Le PDG de la F1, Stefano Domenicali, a commenté le départ du directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, qui quittera ses fonctions à la fin du mois de décembre après quatre années passées à la tête de la gestion sportive de l’équipe italienne.
Cette semaine, Ferrari a indiqué qu’elle avait « accepté » la démission de son directeur d’écurie en F1, le Suisse Mattia Binotto (sur la photo d’illustration). Ce dernier – après avoir tenu ce rôle durant quatre années – quittera ses fonctions le 31 décembre 2022, mais à l’heure actuelle, aucun remplaçant n’a encore été nommé par l’écurie de Maranello.
Ferrari a indiqué que le processus pour choisir le remplaçant de Mattia Binotto était en cours et qu’une annonce serait faite en début d’année prochaine. Parmi les candidats potentiels à la succession de Binotto, deux Français sont en tête de liste : Fred Vasseur (actuel directeur de l’équipe Alfa Romeo) et Laurent Mekies (actuel directeur sportif de Ferrari).
S’exprimant pour la première fois depuis l’annonce du départ de Mattia Binotto, le PDG de la Formule 1, Stefano Domenicali – qui a occupé le même rôle que Binotto chez Ferrari entre 2008 et 2014 – a tenu à apporter tout son soutien au Suisse mais ne se montre pas surpris du sort réservé au directeur de la Scuderia, car terminer une campagne à la deuxième place comme ce fut le cas en 2022 n’est pas un résultat « suffisant » pour une équipe comme Ferrari qui est toujours à la recherche d’un titre mondial depuis le dernier obtenu en 2007.
« Quand vous êtes deuxième avec Ferrari, c’est un résultat qui n’est pas suffisant. » a déclaré Stefano Domenicali à Sky Sports.
« Je ne veux pas entrer dans la dynamique de l’équipe, mais c’est sûr que je veux lui souhaiter le meilleur pour son avenir. »
« J’étais dans la même situation ou position il y a de nombreuses années et je lui souhaite de rester concentré et de croire en lui. Bien-sûr, d’un autre côté, j’espère que Ferrari trouvera la bonne solution pour rester sur la bonne voie car ils ont fait de grands progrès par rapport à là où ils étaient il y a deux ans. »
« Nous avons besoin d’une Ferrari compétitive et nous avons besoin d’avoir une bonne équipe, une équipe forte, des pilotes forts, pour se battre comme les autres. C’est vraiment ce que je leur souhaite. »
Le PDG de la Formule 1 espère que la Scuderia Ferrari sera en mesure en 2023 de se battre pour le titre mondial et offrir aux fans une bataille serrée à trois avec Red Bull et Mercedes.
« Et bien c’est le rêve ! En fait, ce n’est pas un rêve, c’est bien plus qu’un rêve et je crois que cela va arriver. Je suis sûr qu’il y aura plus d’équipes pour se battre pour la première place et aussi pour d’autres positions. »
« Le but et l’espoir, c’est d’avoir une dernière course avec un bon combat, un bon combat sportif, et je pense que toutes les conditions sont réunies. Je suis presque sûr que tout le monde attend [avec impatience] la première course à Bahreïn. »
« Je suis sûr qu’il y aura plus d’équipes pour se battre pour la première place et aussi pour d’autres positions. »
Ah mais je confirme : avec 20 F1, il y a une petite chance pour des batailles à chacune des 20 places…
La compétitivité de la Ferrari aurait au moins mérité une lutte plus disputée jusqu’à au moins l’avant dernière course.
Pour Domenicali, Binotto est le coupable désigné, il l’avait pourtant choisi pour occuper ce poste, il a sa part de responsabilité.
Bobet c’est de la faute de Domenicali ! J’attends juste de voir les prochains éventuellement français à la direction de Ferrari !!! Parce que au niveau écuries française fabriqué et développée en Angleterre dirigée par des français c’est juste 0,0. alors faut d’abord vous les français en général développer un voiture en France de A à Z et devenir champion du monde et après vous pourrez critiquer les italiens !!! Eux c’est de A à Z