Après un excellent résultat en France le week-end dernier, McLaren se tourne désormais vers l’Autriche où l’équipe espère pouvoir être tout aussi performante avec sa MCL34.
Après une double arrivée dans les points au Grand Prix de France [Norris neuvième et Sainz sixième], l’équipe McLaren a conforté sa position de quatrième écurie de la grille et affiche désormais une petite avance confortable de huit points sur l’équipe Renault au championnat du monde des constructeurs.
Pour le Grand Prix d’Autriche, McLaren s’attend à rencontrer de nouveaux défis en piste, notamment parce que le tracé Red Bull Ring est situé en altitude [le premier de la saison], et veut également travailler sur la fiabilité de la MCL34.
En effet en France, la McLaren de Lando Norris a été victime d’une perte hydraulique en fin de course, ce qui a obligé le pilote britannique à terminer le Grand Prix sans direction assistée, ni d’assistance sur les freins.
« Nous nous dirigeons vers les Alpes dans le but de reproduire le week-end fort que nous avons eu en France. » explique Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren.
« L’équipe a très bien performé le week-end dernier, mais comme toujours, nous devons faire preuve de prudence avant la prochaine course. »
« La fiabilité reste un objectif important pour l’équipe et les points qui sont en jeu peuvent faire toute la différence dans la bataille pour le championnat. L’ambiance au sein de l’équipe et des fans est très positive, ce qui nous pousse à faire de plus en plus d’efforts chaque week-end. »
« L’engagement et les performances de nos pilotes encouragent tout le monde à revenir à l’usine et à donner le meilleur de lui-même et à fournir à Carlos et Lando la meilleure voiture possible. »
« L’Autriche est une piste unique et est le premier circuit de haute altitude du calendrier. Ces caractéristiques posent un nouvel ensemble de défis auxquels nous n’avons pas encore fait face avec la MCL34, mais nous sommes prêts à les relever de front et à envisager un week-end de course passionnant. » conclut l’Allemand.