Sixième à l’arrivée du Grand Prix d’Italie ce dimanche, le pilote Renault F1 Daniel Ricciardo a vécu une « course folle » à Monza, ce qui n’était pas sans lui rappeler le Grand Prix d’Azerbaïdjan 2017 disputé dans les rues de Bakou et qui nous avait offert à l’époque un scénario similaire.
« C’était une course folle. Cela m’a rappelé Bakou en 2017, avec la même impression de tension et d’imprévisibilité extrêmes. » nous explique Daniel Ricciardo.
« Félicitations à Pierre [Gasly] pour sa première victoire. Je sais ce que l’on ressent lorsque l’on s’impose pour la première fois et c’est complètement fou. »
Concernant sa propre prestation, l’Australien estime qu’il n’aurait pas pu faire mieux ce dimanche, notamment parce que les événements imprévisibles ont rebattu les cartes.
« Ce n’est pas trop mal de finir sixième. J’ai le sentiment que je n’aurais pas pu faire plus dans ces circonstances. Nous n’étions pas les seuls, mais la voiture de sécurité et le drapeau rouge n’ont pas joué en notre faveur. »
« Après un beau départ et un rythme solide, le timing n’était pas bon, mais nous ne pouvons rien y changer. »
« Je suis content de la façon dont cela s’est passé, nous avons pris un bon départ, nous affichions un bon rythme et nous nous tournons déjà vers le week-end prochain. »
