Si il y a bien des lieux qui respirent la technologie, une usine de F1 en est la parfaite représentation. Véritable laboratoire, toutes les étapes de conception d’une Formule 1 y passent, on y trouve également bon nombre d’ingénieurs s’exécutant à distance lors des week-ends de Grand Prix.
Aujourd’hui c’est Mercedes qui nous ouvre ses portes à travers une vidéo d’un peu plus de 3 minutes et qui nous fait visiter à bord d’un drone le complexe de Brackley. Au delà de l’usine, Brackley est également le siège social de l’écurie Mercedes-AMG PETRONAS.
De fait, nous y trouvons toutes les commodités pour recevoir les sponsors et différents partenaires. Entre trophées et Formule 1 suspendues, le lieu respire l’histoire et les succès de la marque. La visite nous permet également de découvrir les coulisses de l’écurie à savoir le pole ingénieur, le service de conception des pièces et ses machines impressionnantes.
Occupée depuis 2010 par Mercedes, l’usine accueillait auparavant Brawn GP, équipe championne du monde en 2009. Le complexe s’étale aujourd’hui sur 60 000 mètres carrés et compte pas moins de 500 employés répartis en 5 équipes. On y trouve notamment la soufflerie (modernisée en 2012), des bancs de haute technologie ainsi que le simulateur de pilotage.
L’usine tourne 24H sur 24H ; 7 jours sur 7 et reste silencieuse uniquement le jour de Noël et durant les 14 jours de la trêve estivale. Mercedes nous apprend que la conception d’une Formule 1 nécessite 250 000 heures de travail auxquelles il faudra ajouter au moins 200 000 heures pour la production de la monoplace.
Visite de l’usine Mercedes de Brackley:
B dans le temps il y a eu Ferrari avec M Shumacher qui gagnait tout ensuite Red Bull avec Vettel maintenant c Mercedes avec L Hamilton.mais à force de travail on voit 2 ou 3 Écuries venir se mêlée à la domination de Mercedes et c super pour tous les fans
Tu n’es donc pas obligé de les suivre.
C’est fait !…
Mercedes toujours Mercedes !!! trop de Mercedes ,trop c’est trop ,on en peut plus !!!… Pitié pour le monde et laisser le vivre…sans Mercedes