Le Canadien Lance Stroll fait partie des rares pilotes qui n’apprécient pas particulièrement le circuit de Spa en Belgique.
Le pilote Racing Point admet qu’il n’a jamais été un grand fan du toboggan des Ardennes, alors que le raidillon ne l’a jamais impressionné, le mythique virage se prenant désormais pied au plancher avec les monoplaces modernes.
Le Grand Prix de Belgique est également la seconde course à domicile pour Stroll, puisque sa maman est Belge.
« Je me sens prêt à reprendre la course après les vacances. Cela me semble une éternité depuis Budapest et j’attends avec impatience la deuxième partie de la saison. Je pense que nous pouvons être plus forts dans les courses à venir, alors que de nouvelles pièces sont à venir. » nous explique Lance Stroll.
« Nous ne cesserons certainement pas de pousser car il reste neuf courses et de nombreuses occasions de marquer de bons points. »
« Spa n’a jamais été mon circuit préféré absolu – ce qui est assez inhabituel car je sais que la plupart des pilotes aiment y courir. C’est évidemment une piste légendaire avec des virages spéciaux et une très grande vitesse. Tout le monde parle d’Eau Rouge, mais c’est un virage à fond désormais, il faut donc être très précis pour aller le plus vite possible. »
« Obtenir une sortie propre du virage 1 est également très important, car vous êtes à fond sur votre élan tout au long de la montée jusqu’au virage cinq. »
« Le fameux climat du Spa ajoute également un effet dramatique, car vous savez qu’il y a toujours de fortes chances qu’il pleuve le week-end. Le tour est très long aussi, alors même s’il est mouillé dans une partie du tour, il peut être sec à l’autre bout de la piste. »
« C’est une autre course à domicile pour moi car ma mère est belge, alors c’est un peu plus spécial pour moi. J’aimerais bien entamer la deuxième partie de l’année avec un bon résultat. »