Le maire de la ville de Barranquilla en Colombie affirme que les discussions avec la Formule 1 pour accueillir à l’horizon 2024 un Grand Prix des Caraïbes sont en bonne voie et qu’un accord de dix ans semble imminent.
Selon le maire de Barranquilla, la Formule 1 serait prête à s’engager sur dix ans pour venir dans sa ville y disputer un Grand Prix des Caraïbes à partir de 2024 ou 2025 sur un circuit semi-urbain : « Ce que nous pouvons dire, c’est que le processus se déroule très bien. »
« Des progrès ont été réalisés dans toutes les étapes précédentes, avant qu’une décision finale ne soit prise. Ils sont déjà venus dans la ville et ils l’ont trouvé très bien. » explique le maire de de Barranquilla lors d’un entretien accordé à Blu Radio.
Jaime Pumarejo a ajouté que l’un des éléments qui pourrait jouer en sa faveur est le fait que l’éventuel Grand Prix de Formule 1 qui serait organisé à Barranquilla ne coûterait pas d’argent aux collectivités : « Le Grand Prix serait autosuffisant, c’est à dire que le développement de la course ne coûterait pas au pays et à la ville, mais au contraire, cela apporterait de l’emploi, du tourisme et de la reconnaissance. »
Toujours selon le maire, deux tracés urbains sont déjà identifiés et les deux auraient déjà été approuvés, alors que l’éventuel contrat avec la F1 serait sur du long terme : « Sur l’un des tracés, la rivière est présente, sur l’autre non. Mais les deux se trouvent dans la zone métropolitaine de Barranquilla. Nous espérons que, si tout ce qui manque est finalisé, nous pourrions parler de 2024 ou 2025 et ce serait signé pour 10 ans. » a ajouté Pumarejo qui précise que le nom officiel de l’épreuve pourrait être le Grand Prix des Caraïbes.
La ville de Barranquilla est située au nord de la Colombie sur la rive occidentale du du Rio Magdalena, le fleuve le plus important de Colombie, à 7,5 km de son embouchure sur la mer des Caraïbes.
C’est anti-sport, lamentable et désolant.
L’appellation « Grand prix des Caraïbes » peut être revendiqué de la Floride jusqu’au Vénézuela en passant par le Mexique, Panama, la Colombie, Cuba, … aux gouvernements bien « propres sur eux » et aux populations souvent victimes, comme pour les « pays du Golfe ».
Les instances de la F1 ne veulent que le spectacle-cirque-« suspense » et le fric-maximum, grâce à un système médiatico-politique véreux, où le monopole des caïds nie la sans « concertation », où les « barons » empêchent la « chance pour tous », où les devoirs des esclaves nient les « droits de l’homme ». C’est anti-sport, lame
Quid des lignes blanches au grand prix de colombie ?
On les mord, on les snif ?
Trop cool ! va y avoir plein de gens connus le jour du GP ! …………………………..Par Interpol et la DEA
La « blanchisserie » est tendance chez Liberty et FIA…
Chine, Arabie Saoudite, Quatar, Bahreïn, Texas… Mais disparition des bases européennes qui ne veulent pas leur bâtir des temples d’or.
L’argent n’a peut-être pas d’odeur, mais l extérieur de la malette est de plus en plus rouge.
On voit bien le tournant qu’a pri la F1. Des circuits américains surreprésentés et des tracés historiques dont certains étant à l’origine de l’automobile comme la France, l’Allemagne qui seront délaissés.
Je préfère un GP de France, d’Allemagne, du Japon qu’un GP des caraïbes. Faudrait vraiment que le tracé en vaille le coup.