Bernie Ecclestone, ancien patron de la Formule 1, estime que la FIA est trop sévère avec les pilotes.
L’ancien grand argentier de la F1, Bernie Ecclestone, est revenu sur les évènements du Grand Prix du Mexique lors de sa venue à Interlagos le week-end dernier. L’homme, aujourd’hui âgé de 94 ans, vis au Brésil et garde un œil sur la F1 et les controverses qui l’entoure.
Pour le Britannique, la FIA est parfois trop sévère avec les pilotes et va parfois trop loin avec les pénalités. Il faisait la référence aux deux pénalités de 10 secondes chacune infligées à Max Verstappen lors du Grand Prix du Mexique.
« Cela devient trop fou ! On pourrait résumer les règles actuelles en une phrase : ‘Ne vous battez pas, sinon vous aurez des ennuis’”, a déclaré Ecclestone à la RTBF.
« Nous l’avons vu au Mexique avec les deux pénalités de 10 secondes infligées à Max. Une pénalité pour cela, qu’allez-vous faire si quelque chose de plus grave se produit ? Combien de secondes donnez-vous dans ce cas ? Je pense que nous avons dépassé la limite à ce niveau. Ce n’est plus vraiment de la course”, a ajouté l’homme de 94 ans.
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Bernie Ecclestone a été à la tête de la Formule 1 pendant plus de 40 ans. Suite au rachat de la discipline reine du sport automobile par Liberty Media, il a été écarté de son poste. D’après lui, de nombreux aspects ont évolué depuis, ce qui n’est pas nécessairement une mauvaise chose.
« C’est comme partout dans le monde, tout change constamment. Je ne dis pas que les dirigeants actuels font du mauvais travail, mais ils n’ont pas assez regardé les choses en face. Il y a des choses qu’il faut abolir et changer”, a-t-il conclu.
Tout est dit… que les Emirats continue à faire leurs courses de chameaux et nous laissent gérer le sport automobile qui a été créé par les Européens !
Ils n’y comprennent rien et veulent faire des pilotes de gentils eunuques comme dans leurs harem…sauf que la F1 n’est pas un sport de »mauviettes » ! Si cela ne change pas rapidement, ce sport qui était un sport »individuel » deviendra comme le dit très bien le précédent commentaire un show Hollywoodien bon a regarder en mangeant des pop corn et mâcher des chewing-gum
Horizon 17, je dois surement aussi être un ringard.
La « F1 » est devenu un cirque, une production hollywoodienne. On ne se bat pas sur la piste sinon la « presse » britannique, les réseaux « sociaux » vont te lyncher, comme ils l’ont fait à Verstappen.Quand aux directeurs d’écurie, ils se battent comme des chiffonniers.
I’s entertainment comme disent les américains.
Beurk
Bernie Ecclestone en a vu des choses en F1 !
Tellement plus que les « commissaires » actuels qu’il est inutile d’en parler.
Il a connu la véritable Formule 1, virile comme l’est l’ADN de ce sport d’hommes !
Aujourd’hui, les pilotes ne se rendent plus sur un circuit, mais dans un Tribunal dans lequel chaque geste, chaque mot, tout comportement sur la piste et en dehors sont épiés.
C’est consternant !
Certains profitent de la situation : les bien-pensants, les élèves modèles gentillets au volant (essentiellement la nouvelle vague type Norris) prêts à pleurnicher au moindre petit accroc, pendant que d’autres subissent les coups de règle sur les doigts, à savoir les attaquants, les gars plus matures, comme Alonso, Verstappen, Hülkenberg…
On ne pourrait mieux faire pour « castrer » lentement mais sûrement les pilotes, pour comprimer leur talent naturel, pour, là, encore comme ailleurs, tout niveler !!
Principe (fou et imaginaire) d’égalité naturelle oblige ?
Trop de lois tue la loi, c’est bien connu.
Ce ne sont plus des courses de F1 auxquelles devraient assister les (quelques) années futures, mais à des processions de taxis express.
Et des processions bon chic bon genre svp !
Du rata pré-digéré, prêt à gober sans broncher.
Des processions coiffées au laser, faudrait pas qu’un cheveu dépasse, quand même !!
Le tout sous les projecteurs hollywoodiens faiseurs d’idoles.
Ma génération, celle des 60 et plus (les ringards en somme !), on veut des hommes, des vrais !
Pas des pleurnicheurs, des fragiles, des mômes qui passent du karting à la F1 sans voir la différence.
Le trait est forcé, c’est évident, mais cela montre combien ces monoplaces sont trop faciles à piloter, à dompter, comme 1000 chevaux livrés déjà dressés.
Cependant, au-delà de leurs limites naturelles, c’est toujours le talent d’exception qui fera faire à ces montures ce qu’on croyait qu’elles ne pouvaient pas faire.
C’est ce qui à tous de distinguer Verstappen de Perez (même si ce dernier est loin d’être le moins bon du plateau actuel).
Au final, moins de superficiel, moins d’artificiel, plus de naturel humain, ce sont des choses dont la F1 a besoin pour redonner le frisson perdu.
Et qui fait l’ange, fait la bête !!
Que les « instances supérieures » se calment.
Qu’elles cessent de vouloir paraitre des antres de pureté, car cela devient non seulement ridicule, mais se révèle par trop hypocrite, ce qui est très désagréable.
Allez, fausses vierges effarouchées, parce que vous voulez paraitre ce que vous n’êtes pas et ne serez jamais, cessez de dénaturer un sport qui vous dépasse, pour la raison que, et sans même verser dans le dithyrambique, il nécessite et manifeste des vertus que vous n’avez pas, ou que vous ne possédez plus.
Si seulement Bernie Ecclestone (ou quelqu’un de sa trempe) pouvait reprendre les rênes…