Latifi se sent meilleur pilote après avoir roulé sur « la glace » d’Istanbul
Le pilote Williams, Nicholas Latifi, a participé dimanche dernier à Istanbul à l’une des courses les plus difficiles de sa carrière avec une piste extrêmement glissante.
Nicholas Latifi débute sa carrière en Formule 1 cette saison avec l’équipe Williams et, jusqu’à présent, le Canadien n’a roulé qu’une seule fois sur une piste humide [à Budapest].
Mais les conditions de piste rencontrées dimanche dernier à Istanbul était bien pire, puisque le nouvel asphalte du tracé turc fraîchement posé avant que la F1 n’arrive en Turquie était extrêmement glissant déjà le vendredi sur le sec et l’arrivée de la pluie à partir du samedi n’a fait qu’aggraver la situation.
« Le fait est que la pluie a rendu les choses cent fois pires, et j’ai été vraiment surpris. » explique Nicholas Latifi.
« Je m’attendais à ce que la pluie rende l’adhérence relativement meilleure par rapport à la piste sèche [du vendredi]. Mais en fait, c’était tout simplement impossible de piloter. »
« Certaines voitures, certains pilotes ont eu un moment plus facile, tandis que d’autres ont eu des moments plus difficiles. »
« En fait, la position dans laquelle nous nous trouvions dépendait des pneumatiques, il fallait les placer dans la bonne fenêtre et il fallait se battre pour parfois un degré ou un demi-degré de température. »
« Si votre voiture avait un peu plus d’adhérence vous preniez alors un ou deux km/h dans les virages et vous en générez alors encore un peu plus, c’était une spirale. Mais n’étant pas au volant de l’une des monoplaces les plus rapides, ce n’est pas facile. »
« Il s’agissait certainement des conditions les plus difficiles que j’ai eu à rencontrer dans ma carrière, pas seulement en Formule 1. Il s’agissait juste de rester sur la piste. »
« Il y a beaucoup à apprendre de tout cela, et peu importe que les qualifications ont été mauvaises pour moi ou à quel point la course a été mauvaise pour moi, je me sens définitivement un meilleur pilote pour tout cela. »
« Je suis sûr que la plupart des pilotes diront qu’ils sont meilleurs pour pouvoir faire dériver une voiture de Formule 1 à chaque tour et à chaque virage, mais ils sont simplement frustrés par le résultat. »
La Canadien a également expliqué comment la capacité mentale des pilotes a été mise à rude épreuve dans ces conditions, avec l’impossibilité de relâcher la concentration même dans les lignes droites.
« D’un point de vue physique, ce n’est pas comparable par rapport à une piste sèche, mais mentalement, nous travaillons dur parce que nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir un moment de relâchement dans la ligne droite. »
« C’est la deuxième fois que je pilote une Formule 1 sous la pluie, mais là, ce n’était même pas de la pluie c’était de la glace. »
« J’ai déjà piloté une voiture de Rallye sur de la glace avec des pneus cloutés et je peux affirmer que j’avais plus d’adhérence que ce week-end sur le mouillé en course. »
« C’était un véritable défi, mais c’est une chose à laquelle nous sommes maintenant un peu mieux préparés pour l’avoir fait. »
Au final, Nicholas Latifi n’a même pas vu la ligne d’arrivée puisque son équipe lui a demandé d’abandonner au Grand Prix de Turquie.
Notre politique éditoriale impartiale
La principale raison pour laquelle les joueurs font confiance à nos évaluations est notre engagement à fournir des évaluations impartiales et professionnelles des sites de casino sans KYC. Nous collectons quotidiennement des données auprès de centaines de casinos afin de garantir que notre classement reflète les dernières tendances. Forte de près de deux décennies d'expérience dans le secteur des jeux d'argent en ligne, notre équipe a accumulé un savoir-faire et une expertise considérables. Cette longue expérience nous permet de fournir des conseils fiables à nos lecteurs.