Romain Grosjean n’est pas fan de laisser son baquet à un autre pilote le vendredi

Romain Grosjean a indiqué qu’il n’aimerait pas perdre des heures de roulage l’an prochain dans le cas où son équipe lui demanderait de laisser sa place un vendredi matin pour placer un autre pilote.

En Formule 1, il n’est pas rare de voir des pilotes laisser leur monoplace à de jeunes pilotes payants pour une séance d’essais libres du vendredi matin [comme ce sera le cas ce vendredi à Mexico avec Nicholas Latifi au volant de la Williams].

Mais pour le Français Romain Grosjean, le fait de laisser son volant pendant 90 minutes à un autre pilote lors d’un week-end de course signifie que vous ne pouvez pas vous préparer correctement.

« Perdre un vendredi matin n’a jamais été l’idéal. » explique Romain Grosjean. « Cela dépend où vous voulez vous battre et quelles sont vos ambitions. »

« Nous n’avons jamais vu ni Ferrari ni Mercedes ou Red Bull perdre des vendredi, parce qu’ils veulent se battre pour la victoire. »

« Chaque session est importante. Après, si ça doit se faire ça se fera, mais je pense qu’en termes de performance ce n’est jamais l’idéal. »

« Vous devez faire de votre mieux pour votre équipe. En 2015 [chez Lotus], j’ai offert 10 vendredi à Palmer [Jolyon]. Après, tout dépend de la voiture que vous avez, car si vous avez une bonne voiture avec des réglages équilibrés, il est facile de revenir en arrière. Mais s’il y a un gros travail à faire sur la voiture, c’est un gros revers. »

Bien que rien n’ai encore été confirmé pour l’instant, l’équipe Haas est en discussions avec Robert Kubica pour permettre au Polonais de devenir pilote de réserve de l’équipe en 2020. Romain Grosjean estime que Kubica serait un formidable atout pour son écurie.

« Robert est un pilote incroyable. Il a une très bonne expérience en voiture, en course, il a couru différentes dans différentes catégories. Donc, ce serait certainement une aide. »

« Je pense que nos gars dans le simulateur n’ont pas fait du mauvais travail aussi. Pietro [Fittipaldi] et Louis Deletraz ont tous deux fait un excellent travail. »

« Mais avec la réduction des essais [en 2020], Robert serait là pour nous aider. Après, je ne suis pas trop mécontent des gars que nous avons, le seul inconvénient c’est qu’ils n’ont pas trop roulé. »

Sécurité renforcée à Mexico pour éviter les vols à main armée contre les équipes de F1

Les autorités locales de Mexico ont décidé de renforcer les mesures de sécurité cette année autour du Grand Prix du Mexique pour la protection des équipes.

Après le Grand Prix du Brésil, où plusieurs cas de vol à main armée ont eu lieu ces dernières années, le Grand Prix du Mexique est considéré comme un autre GP dangereux pour la Formule 1, notamment parce que les équipes sont devenues ces dernières années des cibles privilégiées.

Face à cette situation, le secrétariat à la sécurité de la ville de Mexico a décidé de renforcer les mesures de sécurité cette année pour le Grand Prix du Mexique en mettant en place des dispositifs plus élaborés, qui comprennent notamment des drones pour assurer une surveillance permanente aux abords du circuit et sur le trajet des équipes qui rejoignent leur hôtel le soir.

En plus de cela, pas moins de 5300 policiers vont également patrouiller à bord de 325 véhicules dans les rues de Mexico tout au long du week-end. Le gouvernement de la ville de Mexico a également mis en place un service de protection spécial lors des transferts entre l’aéroport et le circuit.

Dernièrement, des affrontements ont eu lieu entre des groupes criminels et la police dans les rues de Mexico, ce qui a apporté un sentiment d’insécurité au sein du paddock, comme le confirme Sergio Perez, le local de l’étape.

« Oui, des collègues m’ont posé des questions à propos de cette situation. » a confirmé le pilote Racing Point.

« Nous ne pouvons pas cacher ce qu’il se passe non plus et ce fut une semaine difficile pour tout le pays. »

Le Grand Prix du Mexique se disputera ce dimanche 27 octobre à 20h10 (heure française) et sera à suivre en direct commenté sur F1only.fr.

Changement climatique : Sebastian Vettel invite la Formule 1 à en faire davantage

Sebastian Vettel estime que la Formule 1 pourrait et devrait agir davantage pour lutter contre le changement climatique.

Ce jeudi en conférence de presse du Grand Prix du Mexique, les questions des médias étaient essentiellement tournées vers le changement climatique, après le message publié par Lewis Hamilton la semaine dernière sur les réseaux sociaux.

Le pilote Mercedes a fait part de son angoisse sur Instagram de voir le grand changement climatique dans le monde sans que personne ne s’y intéresse plus activement. Hamilton a même demandé à ses fans de devenir végétaliens pour « sauver la planète ».

Interrogé ce jeudi pour savoir ce qu’il pensait du message envoyé par son collègue, Sebastian Vettel assure qu’il comprend parfaitement le problème du changement climatique et invite le plus grand nombre de personnes à contribuer au quotidien pour essayer d’inverser la tendance, alors que l’Allemand invite aussi la Formule 1 à en faire davantage.

« Je ne suis Lewis [sur les réseaux sociaux], je ne suis pas actif sur les réseaux sociaux. » a répondu Sebastian Vettel ce jeudi à Mexico.

« Mais je pense que le problème est très clair, et je pense que vous seriez ignorants si vous ne le regardiez pas et bien évidemment, comme Lewis l’a mentionné, il est très difficile pour nous d’obtenir l’acceptation de l’extérieur, car nous n’avons pas la plus petite empreinte carbone possible, principalement parce que les courses ont lieu autour du monde. »

« Nous devons voyager, cela fait donc partie de nos emplois. Mais je pense qu’en général, la Formule 1 devrait faire plus. C’est une plate-forme opérationnelle mondiale et je pense que nous devrions envoyer un message beaucoup plus fort sur ce sujet. »

« Je pense personnellement – c’est possible pour tout le monde – que tout le monde doit faire quelques chose. Il faut contribuer un peu et si le monde entier agissait de la sorte, cela ferait une énorme différence. Je pense qu’il est inévitable que le changement arrive, espérons le plus tard possible. »

GP du Mexique : A quelle heure sont programmés les EL1 et EL2 ce vendredi ?

Dix-huitième manche de la saison 2019 de Formule 1, le Grand Prix du Mexique se disputera ce dimanche 27 octobre sur le tracé Hermanos Rodriguez de Mexico.

Ce vendredi, les pilotes participeront aux premières séances d’essais libres du Grand Prix du Mexique. La première séance de roulage est programmée à 17h00 (heure française), tandis que les EL2 débuteront à 21h00 (heure française).

Les qualifications du Grand Prix du Mexique auront lieu ce samedi 26 octobre à 20h00 (heure française), alors que le départ de la course sera donné ce dimanche à 20h10 (heure française) et sera à suivre en direct commenté sur F1only.fr

Robert Kubica assure qu’il n’y a aucune tension entre lui et Williams

Robert Kubica a insisté sur le fait que ses relations avec l’équipe Williams restaient excellentes, malgré le fait que le Polonais se soit montré critique au Grand Prix du Japon.

Au Grand Prix de Russie, l’équipe Williams a demandé à Robert Kubica d’abandonner en course, alors qu’aucun problème ne semblait toucher la monoplace du Polonais.

Kubica s’est exécuté et a abandonné, mais son sponsor personnel [PKN Orlen] a ensuite demandé des explications à Williams sur les raisons de cet abandon. L’écurie britannique a répondu qu’il fallait préserver certaines pièces sur la monoplace de Robert Kubica pour les courses suivantes.

A Suzuka, Kubica s’est plaint après la course que son équipe avait changé son aileron avant entre la journée du vendredi et celle de dimanche, obligeant le Polonais à piloter une monoplace instable et alors que l’aileron monté vendredi en essais libres lui convenait parfaitement.

Après la course, Robert Kubica a fait part de son agacement aux médias, mais ce jeudi à Mexico, le pilote polonais a voulu calmer le jeu et a insisté sur le fait qu’il n’y avait aucune tension entre lui et Williams.

« Je n’ai jamais remis en question les décisions de l’équipe, je me suis simplement interrogé sur la façon dont ils prenaient les décisions. » a déclaré Robert Kubica ce jeudi à Mexico.

« Je pense que nous sommes tous dans le même bateau, je pense avoir montré de nombreuses fois, pas seulement cette saison, que je suis un gars qui comprend assez bien le sport, et pas seulement du point de vue du pilote. »

« J’ai juste pensé que certaines choses auraient pu être gérées différemment et que nous aurions pu en parler. »

« Je pense qu’il n’y a pas de tension. La situation n’est certes pas facile, mais j’ai de bonnes relations avec l’équipe. Il est certain que ce qui se passe n’affecte pas les relations que j’entretiens avec les personnes avec lesquelles je travaille. »

« Nous sommes tous dans le même bateau et nous comprenons tous très bien notre situation, même si nous avons probablement des points de vue différents parfois. »

« Je pense avoir été dans le sport depuis suffisamment de temps et dans différentes situations pour que je comprenne aussi le point de vue de l’équipe. C’est pourquoi il serait parfois plus facile de parler, plutôt que de le faire différemment. »

« Comme je l’ai dit, je ne pense pas que notre relation soit différente d’avant. J’ai beaucoup de respect pour les personnes qui travaillent dans cette équipe. Bien-sûr, nous sommes parfois limités par les outils dont nous disposons, mais c’est ainsi, et j’ai probablement encore plus de respect parce que je connais la situation. »

« Les gens ne renoncent pas, les gars poussent vraiment fort. Ils font vraiment un travail incroyable avec ce qu’ils ont. »

Renault doit oublier sa disqualification et aller de l’avant selon Ricciardo

Selon Daniel Ricciardo, Renault doit maintenant oublier la disqualification de Suzuka et se tourner vers l’avenir pour aller de l’avant.

Le pilote australien insiste sur le fait que cela ne sera à rien de vouloir s’apitoyer sur son sort, même s’il reconnaît que cette année Renault a dû essuyer plusieurs revers en cours de saison.

« Nous devons nous en débarrasser et aller de l’avant. » a déclaré Daniel Ricciardo ce jeudi à Mexico.

« Si nous continuons à nous attarder sur les malheurs ou sur les circonstances de cette année, nous aurons probablement toujours pitié de nous-mêmes. »

« Mais j’ai le sentiment que cette année, il a été difficile pour nous de prendre de l’élan et de faire partie d’une équipe ambitieuse qui espère pouvoir tirer parti de ce qu’elle a eu l’an dernier, et cela n’a pas vraiment été le cas jusqu’à présent. »

« Et quand nous obtenons quelque chose, quelque chose comme ce qui s’est passé [au Japon] ou ce qui s’est passé à Singapour [Ricciardo a été exclu des qualifications] me fait mal. »

« Il a été difficile pour nous d’avoir un élan et d’avoir une vraie série de courses. J’ai l’impression qu’il y a toujours quelque chose, toujours un obstacle. »

« Mais encore une fois, si nous restons assis ici à nous apitoyer, nous n’allons pas vraiment aller de l’avant. Il n’y a rien d’autre à faire. »

« Nous avons deux courses à la suite et je pense que pour tout le monde dans le paddock, c’est probablement la double course préférée de l’année, alors je pense que nous allons simplement utiliser ce bonheur et cette positivité pour essayer d’obtenir de bons résultats. »

« Oui, nous sommes fâchés et frustrés, mais en tant qu’équipe, nous sommes du genre « oublions ça et allons chercher ces points perdus ». C’est une motivation, vous utilisez les mauvais jours comme une motivation. »

« Je pense que c’est la meilleure chose à faire. Les bonnes journées, vous les appréciez, je pense qu’il est important de célébrer les bonnes journées. »

Affaire Renault : Une simple caméra embarquée a trahi Renault

Une simple vidéo publiée par l’équipe Renault sur YouTube aurait mis la puce à l’oreille des ingénieurs de Racing Point dans l’affaire du système de freinage de la RS19.

Après le Grand Prix du Japon, Renault a été placée sous enquête par les commissaires sportifs à la suite d’une réclamation déposée par Racing Point.

L’écurie Racing Point reprochait à Renault d’utiliser un système de répartition du freinage automatique et a donc déposé une requête auprès de la FIA et qui a été jugée recevable.

Racing Point n’a pas apporté de preuves, mais s’est présentée auprès des commissaires avec un dossier de douze pages constitué bien avant le Grand Prix du Japon.

« Ce n’est pas notre travail. Nous avons mis en avant nos soupçons et les avons listés. » explique Andy Stevenson, directeur de l’équipe de Racing Point à propos de la réclamation portée contre Renault à nos confrères de AMUS.

« Après cela, la charge de la preuve incombe à Renault. Vous devez dire aux commissaires sportifs pourquoi tout est légal. »

Alors que Renault pense avoir été piégée par un ancien ingénieur qui a rejoint l’équipe Racing Point, l’histoire a un scénario complétement différent selon Auto Motor Und Sport.

Les premiers soupçons de l’équipe Racing Point sont apparus lors de la publication d’une vidéo d’un shakedown de la Renault RS19 à Barcelone sur YouTube et publiée par l’équipe Renault elle-même.

Dans le cadre d’une journée de tournage promotionnel, une caméra GoPro a été placée sur le casque de Daniel Ricciardo, ce qui a permis à Racing Point de visionner en HD les informations affichées sur le volant de la RS19.

Dans cette vidéo, on peut effectivement constater que Daniel Ricciardo ne règle pas une seule fois la répartition du freinage sur son volant, ce qui a mis la puce à l’oreille aux ingénieurs de Racing Point.

Sur l’écran LCD du volant de la Renault, on peut voir la valeur en pourcentage en haut à gauche qui varie de façon automatique en fonction de la position de la voiture sur la piste.

La vidéo publiée par Renault en début d’année est toujours visible sur YouTube et comme vous êtes gentils, nous vous mettons le lien ici.

Charles Leclerc : « J’ai montré ce dont j’étais capable cette année »

Charles Leclerc estime avoir réussi à atteindre ses objectifs cette année chez Ferrari pour ce qui fut sa première saison dans un top team.

Le Monégasque a rejoint la Scuderia Ferrari en début d’année et est devenu le coéquipier du quadruple champion du monde Seabstian Vettel.

Interrogé pour savoir s’il pensait avoir réalisé une belle première saison avec la Scuderia, Charles Leclerc a répondu : « Je pense que Mattia est probablement la meilleure personne pour savoir si j’ai réussi ou non. » a déclaré Charles Leclerc ce jeudi à Mexico.

« Mais de mon côté, je suis content de mes propres performances. L’objectif principal était de m’améliorer cette saison. J’ai pris ce défi comme une formidable opportunité d’être aux côtés de Seb et d’apprendre de lui et j’ai atteint la plupart de mes objectifs. »

« Je suis content de ma croissance cette année. Il reste encore beaucoup à apprendre, mais je suis content de cette première saison. »

Leclerc a souligné qu’il laisserait aux dirigeants de Ferrari le soin de décider si ses performances méritaient d’être traitées de manière égale pour la saison prochaine.

« Ce n’est certainement pas moi qui prend la décision pour la saison prochaine. Mais une chose est sûre, je pense que j’ai assez bien travaillé cette saison, j’ai beaucoup progressé. »

« J’ai complètement compris la situation, comme je l’ai mentionné au début de la saison. Je pense avoir été rapide dans certaines courses, j’ai montré ce dont j’étais capable et maintenant, je laisse le soin à Mattia et à la direction de décider. »

Max Verstappen admet que Ferrari est « presque impossible » à battre en qualifications

Max Verstappen admet que les gains réalisés par Ferrari avec son moteur en 2019 rendent l’équipe « presque impossible » à battre en qualifications.

Lors des cinq dernières courses, la Scuderia Ferrari a réussi à décrocher cinq pole positions et trois victoires.

Une mise à jour moteur et l’introduction d’un nouveau package aéro à Singapour ont permis à l’équipe italienne de libérer davantage de potentiel de sa monoplace, ce qui a permis aux deux pilotes d’obtenir de bons résultats.

De son côté, l’équipe Red Bull Racing a apporté plusieurs mises à jours sur sa monoplace, mais les gains obtenus sur la piste ont été bien plus minimes que pour Ferrari.

« Nous avons apporté plusieurs mises à jour, mais nous n’avons pas progressé comme nous l’avions fait l’année dernière. » a expliqué Max Verstappen ce jeudi à Mexico.

« Du côté de chez Ferrari, ils ont gagné beaucoup de puissance tout au long de l’année, et ils sont très difficiles à battre. Même si vous avez une voiture plus rapide d’une demi-seconde, il est encore presque impossible de les battre en qualifications, comme nous avons pu le constater avec Mercedes. »

« Nous continuons à pousser de notre côté pour essayer de gagner en puissance, mais le déficit est vraiment énorme. Quand nous regardons Mercedes et Renault, nous semblons forts, nous ne manquons pas de beaucoup. »

Sebastian Vettel : « Nous ne sommes pas les favoris ce week-end à Mexico »

Sebastian Vettel ne considère pas Ferrari comme favorite ce week-end à Mexico, le pilote allemand estimant que le tracé mexicain ne favorise pas le package de sa monoplace.

Situé à plus de 2000 mètres d’altitude, le circuit de Mexico est considéré comme l’un des plus difficiles du calendrier en termes de réglages de voiture, principalement parce que la rareté de l’air ne permet pas aux monoplaces d’avoir beaucoup d’appuis.

« Nous ne sommes pas les favoris ce week-end, les gens ne voient que la ligne droite parce que nous sommes rapides, mais il y a aussi beaucoup de virages sur ce tracé. » a déclaré Sebastian Vettel ce jeudi à Mexico.

« L’efficacité aérodynamique ne compte pas tant que ça sur ce circuit, mais nous avons une voiture qui manque d’appuis, donc, je ne sais pas si on pourra utiliser cela à notre avantage ce week-end. »

« Il y a pas mal de virages qui vont souligner nos faiblesses. On verra bien, je reste confiant que nous serons à peu près dans le coup avec un bon package, mais certains secteurs vont nous favoriser, tandis que d’autres seront plus difficiles pour nous. »

« Nous verrons bien, mais je sais aussi qu’il y a de la pluie de prévu, donc, ça peut chambouler pas mal de choses aussi. »

Selon les pilotes McLaren, Renault demeure une réelle menace au championnat

Le duo de pilotes de l’équipe McLaren, Lando Norris et Carlos Sainz, ont insisté sur le fait que Renault demeurait une réelle menace au championnat.

Désormais avec un avantage de 43 points sur l’équipe Renault après la disqualification de cette dernière des résultats du Grand Prix du Japon, l’écurie McLaren semble bien partie pour terminer quatrième au championnat constructeurs en 2019.

Mais Carlos Sainz et Lando Norris ont tous deux rejeté les propos selon lesquels l’équipe britannique était désormais en sécurité dans sa position de « meilleure du reste ».

« Je pense qu’avant, nous étions déjà dans une position assez bonne et confortable, mais probablement après cela [la disqualifications de Renault] nous avons encore plus de marge, ce qui est toujours utile, car au milieu du peloton, on ne sait jamais. » a déclaré Carlos Sainz.

« Si dans une course il y a du chaos et que pour une raison quelconque, une troisième ou une quatrième place est gagnée, c’est beaucoup de points. Donc, c’est mieux d’avoir une plus grande marge. »

« Ça peut très facilement se gâter pour nous. » ajoute Lando Norris. « Si, pour une raison quelconque, nous avons un double abandon, il est assez facile pour Renault d’obtenir beaucoup de points. En une course, ils pourraient être de nouveau sur nous et nous devons continuer à nous en préoccuper. »

« C’est bien après ce qui s’est passé que nous ayons une plus grande marge, mais , mais jusqu’à Abou Dhabi, nous devons continuer à aller de l’avant. »

« Renault a une voiture plus rapide que ce qu’elle a pu montrer ces derniers week-ends. Leur rythme de course au Japon était très fort, ils se sont trompés en qualifications. Je pense qu’ils ont une voiture très rapide et continuent à faire des erreurs… »

« J’espère qu’ils continueront à faire de telles erreurs! S’ils ne le font pas, ils seront très compétitifs. »

Hamilton a vendu son jet privé et quelques voitures et répond à ses détracteurs

Lewis Hamilton a tenu à répondre à ses détracteurs, après la publication d’un post sur les réseaux sociaux la semaine dernière par le pilote Mercedes.

La semaine dernière, Lewis Hamilton a fait part de sa grande tristesse de voir le monde dans lequel nous vivons, demandant par la même occasion à ses fans de devenir végétaliens.

Mais le message du pilote Mercedes a été mal perçu par de nombreux gens, qui n’ont pas hésité à le critiquer sur les réseaux sociaux en raison de son mode de vie à l’opposé de ses préoccupations environnementales.

Interrogé ce jeudi à Mexico, Lewis Hamilton a affirmé qu’il était en train d’effectuer un grand chamboulement dans sa vie pour être plus en phase avec ses idées.

« De nombreuses personnes ont exprimé leur opinion sur la manière dont j’utilise les réseaux sociaux, mais c’est définitivement ma plateforme. » a déclaré Lewis Hamilton ce jeudi à Mexico.

« Nous avons tous une voix, tout le monde ici et dans le monde entier. C’est vous qui choisissez comment vous souhaitez l’utiliser. Bien-sûr, ce n’est pas facile, parce que nous voyageons à travers le monde et nous courons en Formule 1. »

« Notre empreinte carbone est certainement supérieure à celle d’un propriétaire moyen habitant dans la même ville. Mais cela ne signifie pas que vous devriez avoir peur de parler de choses qui peuvent aller dans le bon sens. »

« Je regarde toujours les choses et comment je peux améliorer l’impact que j’ai sur le monde. C’est quelque chose dont je deviens de plus en plus conscient au fil du temps. Ça prend du temps. Ce n’est pas une solution miracle, il faut du temps pour comprendre les implications. »

« Je pense que c’est juste une question d’éducation, et j’essaie juste de mettre en évidence des domaines. Que les gens choisissent d’enquêter sur ces problèmes, c’est à eux de décider, mais j’aurais l’impression de ne rien faire de positif si je n’en parlais pas. »

Le pilote britannique a déclaré dans l’un de ses messages qu’il avait envie de tout abandonner face à la situation dans le monde. Le quintuple champion du monde a expliqué que, comme beaucoup de gens, il lui arrivait aussi d’être mal dans sa peau à certains moments de sa vie.

« Beaucoup de gens ne réalisent pas qu’ils [les célébrités] sont aussi des humains, ils ont aussi des sentiments et ils ont des hauts et des bas. »

« Ce n’était pas la meilleure sensation du moment, mais j’ai des gens formidables autour de moi. J’ai eu beaucoup de soutien de mes fans. J’ai eu beaucoup de soutien de ma famille. Il se passe beaucoup de choses dans ma vie en ce moment. Quoi qu’il en soit, ce week-end, je me sens très positif, de retour à faire ce que j’aime faire. »

Plus de jet privé et moins de voitures

Hamilton a déclaré qu’il ferait tout pour diminuer davantage son empreinte carbone d’ici la fin de l’année 2019 : « J’essaie de faire en sorte que d’ici la fin de l’année, je suis neutre en carbone. »

« Je n’autorise personne dans mon bureau, mais aussi chez moi à acheter du plastique, je veux tout ce qui est recyclable, jusqu’au déodorant, jusqu’à la brosse à dents, etc. J’essaie de faire autant de changements que possible dans mon espace personnel. »

« J’ai vendu mon avion il y a plus d’un an. Je vole beaucoup moins maintenant. J’essaie de voler moins dans l’année, mais surtout avec des vols commerciaux, c’est un grand changement dans mes habitudes. »

« J’évite aussi les voyages si je n’ai pas besoin de le faire, je viens au Royaume-Uni, par exemple, avec ma famille et je monte dans le Bedfordshire et je reste à la maison avec ma famille au lieu de partir en vacances. »

« J’ai ma nouvelle [voiture électrique] intelligente à la maison. J’ai vendu plusieurs de mes voitures. Certaines d’entre elles, je ne veux pas les vendre parce que je les aime et j’ai travaillé dur pour les avoir. Mais pour être honnête, je ne les conduis pas beaucoup. »

« J’ai trois Mercedes aux États-Unis, par exemple, mais je vais les renvoyer pour reprendre des EQC. J’ai aussi une Maybach à Londres, mais j’ai l’intention de changer cela. Je pense qu’ils proposeront une hybride à la fin de l’année prochaine, j’adore les Maybach. »

« Je fais constamment des changements. Ce n’est pas une solution miracle, ce n’est pas quelque chose que vous faites sur une courte période. Mais je suis convaincu par les changement que je suis en train de faire et j’encourage les gens autour de moi aussi. »

Limites de la piste : La FIA installe des capteurs électroniques à Mexico

Ce week-end à Mexico, la FIA utilisera à nouveau des capteurs électroniques pour s’assurer que les pilotes n’exagèrent pas avec les limites de la piste.

Comme au Grand Prix de Belgique un peu plus tôt cette année, la FIA a positionné plusieurs capteurs électroniques sur le tracé de Mexico afin de s’assurer que les pilotes respectent bien les limites du circuit.

Cette année, c’est sur le virage numéro 11 [à la sortie des esses] que la FIA veillera le plus au respect des limites de la piste, alors que les pilotes verront leur temps directement annulé en essais et en course ce week-end s’ils coupent le vibreur rouge et blanc à cet endroit sans qu’aucune partie de la voiture avec cette zone.

Un parcours à respecter au premier virage

Notez que pour les trois premiers virages du circuit, un parcours obligatoire est toujours en place depuis l’année dernière et les pilotes devront impérativement respecter ce parcours en cas de sortie de piste sans quoi ils seront systématiquement pénalisés.

SI pendant les essais libres les pilote verront leur temps annulé, la sanction sera plus lourde en course puisqu’ils pourront être sanctionnés d’une pénalité de temps s’ils coupent les trois premiers virages en tirant un avantage.

Lewis Hamilton monte sur le ring pour affronter Julio Cesar Chavez

Lewis Hamilton a échangé ses gants de pilote pour des gants de boxe afin d’affronter Julio Cesar Chavez sur un ring à la veille du Grand Prix du Mexique.

Dans le cadre d’un événement promotionnel pour l’un de ses sponsors, le quintuple champion du monde de Formule 1 est monté sur le ring pour affronter le Mexicain Julio Cesar Chavez.

Pas de vrais coups portés par les deux hommes pour cette démonstration, mais Lewis Hamilton a admis qu’il avait pris beaucoup de plaisir à boxer avec Chavez, qui est champion du monde dans trois catégories différentes.

« Juste un petit entrainement avec ma famille PUMA à Mexico et avec la légende Julio Cesar Chavez. Je suis tellement honoré de monter sur le ring avec vous. Je suis désormais prêt à me battre ce week-end. » a écrit Lewis Hamilton sur son compte Twitter, alors que le Britannique peut décrocher une sixième couronne mondiale dimanche au Grand Prix du Mexique.

Alexander Albon aimerait déménager à Londres, mais n’a pas encore les moyens

Le Thaïlandais Alexander Albon espère bien être retenu par Red Bull Racing pour la saison 2020 afin de lui permettre de quitter son cocon familial.

Il a beau être un pilote de Formule 1, Alexander Albon vit encore chez ses parents et ne pourra quitter sa maison familiale que le jour où il aura sécuriser son avenir en F1.

Le pilote Red Bull Racing n’en est qu’à sa première saison en Formule 1 et a débuté sa carrière chez Toro Rosso en début d’année avant d’être promu chez Red Bull Racing juste après la pause estivale.

« Espérons que dans les années à venir je gagnerai plus d’argent et que je pourrai déménager. » a déclaré Alexander Albon à PA.

« Pour l’instant, je suis encore confiné dans la maison familiale [située à Milton Keynes non loin de l’usine Red Bull]. Milton Keynes est une ville agréable et proche de l’usine Red Bull, mais comment puis-je dire cela? Il y a d’autres endroits là-bas. »

« Peut-être devrais-je habiter ailleurs et avoir un style de vie un peu plus extravagant ? J’aimerais bien aller à Londres en fait, mais encore une fois, j’y ai déjà réfléchi et c’est une question d’argent. J’ai besoin de gagner encore quelques points bonus. »

Alex Albon est né à Londres, a étudié à Ipswich et a passé la majeure partie de sa vie en Angleterre, mais il a adopté la nationalité thaïlandaise de sa mère. Son père, Nigel Albon, est un ancien pilote britannique de voitures de tourisme.

Le COTA s’inquiète du départ du directeur commercial de la F1

Le très probable départ de l’actuel directeur commercial de la Formule 1 inquiète le directeur général du circuit des Amériques.

Sean Bratches, l’actuel directeur commercial de la Formule 1, devrait quitter ses fonctions d’ici la fin de l’année, ce qui inquiète particulièrement le directeur du circuit des Amériques à Austin, qui compte négocier une prolongation de contrat avec la Formule 1.

En effet, le COTA [Circuit Of The Americas] héberge le Grand Prix des Etats-Unis depuis la saison 2012, mais son contrat arrive à échéance en 2021.

Bobby Epstein, le directeur du COTA, admet que les pourparlers pour une éventuelle prolongation vont s’avérer difficiles en raison du départ imminent de Sean Bratches.

« Nous en avons déjà parlé, mais je n’ai rien à signaler là-dessus. » déclare Epstein à Racer. « Je pense que nous avons encore du travail à faire. »

« C’est aussi inquiétant lorsque vous négociez avec un gars qui, vous le savez, ne sera certainement pas au même siège alors qu’il vous promet quelque chose. »

« Concernant la prolongation du contrat, nous discutons avec Sean Bratches. Mais c’est difficile de s’asseoir de l’autre côté de la table avec un partenaire qui ne sera plus là. »

« C’est une grande préoccupation, car même si les choses sont écrites sur le papier, vous devez aussi vous assurer d’avoir un partenaire qui vous accompagne sur du long terme. »

Renault ne souhaite pas entrer dans un « débat stérile » et renonce à interjeter appel

L’équipe Renault F1 Team a décidé de ne pas faire appel de la décision des commissaires sportifs après la disqualifications de l’équipe des résultats du Grand Prix du Japon.

Renault estime que cela ne vaut pas la peine d’essayer d’apporter des preuves autres que celles déjà montrées aux commissaires pour prouver que le système utilisé par ses deux pilotes est légal.

L’écurie du constructeur français ne souhaite pas entrer dans un « débat stérile » et renonce donc officiellement à interjetter appel de la décision des commissaires.

« Nous regrettons la décision des commissaires sportifs et en particulier la sévérité de la sanction appliquée. À notre avis, la sanction n’est pas proportionnelle aux avantages que les pilotes en retirent, en particulier lorsqu’elle est utilisée dans le contexte d’un système pleinement légal et innovant. » peut-on lire dans le communiqué de presse de Renault.

« Elle est également incompatible avec les sanctions précédentes pour des infractions similaires, comme l’ont reconnu les Commissaires Sportifs dans leur décision, mais exprimé sans autre argumentation. »

« Cependant, comme nous n’avons aucune nouvelle preuve à apporter autre que celle déjà produite pour démontrer la légalité de notre système, nous ne souhaitons pas investir davantage de temps et d’efforts dans un débat stérile devant la Cour d’appel internationale concernant l’appréciation subjective, et donc d’une sanction, liée à une aide qui réduit la charge de travail du pilote sans améliorer les performances de la voiture. »

« Nous avons donc décidé de ne pas faire appel de la décision des commissaires sportifs. La Formule 1 sera toujours une arène pour la recherche incessante des plus petites opportunités d’avantage concurrentiel. »

« C’est ce que nous avons toujours fait et continuerons de faire, mais avec des processus internes plus stricts avant que des solutions innovantes ne soient mises en œuvre. »

Affaire Renault : Peut-on parler de triche ? Y a-t-il prescription pour les courses précédentes ?

Officiellement exclue des résultats du Grand Prix du Japon 2019, la question est maintenant de savoir si l’équipe Renault F1 doit être pénalisée pour les courses précédentes.

Ce mercredi soir, les commissaires sportifs du Grand Prix du Japon 2019 ont confirmé la disqualification des deux pilotes Renault pour avoir utilisé à Suzuka une aide au pilotage interdite par la réglementation sportive de la FIA.

A l’issue du Grand Prix du Japon, l’équipe Racing Point avait porté une réclamation contre l’écurie Renault, estimant que les deux RS19 étaient équipées d’un système automatique [ou pré-réglé] permettant un ajustement de la répartition du freinage en fonction de la distance.

L’équipe Renault a donc été jugée coupable d’utiliser une aide à la conduite strictement interdite en F1, mais le rapport des commissaires sportifs ne dit pas si les résultats obtenus par l’écurie du constructeur français lors des courses précédentes doivent être remis en cause, bien qu’il soit peu probable qu’un tel système si controversé ne soit apparu qu’au Grand Prix du Japon.

Selon plusieurs sources, l’équipe Racing Point aurait déjà été informée de l’utilisation par Renault d’un tel système peu avant le Grand Prix d’Italie, mais à cette époque, Racing Point ne disposait pas de suffisamment d’éléments en sa possession pour porter une réclamation contre Renault.

Si Racing Point avait disposé de suffisamment de preuves à ce moment-là, l’équipe basée à Silverstone aurait pu porter un coup très dur à Renault, qui a marqué à Monza 22 points avec les quatrième et cinquième places de Daniel Ricciardo et Nico Hülkenberg.

Y a-t-il prescription pour Renault ?

La question est désormais de savoir sil les autres équipes de la grille peuvent ou pas porter une réclamation contre Renault pour toutes les courses disputées avant le Grand Prix du Japon.

Il semble tout de même difficile pour des concurrents, voire impossible, de pouvoir prouver que Renault utilisait déjà ce système controversé depuis le début de la saison, notamment parce que la FIA ne peut pas lire les données des courses précédentes, contrairement au Grand Prix du Japon où les volants des deux RS19 et les calculateurs ont été placés sous scellés.

L’équipe Renault devrait donc « s’en tirer » avec « juste » une disqualification du Grand Prix du Japon, mais l’écurie du constructeur français n’est pas à l’abris d’une autre « attaque » concernant éventuellement un potentiel autre système dont Racing Point [ou une autre écurie] connaîtrait l’existence, l’équipe de Lawrence Stroll ayant été très bien renseignée sur cette affaire.

Que va faire Renault maintenant ?

L’équipe du constructeur français a déjà déclaré qu’elle « prenait acte » de la décision des commissaires et se gardait le droit d’interjeter appel de cette décision dans les prochaines heures.

Dans cette affaire, Renault a tout de même perdu neuf points au championnat des constructeurs 2019, et même si l’écurie française conserve sa cinquième position au classement, l’écart avec Toro Rosso a nettement diminué pour passer à seulement six points et alors que Racing Point accuse dix points de retard sur Renault.

Peut-on parler de triche ?

Là encore, suivant les personnes interrogées les réponses seront évidemment totalement différentes, que l’on soit pro ou contre Renault.

Personnellement [en gardant mon objectivité], j’estime que les ingénieurs de Renault n’ont fait qu’exploiter les fameuses zones grises de la réglementation, puisque d’un point de vue technique, la FIA n’a pas jugé le système illégal.

Il est toujours difficile de parler de triche dans un milieu aussi compétitif et aussi contrôlé que la Formule 1, d’autant que les personnels de chaque équipe ne cessent de passer d’une écurie à l’autre, ce qui voudrait dire que, tôt ou tard, des affaires comme celle-ci ressortiront toujours.

Renault a tenté sa chance en introduisant ce système controversé, tout comme d’autres équipes testeront certainement à l’avenir des systèmes toujours à la limite de la légalité en exploitant tout simplement les moindres zones grises de la réglementation pour gagner ne serait-ce que quelques millièmes de secondes. C’est peut-être finalement un peu pour cette raison aussi que l’on aime la Formule 1…

C’est à vous de nous donner votre avis, le débat est lancé. Que pensez-vous de cette disqualification de l’équipe Renault ?

Charles Leclerc ne compte pas devenir vegan comme Lewis Hamilton

Le pilote Ferrari Charles Leclerc affirme qu’il ne compte pas devenir végétalien du jour au lendemain.

Ces dernières semaines, Lewis Hamilton a alerté ses fans sur les réseaux sociaux en publiant un message leur demandant de devenir végétaliens afin de « sauver la planète ».

Interrogé pour savoir s’il comptait faire comme son collègue en devenant à son tour vegan, le Monégasque Charles Leclerc insiste sur le fait que pour lui le plus important de d’abord de conserver une bonne forme physique pour lui permettre de piloter sa monoplace.

« Je ne suis pas végétalien, mais je suis évidemment au courant de toutes ces choses. » explique le pilote Ferrari lors d’un entretien accordé à Reuters.

« Je veux être à 100% de ma forme physique, et j’ai pour cela quelques programmes à suivre, mais je regarde tout ça. J’aime le bœuf, mais personnellement je cherche aussi à regarder plus loin dans cette (autre) direction. »

« Je pense que Lewis est un bon exemple de comment devenir vegan, mais pour le moment, les pilotes ont des opinions différentes à ce sujet. J’essaie simplement de suivre la meilleure voie et la meilleure façon de me sentir bien avec moi-même. »

L’équipe McLaren et Sparco prolongent leur partenariat en F1 jusqu’à 2023

L’équipe McLaren a annoncé ce jeudi la prolongation du contrat de partenariat avec son équipementier Sparco jusqu’à 2023.

McLaren Racing et Sparco ont annoncé aujourd’hui une prolongation de leur partenariat de longue date en Formule 1 qui permettra à Sparco de fournir des vêtements de course à l’équipe jusqu’à 2023.

Le partenariat initial entre les deux marques a été formé en 1996 et depuis lors, Sparco a continué de développer des produits conformes aux dernières exigences de la Formule 1.

Actuellement, Sparco fournit à McLaren Racing et à ses pilotes Carlos Sainz et Lando Norris des produits essentiels à la course, notamment des combinaisons, des gants et des harnais en axant sa technologie sur la qualité. En outre, Sparco fournira également ses produits au McLaren Shadow Project avec un kit esports dérivé de la course.

« C’est formidable lorsqu’un partenaire aussi ancien continue de soutenir notre équipe. Sparco nous permet de nous tenir au courant des modifications apportées à la Formule 1 en continuant à développer de nouveaux produits et des vêtements de course innovants. J’ai hâte de continuer à travailler ensemble. » a déclaré Zak Brown, le PDG de McLaren.