Le directeur de course de la FIA, Michael Masi, a expliqué pourquoi les commissaires de la FIA ont fait volte-face ce dimanche soir concernant les pénalités de Lewis Hamilton après l’arrivée du Grand Prix de Russie.
Le sextuple champion du monde a reçu deux pénalités de cinq secondes au Grand Prix de Russie pour avoir réalisé un essai de départ dans une zone non réglementaire avant le départ de la course.
Les commissaires de la FIA ont donc infligé deux fois cinq secondes de pénalité à Hamilton – la première pour avoir réalisé un essai de départ au mauvais endroit et l’autre pour avoir enfreint une règle qui stipule qu’aucune voiture ne peut s’arrêter dans la voie « rapide » de la voie des stands.
En plus de ces deux pénalités de temps, le Britannique a également reçu deux points de pénalité sur sa super licence, mais à la surprise générale, ces deux points lui ont été rendus quelques heures plus tard et c’est son équipe Mercedes qui a écopé d’une amende de 25 000 euros.
Michael Masi est revenu un peu plus en détail sur ce volte-face de la part de la FIA et explique qu’après avoir entendu le pilote Lewis Hamilton et les représentants de l’équipe Mercedes les commissaires ont estimé que la pénalité de points pour le Britannique était inappropriée.
« Les commissaires sportifs après la course ont entendu l’équipe et le pilote de la voiture 44 [Lewis Hamilton]. » explique Masi, directeur de course de la FIA.
« Lewis et Mercedes se sont entretenus avec les commissaires sportifs, pour savoir à quel point c’était en fait une consigne d’équipe donnée à Lewis sur l’endroit où il pourrait effectuer ces essais de départ. »
« Sur cette base, les commissaires ont annulé les points de pénalité car ils pensaient que c’était inapproprié et ont par conséquent infligé une amende de 25 000 euros à l’équipe pour cette instruction. »
« Lewis a suivi les instructions de son équipe et oui, c’était lui qui conduisait la voiture, cependant, un facteur contributif était que son équipe lui avait demandé de le faire à ce moment-là et ils [les commissaires] ont donc jugé bon de réviser leur décision en conséquence. »
La communication radio entre Hamilton et Mercedes
Lewis Hamilton s’était initialement préparé à réaliser un essai de départ à l’endroit autorisé avant de demander à son équipe à la radio : « Il y a de la gomme ici. Est-ce que je peux aller plus loin ? »
Son ingénieur de course Peter Bonnington a répondu: « Affirmatif », et Hamilton a a immédiatement demandé s’il pouvait aller « jusqu’au bout du mur des stands? »
Bonnington lui a alors répondu: « Oui, mais il faut laisser suffisamment de place pour que les voitures passent. »
On a compris depuis pas mal de temps que les commissaires agissent et sanctionnent d’après des instructions de la FIA.
On peut s’interroger sur la non pénalité de Leclerc d’avoir harponné Stroll.
ce serai romain grojean qui aurait commis la faute, rien n’aurai été révisé, mais avec monsieur lewis avec ses campagnes anti raciste et sa locomotive a étoile, pas de problèmes
Foutage de gueule