Le Thaïlandais Alexander Albon estime que l’équipe Williams s’apprête à débuter la saison 2023 bien mieux préparée que l’an dernier à pareille époque, bien qu’il admette que les principales faiblesses qui ont entravé leurs performances en 2022 existent toujours.
En 2022, Williams a terminé à la dernière place au championnat du monde des constructeurs, l’écurie de Grove ayant eu du mal à s’adapter rapidement à la nouvelle réglementation technique introduite en Formule 1 l’an dernier.
Mais après les trois jours d’essais hivernaux productifs qu’a pu connaître Williams cette année avec 2375 kilomètres parcourus avec la FW45, Alex Albon estime que son équipe est en bien meilleure position que l’an dernier à la veille de la première course du championnat qui débute ce premier week-end de mars à Bahreïn.
« Elle est définitivement plus rapide [la monoplace]. Il n’y a pas une énorme différence en termes d’ADN, mais il y a une petite différence dans la sensation de la voiture, c’est très subtil. » explique Alex Albon.
« Je dirais que les principales faiblesses que nous avons pu avoir l’année dernière étaient encore un peu présentes durant ces quelques jours [durant les essais de pré-saison], et nous avons donc besoin de voir ce que nous pouvons faire [pour améliorer cela]. »
« De toute évidence, rien ne se déroulera jamais comme prévu tout de suite. Je me souviens que l’année dernière à cette époque, notre voiture était très difficile à piloter, donc nous sommes définitivement dans un meilleur endroit. Il s’agit juste de savoir maintenant jusqu’où nous pouvons aller. »
Au total lors des essais de pré-saison, Williams a parcouru 2375 kilomètres avec la FW45, soit le deuxième kilométrage le plus élevé des tests derrière AlphaTauri (2467).