Le patron de l’équipe McLaren a confirmé que le moteur monté sur la monoplace de Lando Norris en Belgique n’était pas en fin de vie.
Le week-end dernier au Grand Prix de Belgique, les deux McLaren ont dû abandonner sur panne mécanique, bien que pour le moment, rien ne prouve que le moteur Renault soit responsable de ces deux abandons.
Carlos Sainz utilisait à Spa la spécification C du bloc V6 Renault [la dernière évolution], tandis que Lando Norris été équipé de la Spec B de l’unité de puissance du motoriste français.
Dans le cas de Sainz, le pilote espagnol a perdu de la puissance dès le tour de formation, alors que pour Lando Norris, le moteur a coupé dans le dernier tour de course.
« Bien-sûr que c’est décevant de subir deux abandons et alors qu’une des deux voitures n’a même pas pu débuter la course [les problèmes sur la voiture de Sainz ont commencé dans le tour de formation]. » explique Andreas Seidl à AS en Espagne.
« Mais nous sommes dans le même bateau que Renault…ils font un travail énorme pour obtenir plus de performance cette saison et c’est encourageant. »
« Bien-sûr, c’est décevant d’avoir des pénalités et deux abandons, mais le plus important est d’avoir une relation transparente et d’analyser les problèmes pour les résoudre ensemble. »
Concernant le moteur monté sur la monoplace de Lando Norris, qui est tombé en panne dans le dernier tour de course, Seidl confirme que l’unité de puissance Renault de spécification B n’était pas en fin de cycle, alors que des analyses poussées sont actuellement en cours.
« Il n’était pas en fin de cycle, ce n’est donc pas un problème dû au kilométrage. C’était un moteur de la spécification B que Lando utilisait ce week-end. »