Lewis Hamilton estime que le doublé Mercedes à Sao Paulo est un gros coup de boost pour les espoirs de lutte de l’équipe pour le titre 2023.
A Interlagos, Hamilton a terminé deuxième derrière son coéquipier George Russell qui a lui-même remporté sa première victoire en Grand Prix et la première victoire de Mercedes cette saison. Faisant le bilan de son week-end et de sa semaine à Sao Paulo, le septuple champion du monde a expliqué qu’il s’agissait d’un « résultat de rêve » et d’une semaine incroyable puisqu’il a également reçu la citoyenneté d’honneur au Brésil.
« Ce fut une journée incroyable, un week-end incroyable et une semaine en fait, juste dans l’ensemble – tant d’expériences incroyables à partir de lundi, et c’est vraiment un rêve pour toute l’équipe. Je pense que tout le monde mérite vraiment ce résultat incroyable. »
« C’est la chose la plus importante pour nous d’avoir ce résultat, c’est un énorme coup de pouce pour le moral de toute l’équipe – à l’approche de l’hiver, nous savons que sommes sur la bonne voie. »
« Et nous sommes toujours la meilleure équipe, et nous reviendrons à des résultats comme celui-ci plus [régulièrement] l’année prochaine et j’en suis ravi, d’avoir la perspective de cette bataille. »
Lewis Hamilton a cependant eu très peur de devoir abandonner après sa collision avec Max Verstappen. En effet, les deux pilotes se sont touchés au redémarrage de la course après une voiture de sécurité. Max Verstappen a d’ailleurs écopé d’une pénalité de 5 secondes pour cet incident.
« Tout ce que je pensais à ce moment-là… c’était que j’allais peut-être devoir abandonner, parce que j’ai ressenti quelque chose ; l’arrière était bizarre et j’ai pensé ‘Je vais perdre le doublé pour l’équipe’, je ne pensais qu’à ça. »
« En roulant sur l’herbe et sur la piste, la seule chose à laquelle je pensais, c’était: ‘Comment puis-je redonner à l’équipe ce résultat incroyable?’ Pour moi, ce n’est pas la façon dont vous tombez mais comment vous vous relevez. Je suis fier, toutes félicitations à George », a ajouté Lewis Hamilton.
Celui qui est arrivé deuxième à Interlagos a conclu qu’il n’était pas inquiet de faire la course contre Max Verstappen après leur incident : « Je n’avais aucune inquiétude. Je pense que c’est naturel quand tu as du succès… que tu deviens un peu une cible, mais ça va. Ce n’est rien de nouveau pour moi… »
Il me semble que la meilleur equipe est celle qui est championne non?
Non, c’est celle qui obtient un changement de règle en cours de championnat et développe des ailerons en criant qu’elle n’a pas l’argent pour.
Red Bull est en fait la meilleure de 2021 selon la théorie Hamilton. Hamilton qui profite de son retour au sommet pour défier la FIA qui n’a pas rectifié Abou Masi.
« Quelqu’un a décidé que le résultat devrait être tel qu’il était. C’est une décision humaine, injustifiée, contraire aux règles, qui a été prise sciemment par une seule personne. Et le résultat n’a pas été corrigé par l’instance qui l’employait. »
Lewis a tout à fait raison, championnat 2021 complètement manipulé, entre une écurie qui dépassait le plafond, un pilote qui n’a pas arrêtez de transgresser le règlement sur la piste et un DC complètement incompétent et partial et dont la FIA de Todt n’a pas voulu rectifier le tir, et donc complice de ce méfait .
Je souscris .
Oui manipulation finale, mais titre perdu par Hamilton et Mercedes, comme des grands.
À Baku, Pérez avait une boîte au bord de l’explosion mais LH oublie son bouton brake magic sur On.
En Turquie, il doit finir 3ème mais Bono l’oblige à changer pour rien ses pneus.
La Hongrie, seul en grille, pneus pluie sur piste sèche…
Vous pouvez lire dans un vieux Sportauto que Wolff a invité Masi à déjeuner le jeudi d’Abu Dhabi pour lui expliquer la bonne gestion de course. Ça s’est retourné contre lui car un arbitre a sa fierté.
C’est possible, une confirmation a Abu Dhabi est attendu pour répartir en confiance pour 2023.
ça fait déjà 6 confirmations : Zandvoort, Singapour, Japon, Austin, Mexico, Brésil. Pas autant de victoires mais la performance était là en course. Même à Monza, Hamilton parti de loin allait plus vite que Leclerc.