Le manager sportif de la Formule 1, Ross Brawn, se félicite du travail accompli par ses équipes cette année pour permettre à la F1 de débuter sa saison 2020 et être le tout premier sport mondial à reprendre en pleine pandémie.
Au terme de cette saison 2020 si atypique, la Formule 1 a pu disputer pas moins de dix-sept Grands Prix en l’espace de seulement cinq mois pour ce qui a été l’une des saisons les plus intense en terme de rythme depuis la création du championnat du monde en 1950.
Pour arriver à démarrer ce championnat 2020 au mois de juillet (soit quatre mois après la date initiale), les équipes de la F1 et de la FIA ont travaillé main dans la main pour mettre en place une véritable biosphère dans laquelle il fallait montrer patte blanche pour espérer y pénétrer.
Sur chaque circuit visité, l’intégralité des personnes présentes devaient passer un test PCR obligatoire avant de pouvoir entrer dans le paddock, que ce soit les médias, les employés des équipes, les pilotes ou bien le personnel de la logistique.
Au total, environ 80 000 tests PCR ont été réalisés depuis le début de la saison en juillet et le taux de positivité n’est que de 0,11%, une statistique qui prouve, selon Ross Brawn, que le principe de la biosphère a fonctionné.
« Cette année a été remarquable, la pandémie de Covid-19 rendant la vie difficile à tous à travers le monde. » explique Brawn.
« Cela témoigne de l’ingéniosité des nombreuses personnes brillantes qui travaillent dans le sport que nous avons pu terminer un championnat de 17 courses. »
« Les règles ont été strictes – mais elles ont été nécessaires pour que nous partions en course. »
« Nous avons réalisé environ 80 000 tests PCR, avec moins de 100 résultats positifs, soit un taux de 0,11%. C’est une statistique impressionnante qui prouve que le système de la biosphère a fonctionné. »
Parmi les cas positifs cette année, seuls trois pilotes de Formule 1 ont été testés positifs au Covid-19 : Lance Stroll, Sergio Perez et Lewis Hamilton.
