé avoir travaillé avec des spécialistes pour apprendre à contrôler ses émotions.
Le Monégasque, qui parait désormais extrêmement posé, admet qu’il était un enfant très émotif et a dû faire appel à des spécialistes pour apprendre à contrôler ses émotions.
« Ce n’est pas un cadeau de la nature. Dans mon enfance, c’était mon point faible. » explique Charles Leclerc au Corriere Della Sera.
« J’étais trop émotif et je gaspillais de l’énergie sur des choses inutiles pour me mettre en colère. J’ai travaillé là dessus avec des spécialistes et j’ai beaucoup progressé. »
Leclerc plutôt « heureux » de ses débuts chez Ferrari
Après une demi-saison chez Ferrari, Charles Leclerc a du mal à se noter, mais le pilote monégasque sait qu’il doit surtout continuer à s’améliorer et à se concentrer sur ses faiblesses.
« J’ai du mal à me noter, mais pour être honnête, je suis plutôt heureux. Ce n’était pas un défi facile de rejoindre une équipe importante lors de ma seconde année en F1. »
« Je devais m’adapter au début, mais j’ai grandi vite avec l’équipe. Je dois continuer à me concentrer sur les faiblesses et à m’améliorer. »
« Être pilote Ferrari requiert également de la concentration, de la détermination et du dévouement. Avec le temps, vous vous y habituez, mais chaque fois que vous portez la combinaison, vous ressentez un sentiment spécial. »
« Ensuite, vous arrivez sur la piste, vous entrez dans une bulle et vous ne pensez qu’à conduire de votre mieux. »
Pour sa première saison avec Ferrari, Charles Leclerc a commis quelques erreurs de pilotage qui lui ont coûté de nombreux points [en Allemagne, il a dû abandonner en course après avoir tiré tout droit au virage 16].
Le pilote Ferrari admet que ses erreurs commises cette année lui pèsent : « Oui, parce que je suis dur avec moi-même. »
« Non seulement celle en Allemagne où je suis sorti sous la pluie, mais aussi à Bakou où j’ai commis une erreur [en qualifications] et je m’en suis voulu. C’est toujours comme ça lorsque c’est de ma faute. »