La Scuderia Ferrari a confirmé ce vendredi à Montréal que l’unité de puissance montée sur la monoplace de Charles Leclerc au Grand Prix d’Azerbaïdjan est irréparable.
Lors de la dernière course disputé à Bakou la semaine dernière, le pilote Ferrari Charles Leclerc a dû abandonner en raison d’une panne mécanique survenue en début de course alors qu’il menait le Grand Prix d’Azerbaïdjan. Cette semaine, l’unité de puissance endommagée a été renvoyée en Italie à l’usine de Ferrari à Maranello où une inspection approfondie a été réalisée par les ingénieurs pour connaître les causes de la panne et savoir si ce moteur pouvait être réutilisé.
Malheureusement, l’écurie italienne a confirmé que cette unité de puissance était tout simplement irréparable, ce qui veut dire que Charles Leclerc devra débuter son week-end à Montréal soit avec un moteur neuf, soit avec un moteur déjà utilisé auparavant afin d’éviter de prendre une pénalité.
« L’enquête a confirmé que l’unité de puissance de Charles à Bakou est irréparable. L’une des causes possibles de la défaillance est qu’elle est survenue à la suite du problème sur l’unité de puissance en Espagne. Nous travaillons désormais sur des contre-mesures pour renforcer le groupe motopropulseur. » a confirmé l’équipe italienne ce vendredi à Montréal.
Mise à jour de cet article le 17 juin à 18h44 : Charles Leclerc va écoper d’une pénalité sur la grille de départ ce dimanche en raison d’une changement de boitier électronique (à lire ici).