Cinquième à l’arrivée du Grand Prix de France, Sebastian Vettel admet qu’il ne pouvait pas faire mieux avec une monoplace mal équilibrée en course.
Malgré quelques améliorations apportées sur sa Ferrari ce week-end au Grand Prix de France, Sebastian Vettel n’a jamais été en mesure de venir inquiéter les deux pilotes Mercedes depuis les premiers essais du vendredi.
Qualifié septième sur la grille de départ, le pilote allemand a d’abord été surpris par le timing de l’extinction des feux au départ, puis a ensuite connu une course solitaire.
« J’ai eu une course plutôt solitaire, mis à part un peu de confusion au départ, étant donné que le timing de l’extinction des feux nous a un peu surpris. » explique Vettel.
« C’était amusant de se battre avec les McLaren, d’abord Norris, puis Carlos. Le premier relais s’est plutôt bien passé et cela m’a permis de réduire l’écart entre Charles et Max. »
« Ensuite, dans le second relais, j’ai eu quelques problèmes d’équilibre et je ne me sentais pas totalement à l’aise avec la voiture. Je pense que la cinquième place est le maximum que nous puissions faire. »
« Nous devons encore comprendre pourquoi vendredi était si compliqué, certaines des pièces que nous avons apportées au Paul Ricard ne fonctionnant pas comme nous l’espérions. »
« Notre voiture n’est pas encore assez forte, et nous n’avons toujours pas le rythme pour battre Mercedes, mais je sais que tout le monde à Maranello travaille avec une pression positive et une passion très grande. »
Seul lot de consolation pour le quadruple champion du monde de Formule 1 ce week-end au Grand Prix de France, il a signé le meilleur temps en course dans le dernier tour, ce qui lui rapporte un point de plus.