A Djeddah, Hamilton a perdu confiance avec le train arrière baladeur de la W15

Le septuple champion du monde, Lewis Hamilton, a connu une première journée d’essais difficile ce jeudi à Djeddah où se dispute le Grand Prix d’Arabie Saoudite ce week-end. 

Sur un tracé très rapide comme celui de Djeddah, les pilotes doivent impérativement être en confiance dans leur monoplace pour aller chercher les limites entre les murs, mais ce n’était pas le cas pour Lewis Hamilton lors de cette première journée de roulage ce jeudi.

Le Britannique – qui a terminé les El1 et les EL2 à la huitième place – n’a jamais réussi à avoir un train arrière de confiance sur sa W15, le pilote Mercedes ayant même failli aller percuter un mur dans le premier secteur en EL2 lorsqu’il roulait avec beaucoup de carburant embarqué. 

« Ce fut une journée difficile. Je manquais un peu de confiance dans l’arrière de la voiture. Nous avons travaillé sur les réglages d’une séance à l’autre et avons pas mal modifié la voiture. » a expliqué Hamilton ce jeudi soir à Djeddah.

« Le principal problème avec lequel j’ai eu du mal lors des EL1 et EL2 était toujours l’arrière. J’ai vécu quelques grands moments là-bas et sur une piste aussi rapide comme celle-ci, il faut avoir pleinement confiance et ce n’est pas le cas. »

« Nous examinerons les données ce soir pour voir comment nous pouvons nous améliorer. George [Russell] était clairement dans une position plus heureuse avec la voiture aujourd’hui. »

« Nous sommes allés dans des directions légèrement différentes et j’espère que nous pourrons en tirer des leçons et trouver les bonnes solutions. » a conclu le Britannique.

Ocon « encouragé », Gasly « serein » après les premiers essais libres à Djeddah

Les deux pilotes Alpine se sont montrés plutôt satisfaits du comportement et des performances de leur monoplace ce jeudi sur le circuit de Djeddah où se dispute ce week-end le Grand Prix d’Arabie Saoudite.

Certes, l’Alpine A524 n’ira sûrement pas décrocher une pole position ce week-end, mais après un Grand Prix de Bahreïn à oublier avec les deux dernières places sur la grille de départ, les deux pilotes français ont connu un jeudi plutôt positif à Djeddah, toute proportion gardée évidemment.

En EL1, Esteban Ocon a signé le treizième temps, alors que son coéquipier Pierre Gasly s’est octroyé le dix-septième chrono. Plus tard dans la journée lors des EL2, les conditions plus fraîches (séance disputée en nocturne) ont semblé plaire à l’A524, et si Esteban Ocon a signé un quinzième temps, Pierre Gasly lui peut se targuer d’avoir terminé la journée dans le top dix avec un neuvième chrono.

« C’était une journée intéressante à Djeddah et je suis content de reprendre le volant sur ce circuit fascinant. » a déclaré Esteban Ocon ce jeudi soir.

« Nous avons fait deux séances solides avec beaucoup de tours effectués tant avec des charges élevées que faibles de carburant, donc nous avons collecté de nombreuses données et d’apprentissages pour l’avenir. »

« Nous avons du travail à faire pour améliorer la voiture et les réglages du mieux possible d’ici demain. Il y a quelques domaines sur lesquels nous devons travailler, mais c’était un jeudi encourageant. Nous verrons ce que nous pouvons faire en qualifications demain soir. « 

De l’autre côté du garage, Pierre Gasly se montrait tout aussi encouragé par les performances de sa monoplace sur le tracé très rapide de Djeddah : « C’est génial d’être de retour à Djeddah. C’est un style tellement différent de Bahreïn avec des enchaînements à très hautes vitesses. »

« Sur le plan du rythme, nous semblons être un peu plus compétitifs que la semaine dernière, mais ce n’est que le début du week-end et le chemin à parcourir est encore long. » a déclaré le Normand.

« Les sensations au volant sont toujours un défi. Il y a certaines limites, mais il y a également des points positifs à exploiter. Je reste serein. »

« Nous disposons d’une bonne base de travail et nous pouvons clairement faire davantage pour extraire plus de performances de notre package actuel. J’attends avec impatience demain, quand cela commencera vraiment à compter. »

P3 en EL2, Verstappen pense que Alonso a déjà augmenté la puissance

Alors qu’il s’est montré le plus rapide lors de la première séance d’essais libres ce jeudi à Djeddah, Max Verstappen a semblé un peu plus en difficulté lors des EL2 qui se sont disputés sous les projecteurs, le Néerlandais ayant été devancé par la Mercedes de George Russell et l’Aston Martin de Fernando Alonso.

Troisième à trois dixièmes du meilleur temps signé par Fernando Alonso, le pilote Red Bull ne semble toutefois pas trop inquiet de l’écart avec l’Aston Martin et estime que les pilotes devant lui ont très certainement augmenté un peu la puissance dès le début du week-end.

« De façon générale, tout s’est bien passé. Ils [les organisateurs] ont bien préparé la piste car elle n’était pas si sale [beaucoup de sable en raison du vent, ndlr]. Donc, le rythme était assez bon et nous avons appris beaucoup de choses. » a déclaré Max Verstappen après sa journée de travail.

« Evidemment, il y a toujours des choses à améliorer, comme le rythme sur un tour.  Mais je pense aussi que les autres utilisent plus de puissance, comme à Bahreïn. »

« Mais je suis plutôt content des longs runs. Peut-être que d’autres sont un peu plus rapides sur un tour, mais notre voiture prend vraiment vie sur un long relais. »

De l’autre côté du garage Red Bull, son coéquipier Sergio Perez a terminé pour sa part à plus de quatre dixièmes de l’Aston Martin de Fernando Alonso.

Soutenu par Red Bull, Horner veut « tirer un trait » sur la controverse

Le directeur de l’équipe Red Bull, Christian Horner, a déclaré que le temps est désormais venu de « tirer un trait » sur la controverse suscitée par les accusations concernant son comportement envers une employée Red Bull. 

Le poste de Christian Horner en tant que directeur de l’équipe Red Bull Racing et directeur général a fait l’objet d’un examen minutieux à la suite d’une enquête interne qui a rejeté les allégations de « comportement inapproprié » portées contre lui par une employée Red Bull. 

Christian Horner, qui a nié les allégations tout au long du processus, a subi de nouvelles pressions avant le Grand Prix de Bahreïn, lorsque des éléments prétendant être la preuve présumée dans l’enquête sur sa conduite ont été divulgués à de nombreux médias et directeurs d’équipes de F1 en provenance d’un compte de messagerie anonyme, alors que le même jour, le père de Max Verstappen – Jos Verstappen – a déclaré au Daily Mail que l’équipe Red Bull risquait « de se déchirer » si jamais Horner restait en place à son poste.

S’exprimant ce jeudi devant les médias lors de la conférence de presse du Grand Prix d’Arabie Saoudite, Christian Horner a déclaré qu’il était désormais temps de « tirer un trait » sur cette affaire, d’autant que l’on a appris au même moment que l’employée ayant porté des accusations contre le Britannique a été suspendue par Red Bull.

« Enormément de choses ont été tirées de tout cela. Cela représente un grand intérêt dans différents médias pour différentes raisons. Le moment est venu de tirer un trait sur cela. » a déclaré Horner.

Horner a souligné que le conseil d’administration de Red Bull avait nommé un avocat indépendant qui s’est occupé de cette affaire avec le plus grand professionnalisme : « La réalité est qu’un grief a été soulevé, cela a été traité de la manière la plus professionnelle par le groupe, qui a nommé un avocat indépendant, l’un des plus réputés du pays. » a ajouté le Britannique.

« Il a pris le temps d’enquêter sur tous les faits. Il a tout examiné et il est arrivé à une conclusion dans laquelle il a rejeté le grief. En ce qui me concerne, en ce qui concerne Red Bull, nous passons à autre chose. »

Christian Horner a insisté sur le fait qu’il voulait désormais « aller de l’avant » après avoir des moments très éprouvants au cours des dernières semaines : « J’ai la chance d’avoir une belle famille et une femme qui me soutient beaucoup. Cela a été très éprouvant et très difficile. »

« Ma femme m’a énormément soutenu, tout comme ma famille, mais l’intrusion dans ma famille est désormais suffisante et nous devons aller de l’avant et nous concentrer sur la raison pour laquelle nous sommes ici. »

« Il est temps maintenant de se concentrer sur la raison pour laquelle nous sommes ici, c’est-à-dire participer à la Formule 1. »

Invité à donner un peu plus de détails sur toute cette affaire, Horner a insisté sur le fait qu’il devait respecter la confidentialité de la procédure : « Il existe une procédure de règlement des griefs dans toute entreprise et cette procédure est confidentielle entre les individus et l’entreprise elle-même. »

« Je ne suis pas libre [de parler] pour des raisons de confidentialité et par respect envers l’entreprise et l’autre partie. Nous sommes tous soumis aux mêmes restrictions, même si j’aimerais en parler, je ne peux pas. »

« La seule raison pour laquelle cela a attiré autant d’attention est à cause des fuites et de l’attention des médias, qui ont été très éprouvantes à bien des égards. »

Concernant les propos tenus par Jos Verstappen à son égard le week-end dernier, Christian Horner a là encore insisté sur le fait que l’équipe devrait rester soudée pour le bien commun : « J’ai parlé à Jos après le grand prix et il est dans l’intérêt de tout le monde que nous convenions d’avancer et de nous concentrer sur l’avenir. Nous avons tous les deux un intérêt direct dans son fils [Max Verstappen] pour tirer le meilleur de lui. »

Arabie Saoudite – EL2 : Alonso frappe fort au volant de son Aston Martin

C’est le pilote Aston Martin Fernando Alonso qui a signé le meilleur temps de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite en 1,28.827 (Tendres). L’Espagnol devance de deux dixièmes la Mercedes de George Russell (Tendres) et de trois dixièmes la Red Bull de Max Verstappen (Tendres).

Derrière, Charles Leclerc, Sergio Perez, Lance Stroll, Carlos Sainz, Lewis Hamilton, Pierre Gasly et Oscar Piastri complètent le top dix de cette ultime séance d’essais libres de la journée en Arabie Saoudite, une séance relativement calme puisque aucun événement majeur n’est à signaler hormis le début de séance retard de quelques minutes.

Début de séance retardé 

Le début de la séance a été retardé de dix minutes en raison d’un problème avec les grilles d’évacuation situées dans la voie des stands. Les commissaires ont dû les vérifier une à une après que l’une d’entre elles se soit détachée devant le garage Haas.

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Hamilton risque une pénalité 

Le pilote Mercedes Lewis Hamilton – qui a eu bien du mal à garder sa monoplace en piste durant cette séance en raison d’un train arrière baladeur – pourrait bien écoper d’une pénalité pour avoir bloqué la Williams de Logan Sargeant lorsque l’Américain arrivait derrière lui à pleine vitesse. Sargeant s’est fait une belle frayeur un voyant au dernier moment la Mercedes W15 du septuple champion du monde dans la trajectoire.

De façon générale, le trafic sur le tracé de Djeddah est un gros problème ce week-end avec des virages très rapides à l’aveugle. Il devrait y avoir quelques surprises ce vendredi durant les qualifications, mais aussi sûrement quelques pénalités après la séance…

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La troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite est programmée ce vendredi à 14h30 (heure de Paris) et sera à suivre en direct sur notre site à cette adresse.

Résultats des EL2 à Djeddah

24liveblog

Charles Leclerc espère ne pas rencontrer de problèmes de freins à Djeddah

Le pilote Ferrari Charles Leclerc espère que les problèmes de freins qu’il a pu rencontrer le week-end dernier en course à Bahreïn ne réapparaîtront pas à Djeddah où se dispute le Grand Prix d’Arabie Saoudite, deuxième manche du championnat du monde 2024.

A Bahreïn le week-end dernier, Charles Leclerc a très vite rencontré un problème de freins sur sa monoplace en course, ce qui a fait perdre au Monégasque beaucoup de rythme, l’empêchant de défendre sa deuxième position. Malgré ces problèmes de freins, Leclerc a finalement terminé quatrième au drapeau à damier.

Interrogé ce mercredi à Djeddah pour savoir si Ferrari avait identifié le problème de freins qui lui a coûté du rythme à Bahreïn, Charles Leclerc a indiqué qu’il s’agissait d’un problème encore jamais vu auparavant, mais qu’il s’attendait à ce que cela ne se reproduise plus ce week-end à Djeddah.

« Il s’agissait d’un problème que nous n’avions jamais rencontré auparavant, et cela nous a évidemment coûté très cher en termes de rythme, surtout dans la première moitié de la course où il était extrêmement difficile de piloter. Mais je ne m’attends pas à ce que cela se reproduise ce week-end. » a expliqué Leclerc avant le Grand Prix d’Arabie Saoudite.

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait rencontré déjà de tels soucis lors des essais hivernaux qui se sont disputés sur le même tracé, le Monégasque a répondu : « Non, il y a toujours des réglages fins à faire, et c’est ce que nous avons fait. Mais non, nous n’avons pas eu le type de problème que j’ai pu avoir en course. »

Bien que sa performance à Bahreïn a été entravée par ses problèmes de freins, Leclerc insiste cependant sur le fait que la compétitivité de la SF-24 correspond aux attentes de l’équipe en ce début d’année.

« C’est ce à quoi nous nous attendions plus ou moins, peut-être un peu mieux même. Mais nous devons encore attendre et voir. Je pense qu’il est un peu trop tôt pour tirer des conclusions après la première course. » a-t-il ajouté.

« Une chose est sûre, c’est que nous nous concentrons sur les problèmes de freins que nous avons rencontré en course. Nous y avons travaillé, et j’espère que nous pourrons les résoudre. »

Avant le Grand Prix d’Arabie Saoudite, Charles Leclerc occupe la quatrième place au championnat du monde des pilotes avec trois points de retard sur son coéquipier Carlos Sainz.

LIVE F1 : suivez les EL2 du Grand Prix d’Arabie Saoudite en direct (séance terminée)

Bienvenue sur ce live pour suivre en direct la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite, deuxième manche du championnat du monde 2024 de Formule 1.

Les premiers essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite [EL1] étaient programmés ce jeudi 07 mars à 14h30 (résultats ici), tandis que la deuxième séance d’essais libres s’est disputée à 18h00 (résultats ici).

Le vendredi 08 mars, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite [EL3] à 14h30 (heure de Paris), alors que la séance de qualifications est programmée à 18h00 (heure de Paris).

Enfin, le départ du Grand Prix d’Arabie Saoudite 2024 sera donné le samedi 09 mars à 18h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 50 tours de course.

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Pour suivre les essais libres 2 du Grand Prix d’Arabie Saoudite en direct, rendez-vous sur notre Live Center accessible ici ou bien vous pouvez suivre la séance via le Live ci-dessous.

Les EL2 en direct à Djeddah

Arabie Saoudite – EL1 : Max Verstappen un dixième devant Fernando Alonso

C’est le pilote Red Bull, Max Verstappen, qui a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite en 1,29.659 (Tendres). Le Néerlandais devance d’un dixième l’Aston Martin de Fernando Alonso (Tendres) et de deux dixièmes la Red Bull de Sergio Perez (Tendres).

Derrière, George Russell, Charles Leclerc, Carlos Sainz, Lando Norris, Lewis Hamilton, Lance Stroll et Alex Albon complètent le top dix de cette première séance d’essais en Arabie Saoudite.

Carlos Sainz Malade 

Malade, Carlos Sainz a brillé par son absence ce mercredi dans le paddock de Djeddah pour la journée réservée aux médias. Le pilote Ferrari est cependant bien présent ce jeudi au volant de sa monoplace, mais l’Espagnol n’est visiblement pas au top de sa forme et va donc devoir prendre son mal en patience tout au long du week-end en Arabie Saoudite sur un tracé ultra rapide mettant la condition physique des pilotes à l’épreuve…

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Une séance peu représentative

Il est bon de noter que cette première séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite est peu représentative car disputée de jour. En effet, les qualifications et la course se disputeront de nuit à Djeddah, ce qui signifie que les conditions de roulage seront bien différentes, avec notamment des températures plus fraîches attendues.

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Frayeur pour Stroll 

Lance Stroll a été le premier pilote du week-end à aller titiller les limites de piste à Djeddah et le Canadien s’est fait une belle frayeur. Son Aston Martin a en effet touché un mur, ce qui a eu pour conséquence d’endommager l’une des roues de son AMR24 et a obligé Stroll à rentrer au garage un long moment pour des réparations. Il pourra finalement reprendre la piste avant la fin de séance.

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Beaucoup de vent !

Les fortes rafales de vent qui soufflent sur Djeddah ce jeudi ont ramené sur la piste de nombreux sacs plastique qui sont venus s’engouffrer dans les monoplaces. Charles Leclerc a même indiqué qu’il avait l’impression de jouer à « Mario Kart » en devant éviter les obstacles.

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La deuxième séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite est programmée ce jeudi à 18h00 (heure de Paris) et sera à suivre en direct sur notre site à cette adresse.

Résultats des EL1 à Djeddah

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LIVE F1 : suivez les EL1 du Grand Prix d’Arabie Saoudite en direct (séance terminée)

Bienvenue sur ce live pour suivre en direct la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite, deuxième manche du championnat du monde 2024 de Formule 1.

Les premiers essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite [EL1] étaient programmés ce jeudi 07 mars à 14h30 (résultats ici), tandis que la deuxième séance d’essais libres se disputera le même jour à 18h00 (heure de Paris).

Le vendredi 08 mars, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite [EL3] à 14h30 (heure de Paris), alors que la de qualifications est programmée à 18h00 (heure de Paris).

Enfin, le départ du Grand Prix d’Arabie Saoudite 2024 sera donné le samedi 09 mars à 18h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 50 tours de course.

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite en direct, rendez-vous sur notre Live Center accessible ici ou bien vous pouvez suivre la séance via le Live ci-dessous.

Les EL1 en Arabie Saoudite en direct

Sergio Perez explique son changement d’approche pour la saison 2024 de F1

Sergio Perez est revenu un peu plus en détail sur les changements qu’il a pu mettre en place au cours de l’hiver pour lui permettre d’élever encore un peu plus son niveau de jeu en 2024.

En 2023, Sergio Perez a très bien débuté la saison avec une première victoire au Grand Prix d’Arabie Saoudite dès la deuxième manche de l’année. Mais très rapidement, les performances du pilote Red Bull ont chuté et le Mexicain s’est retrouvé coincé dans une spirale négative avec plusieurs crashs et des résultats bien en deçà des attentes de son équipe.

Après ce gros passage à vide qui aura duré plusieurs semaines, Sergio Perez a finalement repris du poil de la bête en deuxième partie de saison et a réussi à terminer à la deuxième place au championnat du monde des pilotes 2023, permettant à son équipe de décrocher le premier doublé de son histoire.

Après cette campagne 2023 difficile pour lui, Sergio Perez a donc mis en place des changements au cours de l’hiver pour être certain de débuter sa dernière année de contrat avec Red Bull de la meilleure des façons.

« Evidemment, ce n’est pas comme si j’avais oublié de piloter d’un week-end à l’autre, il y avait des raisons derrière tout cela. Nous les avons compris et je pense que je suis dans une meilleure forme. » a expliqué Sergio Perez dans le podcast Beyond The Grid de la Formule 1.

« Je pense être capable de me concentrer sur la bonne approche pendant tout le week-end, faire des qualifications correctement, progresser [tout au long du week-end]. L’année dernière, je pense qu’il m’a manqué beaucoup de cette progression tout au long d’un week-end. »

« Je pense qu’être capable de s’adapter et de s’améliorer du vendredi au samedi, du samedi au dimanche, et de faire ces sauts tout au long du week-end sera la clé. »

« Il est simplement important d’avoir cette évolution et de travailler également avec le simulateur, pour essayer d’avoir une bonne base à l’usine à Milton Keynes. Il s’agit simplement de maximiser chaque opportunité. Il y a 24 courses, et course après course, il y a une chance de maximiser les opportunités. Je sais que si j’y parviens, je passerai une excellente année. »

En plus d’avoir adopté une toute nouvelle approche de ses week-ends, Sergio Perez a également apporté quelques changements hors-piste, notamment dans sa préparation physique et dans l’organisation des ses voyages.

« Physiquement, j’ai essayé de mettre davantage en place un programme d’entrainement pour le début de la saison, car ensuite, tout est question de maintien. Donc, essayer de gagner un peu plus de temps a été bénéfique. » a ajouté Perez.

« Je me sens à l’aise dans la voiture et maintenant l’autre chose est simplement d’essayer de minimiser l’impact des déplacements que nous faisons. »

« Il faut veiller à mieux planifier les journées dans le simulateur, les jours où je retourne en Europe ou au Mexique, le programme de tous les sponsors que nous avons dans l’équipe, en essayant toujours de réduire les déplacements. »

« C’est très important car il y a 24 courses. Pour le moment, nous sommes tous frais et souriants, mais lorsque nous arriverons à la moitié de la saison et qu’il restera encore 15 courses à disputer, il sera important de conserver le niveau d’énergie élevé. »

Lors de la première manche de l’année disputée à Bahreïn, Sergio Perez a terminé deuxième avec plus de 20 secondes de retard sur son coéquipier Max Verstappen. Le Mexicain occupe avant le Grand Prix d’Arabie Saoudite 2024 la deuxième place au championnat du monde. 

Pour Alonso, il y aurait moins d’esclandre en F1 avec plus de compétition en piste

Le double champion du monde Fernando Alonso estime que les affaires qui secouent actuellement le paddock de la Formule 1 ne seraient peut-être pas aussi médiatisées s’il y avait plus de compétition en piste.

Depuis le début de l’année le paddock de la F1 est secoué par plusieurs affaires hors-piste avec dans un premier temps le directeur de l’équipe Red Bull, Christian Horner, qui a fait l’objet d’une enquête interne pour un présumé « comportement inapproprié » envers une employée de Red Bull. Cette affaire a finalement été classée « sans suite ».

Christian Horner, qui a nié les allégations tout au long du processus, a ensuite subi de nouvelles pressions avant le Grand Prix de Bahreïn, lorsque des éléments prétendant être la preuve présumée dans l’enquête sur sa conduite ont été divulgués à de nombreux médias et directeurs d’équipes de F1 en provenance d’un compte de messagerie anonyme. Le même jour, le père de Max Verstappen – Jos Verstappen – a tenu des propos au Daily Mail qui ont également fait couler beaucoup d’encre, le Néerlandais indiquant que l’équipe Red Bull risquait « de se déchirer » si jamais Christian Horner restait en place à son poste. 

Comme si tout cela ne suffisait pas, voilà qu’un lanceur d’alerte a accusé le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, d’avoir fait annuler une pénalité infligée à Fernando Alonso au Grand Prix d’Arabie Saoudite en 2023 et d’avoir également tenté de faire capoter le Grand Prix de Las Vegas en demandant à des personnes de la FIA de trouver une excuse pour ne pas homologuer le circuit. Suite à ces révélations, la FIA a confirmé qu’une enquête interne est en cours.

Pour Fernando Alonso, il n’y a pas de fumée sans feu et l’Espagnol estime que toutes ces affaires éclatent au grand jour parce qu’il y a peu de compétition en piste, alors que la catégorie reine est largement dominée par une seule équipe et un seul homme depuis deux ans maintenant : « On parle trop hors-piste parce que les activités sur piste ne sont pas très excitantes en ce moment. » a déclaré Alonso à Djeddah ce mercredi.

« Il y a une voiture qui a gagné lors des 72 derniers Grands Prix, elle est plus ou moins dominante depuis trois ans. Quand cela se produit dans un sport, il y a toujours beaucoup d’activité hors-piste. » a-t-il ajouté.

Concernant l’implication présumée du président de la FIA dans sa sanction au Grand Prix d’Arabie Saoudite 2023, Fernando Alonso dit qu’il a confiance dans la procédure d’appel que son équipe a lancée il y a un an pour tenter de faire annuler la sanction et qu’il attend désormais le résultat de l’enquête en cours de la FIA.

« Il s’agit d’une enquête de la FIA que nous devons respecter et nous devons attendre le résultat. Nous sommes satisfaits de toutes les preuves que nous avons montrées l’année dernière, c’était donc une résolution assez claire pour nous. »

« Nous verrons ce que dit la FIA après sa propre enquête, mais cela ne dépend pas vraiment de nous, d’Aston Martin. »


Pour rappel : les commissaires de course du Grand Prix d’Arabie Saoudite 2023 reprochaient au pilote Aston Martin de ne pas avoir correctement purgé une première pénalité infligée pour ne pas avoir correctement positionné sa monoplace sur la grille de départ.

Le double champion du monde a en effet écopé d’une pénalité de cinq secondes pour un mauvais positionnement sur la grille de départ, une pénalité qu’il devait purger lors de son arrêt au stand. Cependant, la direction de course a estimé que les mécaniciens de l’équipe Aston Martin ont touché la monoplace d’Alonso avant que les cinq secondes de pénalité ne soient purgées.

Pour cette erreur, Fernando Alonso a écopé de dix secondes de pénalité sur son temps final, ce qui veut dire que l’Espagnol – qui a franchi la ligne d’arrivée à la troisième place – a perdu son podium et a été officiellement classé quatrième.

Cependant, l’équipe Aston Martin a choisi de faire appel de cette décision et les commissaires ont donné raison à l’écurie du constructeur britannique, ce qui veut dire que Fernando Alonso a récupéré son podium quelques heures plus tard, le 100° de sa carrière.


 

Météo GP d’Arabie Saoudite : Des conditions venteuses sur les rives de la mer Rouge

Le Grand Prix de Formule 1 d’Arabie Saoudite, deuxième manche de la saison 2024, se dispute ce week-end sur le Djeddah Corniche Circuit. Comme lors de la manche inaugurale, et en raison du Ramadan, les activités débutent dès jeudi (EL1 et EL2) et se poursuivent vendredi (EL3 et Qualifications) puis samedi pour la course. Sans plus tarder, voici les prévisions météorologiques détaillées prévues pour ce week-end.

L’attente a été courte. Pour cette ouverture de la saison 2024, les amateurs de Formule 1 ont droit à un premier « back-to-back ». C’est la quatrième fois que la F1 se rend dans le royaume saoudien sur ce circuit urbain le long de la mer Rouge.

La piste longue de 6,174 km offre de nombreuses occasions de dépassement. Emprunté dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, le tracé comporte un total de 27 virages (dont certains très rapide et à l’aveugle) et des zones de freinage intenses. Il s’agit également du deuxième Grand Prix disputé de nuit cette année, ce qui ajoute à l’ambiance et au défi pour les pilotes et les équipes.

Situation générale

Située sur la rive Est de la Mer Rouge, la ville de Djeddah bénéficie d’un climat de type désertique (très chaud et avec très peu de précipitation). En mars, les températures maxi approchent les 35°C en après-midi, mais en raison d’un vent soutenu de secteur Nord-Ouest, le mercure restera très légèrement inférieur aux normales saisonnières.

Jeudi 7 mars – EL1 et EL2

Pour la journée de jeudi, le temps qui s’installe est sec, très ensoleillé avec un indice UV dépassant 10. Les températures avoisinent 30°C vers 14h et sont en baisse pour la seconde moitié de l’après-midi et la soirée.

Lorsque les monoplaces seront en piste (EL1 à 16h30 et EL2 à 20h heure locale), le mercure variera entre 29°C et 24°C. Pendant ces deux premières séances de roulage, il soufflera un vent soutenu du secteur Nord-Ouest (donc venant de la mer) avec des rafales pouvant atteindre 50 km/h ! Le taux d’humidité est relativement bas avec des valeurs comprises entre 35% et 60%.

Vendredi 8 mars – EL3 et qualifications

Pour vendredi, c’est une nouvelle journée ensoleillée et parfaitement sèche qui est attendue. Les températures maximales seront stationnaires avec un mercure entre 28°C au moment où sera donné le coup d’envoi de la séance d’essais libres 3 (16h30 heure locale) et 24°C pour la séance de qualification (20h00 heure locale). Avec le soleil très présent, la température du bitume saoudien sera particulièrement à surveiller.

Le vent du Nord-Ouest sera toujours bien présent avec encore des rafales pouvant dépasser 40 km/h en fin d’après-midi. Ce vent devrait perdre en intensité pour les qualifications. Bien sûr, aucun risque de pluie à l’horizon.

Samedi 9 mars – La course

Les conditions pour la course resteront sèches et très agréables. Le vent du Nord soufflera à 15 km/h avec des pointes pouvant atteindre 20 km/h. Le taux d’hygrométrie évoluera entre 50% et 60%.

L’air ambiant sera chaud en ce début de soirée avec une température de 25°C. Comme à Bahreïn la semaine dernière, la température de la piste évoluera à la baisse au cours des 50 tours que comporte l’épreuve nocturne. Les pneus mis à disposition par Pirelli pour ce week-end (C2, C3 et C4) offriront ainsi une multitude de choix au niveau de la stratégie.

On se retrouve dans 2 semaines pour les prévisions météo du Grand Prix d’Australie (Melbourne). En attendant et pour suivre les conditions météo en temps réel ainsi que les prévisions horaires pour cette course, vous pouvez consulter le site de notre partenaire météo en cliquant sur ce lien Celinium.

GP F1 d’Arabie Saoudite : A quelle heure sont programmés les EL1 et EL2 ce jeudi ?

Les pilotes de F1 sont en piste ce jeudi pour disputer les deux premières séances d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite 2024, deuxième manche du championnat du monde de Formule 1, qui se dispute du 07 au 09 mars sur le tracé de Djeddah.

Les premiers essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite [EL1] sont programmés ce jeudi 07 mars à 14h30 (heure de Paris), tandis que la deuxième séance d’essais libres [EL2] se disputera le même jour à 18h00 (heure de Paris).

Le vendredi 08 mars, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite [EL3] à 14h30 (heure de Paris), alors que la de qualifications est programmée à 18h00 (heure de Paris).

Enfin, le départ du Grand Prix d’Arabie Saoudite 2024 sera donné le samedi 09 mars à 18h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 50 tours de course.

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès ce jeudi 07 mars pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix d’Arabie Saoudite en direct sur notre Live Center accessible ici.

Verstappen prend la défense de son père et répond à la rumeur Mercedes

Max Verstappen a insisté sur le fait que son père n’était « pas un menteur », mais a déclaré que l’affirmation de Jos Verstappen selon laquelle Red Bull « exploserait » si Christian Horner restait aux commandes « ne devrait pas » se produire.

Le poste de Christian Horner en tant que directeur de l’équipe Red Bull Racing et directeur général a fait l’objet d’un examen minutieux à la suite d’une enquête interne qui a rejeté les allégations de « comportement inapproprié » portées contre lui par une employée Red Bull. 

Christian Horner, qui a nié les allégations tout au long du processus, a subi de nouvelles pressions avant le Grand Prix de Bahreïn, lorsque des éléments prétendant être la preuve présumée dans l’enquête sur sa conduite ont été divulgués à de nombreux médias et directeurs d’équipes de F1 en provenance d’un compte de messagerie anonyme. Le même jour, le père de Max Verstappen – Jos Verstappen – a déclaré au Daily Mail que l’équipe Red Bull risquait « de se déchirer » si jamais Horner restait en place à son poste. 

S’adressant pour la première fois aux médias depuis les commentaires rapportés de son père, il a été demandé à Max Verstappen s’il était d’accord avec les propos de Jos Verstappen et le Néerlandais a répondu : « Je ne sais pas. J’espère que non. Cela ne devrait pas être le cas. »

« C’est une entreprise forte, un équipe forte, il y a beaucoup de membres forts, donc normalement non. » a ajouté le pilote Red Bull.

Lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que son père regrettait ses commentaires, Verstappen a répondu : « Je ne lui ai pas demandé. Il a toujours été franc, ce n’est pas un menteur, c’est sûr. »

« J’étais avec lui jusqu’à hier, nous parlons tout le temps. Nous sommes une équipe. C’est moi, mon père et Raymond [Vermeulen; son manager] tous ensemble, et ce sera toujours comme ça. Mais je suppose qu’il ressentait ce qu’il a dit. »

« Mais je pense que de mon côté, cela n’a pas d’importance d’être d’un côté ou de l’autre. Bien sûr, en tant que fils de mon père, ce serait bizarre d’être d’un côté différent, mais de mon côté, je veux juste me concentrer sur l’aspect performance et je veux juste parler moins de ce que nous faisons en tant qu’équipe en dehors de la piste que de la performance réelle, car pour le moment, nous avons une excellente voiture et nous attendons avec impatience une super année. »

Chez Mercedes en 2025 ? 

Concernant les rumeurs qui l’envoient chez Mercedes à partir de la saison 2025, le triple champion du monde a une nouvelle fois indiqué qu’il était bien dans son équipe actuelle et qu’il ne comptait pas la quitter : « L’intention de signer un contrat à long terme avec Red Bull en dit long. »

« Je sais ce que Red Bull représente pour moi dans ma carrière, j’apprécie d’être ici et je suis heureux au sein de notre équipe. Avec ces réalisations, il n’y a aucune raison de penser à partir. J’ai un contrat jusqu’à fin 2028. »

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La Française Doriane Pin débute sa saison en F1 Academy à Djeddah

La Française Doriane Pin s’apprête à faire ses débuts officiels en F1 Academy ce week-end sur le circuit de Djeddah en Arabie Saoudite et la native d’Ivry-sur-Seine compte bien décrocher le titre et suivre le chemin de ses rêves vers la Formule 1.

Considérée comme l’une des jeunes stars les plus brillantes du sport automobile, la réputation de Doriane Pin la précède. À seulement 20 ans, elle s’est frayée un chemin vers la gloire dans les Ferrari Challenge Europe Series, remportant neuf des 14 courses, et a marqué de son empreinte le Championnat du Monde d’Endurance dans la catégorie LMP2, en tant que première femme à remporter le prix ​​ »Révélation de l’année ».

Considérée comme l’une des principales prétendantes de la saison 2024, la pilote française est impatiente de débuter cette saison 2024 de la F1 Academy. 

« Je me sens bien, je suis heureuse de faire partie de la série. En plus de la F4 UAE que j’ai pu faire en janvier et février, c’est une bonne série pour apprendre et je suis heureuse de passer à la monoplace après trois ans en endurance. » a déclaré Doriane Pin sur le site de la F1 Academy à la veille du Grand Prix d’Arabie Saoudite.

« C’est une catégorie à laquelle j’ai toujours voulu appartenir, et j’ai cette chance maintenant avec Mercedes et Iron Dames, donc j’en suis vraiment contente. »

« Bien sûr, j’ai toujours eu le rêve de la Formule 1 en tête depuis l’âge de quatre ans. Cela a toujours été mon objectif et je pense qu’apprendre en endurance n’est pas si mal. »

« Il y a des catégories et des championnats vraiment intéressants, donc je suis heureuse et je me sens prête à franchir cette étape maintenant. »

Alors qu’elle doit encore s’adapter à son « nouvel environnement » Doriane Pin n’a qu’un seul et unique objectif cette année en F1 Academy : « Toujours se battre pour le sommet, pour gagner, pour remporter le titre, c’est l’objectif évident de l’année. »

« Nous nous préparons autant que possible pour être prêtes. Le niveau est élevé, nous le savons toutes et ce sera intéressant. Nous devons être régulières et rapides toute l’année sur chaque circuit, même si je ne connais pas la plupart d’entre eux. C’est une série super intéressante et bien sûr, je ferai de mon mieux pour y parvenir. »

« Les monoplaces sont très différentes de ce que je conduisais auparavant. Les GT sont plus lourdes, la voiture est super lourde et aussi en LMP2, il y a un peu plus d’appui mais elle est aussi plus lourde. Le style de conduite est donc complètement différent. » 

« La F4 Asie du Sud-Est et les Émirats arabes unis m’ont aidé à développer mes compétences, ma technique avec cette voiture qui est très technique avec un très faible appui. C’est intéressant et aux Emirats Arabes Unis surtout, il y a un bon plateau avec 35 voitures en piste. Nous avons beaucoup de gars avec qui nous comparer, donc c’était bien de se préparer pour cette année. »

Cette année, Doriane Pin représentera Mercedes en F1 Academy avec l’équipe Prema Racing après avoir rejoint le programme des jeunes pilotes du constructeur allemand. La Française ne cache pas sa fierté de représenter l’une des plus grandes marques automobile au monde : « Honnêtement, je me suis senti très honorée de cela. »

« En représentant Mercedes, c’est l’une des équipes les plus titrées de la Formule 1 et je pense que je peux apprendre beaucoup d’elle. Je suis vraiment heureuse de tout le travail que nous avons commencé ensemble et j’ai hâte d’atteindre certains objectifs ensemble. »

Pour rappel, la F1 Academy – catégorie de monoplaces 100% féminine – dispute sa saison 2024 en parallèle de sept manches du calendrier de la Formule 1.

Calendrier F1 Academy 2024 

Destination Dates
Arabie Saoudite 7/9 mars
Miami 3/5 mai
Espagne 21/23 juin
Pays-Bas 23/25 août
Singapour 20/22 septembre
Qatar 29 nov/1er déc
Abou Dhabi 5/8 décembre

Alors que Doriane Pin se prépare à débuter sa saison en F1 Academy, elle incarne l’esprit de compétition et de persévérance qui caractérise les grands champions. En parallèle de son engagement dans le sport automobile, de nombreuses personnes cherchent à vivre des expériences intenses et excitantes, que ce soit sur la piste ou dans le monde du divertissement. Pour ceux qui souhaitent ressentir l’adrénaline du jeu, le casino en ligne france légal offre une occasion unique de tenter sa chance dans un environnement sécurisé. Tout comme Doriane se prépare minutieusement pour chaque course, les amateurs de jeux d’argent doivent également s’assurer de choisir des plateformes fiables pour maximiser leur expérience.

Malade, Carlos Sainz débute mal son week-end à Djeddah

Le pilote Ferrari Carlos Sainz est rentré à son hôtel de Djeddah ce mercredi après s’être senti « un peu mal » à la veille du Grand Prix d’Arabie Saoudite, deuxième manche du championnat du monde 2024 de Formule 1.

La journée de mercredi à Djeddah était réservée aux médias, mais le pilote espagnol a été autorisé par son équipe à faire l’impasse sur ses obligations médiatiques, alors qu’il était pourtant déjà arrivé dans le paddock : « Carlos Sainz est retourné à l’hôtel pour se reposer et être prêt pour demain après s’être senti un peu mal ». » a indiqué la Scuderia Ferrari dans un court communiqué.

Carlos Sainz – aperçu dans le paddock en début de journée avec des traits très tirés – devra veiller à se remettre rapidement car les premiers essais libres du week-end sont programmés ce jeudi sur un tracé urbain extrêmement rapide où la condition physique des pilotes sera mise à rude épreuve.

Le pilote Ferrari a plutôt bien débuté la saison 2024 avec un podium décroché le week-end dernier au Grand Prix de Bahreïn où il a terminé troisième de l’épreuve derrière les deux pilotes Red Bull. 

Avant le Grand Prix d’Arabie Saoudite, Carlos Sainz occupe donc la troisième place au championnat du monde des pilotes avec trois points de retard sur Sergio Perez et trois points d’avance sur son coéquipier Charles Leclerc.

Ocon refuse de comparer la situation d’Alpine à celle de Manor

Le Français Esteban Ocon a nié que les difficultés actuelles que rencontre l’équipe Alpine en F1 soient comparables à celles qu’a pu rencontrer son ancienne écurie Manor avec laquelle il a débuté sa carrière en catégorie reine.

Esteban Ocon a fait ses débuts en Formule 1 en 2016 avec la modeste écurie Manor, aujourd’hui disparue, avec laquelle le Français n’a marqué qu’un seul point au volant d’une monoplace qui n’était plus améliorée en raison des problèmes financiers de l’équipe à l’époque.

Cette saison, l’équipe Alpine pour laquelle roule Esteban Ocon, rencontre de grandes difficultés avec une monoplace mal née et donc des performances très en deçà des attentes. Lors de la première manche de l’année disputée à Bahreïn, Esteban Ocon et son coéquipier Pierre Gasly n’ont pas réussi à faire mieux qu’une dix-septième et une dix-huitième position.

A la suite de cette course, Alpine a annoncé d’importants changements organisationnels, mais a également confirmé le départ de deux cadres (Matt Harman et Dirk de Beer), alors que ce mercredi à la veille du Grand Prix d’Arabie Saoudite, nous avons appris le départ de Bob Bell qui a décidé de rejoindre Aston Martin. 

Lorsqu’on demande à Esteban Ocon si la situation d’Alpine est comparable à celle de l’équipe Manor, le Français a répondu : « Je pense que c’est une situation différente. Bien sûr, nous partageons les mêmes places sur la grille pour le moment, mais ce n’est que la première course. »

« Avec Manor, nous étions très loin des voitures qui nous précédaient. Ici, on parle d’un dixième et nous pouvons gagner quelques positions. C’est la différence. »

« Nous sommes plus proches de l’arrière qu’en 2016 où nous étions à quatre secondes. C’est une situation différente et il y a un moyen de s’améliorer, ce qui n’existait pas auparavant. »

« Nous savons que nous ne sommes pas là où nous voulons être, donc nous devrions nous améliorer et nous devons nous améliorer. Pour revenir sur Manor, je savais que nous serions en fond de grille, que nous n’aurions pas de mises à jour et que c’était tout. »

Concernant ses chances de signer un bon résultat ce week-end en Arabie Saoudite sur un tracé de Djeddah peut-être un peu plus favorable à Alpine, car moins demandeur en termes de traction, le Français a déclaré : « C’est un bon point. Nous verrons où cela nous mène. C’est un circuit que j’apprécie beaucoup. »

Russell prêt à accueillir Verstappen chez Mercedes : « Ce serait excitant »

George Russell dit qu’il accueillerait volontiers Max Verstappen à ses côtés chez Mercedes à partir de 2025 si jamais le triple champion du monde décidait de quitter Red Bull pour rejoindre l’équipe du constructeur allemand.

Depuis quelques jours, la rumeur envoyant Max Verstappen chez Mercedes en 2025 ne cesse de grandir dans le paddock de la Formule 1, notamment depuis que le père du pilote Red Bull – Jos Verstappen – a été vu à Bahreïn le week-end dernier en discussion avec Toto Wolff, directeur de l’équipe Mercedes.

En effet, les tensions à l’intérieur de l’équipe Red Bull entre Jos Verstappen et le directeur de l’écurie Christian Horner suscitent des rumeurs spéculatives selon lesquelles Max Verstappen pourrait chercher à mettre fin à son contrat avec Red Bull [qui court jusqu’en 2028] pour signer chez Mercedes en remplacement de Lewis Hamilton, qui rejoindra Ferrari l’an prochain.

Interrogé pour savoir s’il serait prêt à travailler aux côtés de Max Verstappen chez Mercedes, George Russell a déclaré : « Je pense que toute équipe veut avoir le meilleur duo de pilotes possible et, à l’heure actuelle, Max est le meilleur pilote de la grille. » a déclaré Russell ce mercredi à Djeddah en Arabie Saoudite.

« Donc, si une équipe a la chance de recruter Max, elle la saisira à 100%. Je pense que la question se situe davantage de l’autre côté, du côté de Red Bull. Il se passe tellement de choses là-bas, nous ne savons pas vraiment ce qui se passe à huis clos et finalement, ce ne sont pas nos affaires pour le moment. Mais ce serait excitant. »

Lors de sa première campagne au sein de l’équipe Mercedes, George Russell a dominé son coéquipier Lewis Hamilton et le Britannique a décroché la seule victoire de Mercedes depuis l’introduction des nouvelles règles en 2022.

Partant de ce constat, Russell estime donc que sa performance aux côtés du septuple champion du monde lui laisse penser qu’il sera en mesure de rivaliser avec Max Verstappen si jamais le Néerlandais rejoint Mercedes en 2025.

« C’est ma troisième saison aux côté de Lewis, le plus grand pilote de tous les temps, et j’ai l’impression d’avoir fait du très bon travail à ses côtés. » a ajouté Russell.

« Donc, peu importe qui viendra à mes côtés l’année prochaine ou les années à venir, j’accueille n’importe qui, j’accepte le défi, parce que vous voulez toujours affronter les meilleurs. »

« Au final, je me concentre sur moi-même. Je crois en moi. Je crois que je peux battre n’importe qui sur la grille, il faut juste avoir cette mentalité. Donc, avoir Lewis comme référence ces deux dernières années, c’est certainement une très bonne référence. »

Dents qui claquent, impacts trop forts…les pilotes de F1 veulent des monoplaces rehaussées

George Russell et Max Verstappen militent pour que la hauteur des monoplaces de Formule 1 soit augmentée pour le bien de la santé des pilotes et de leur sécurité. 

Depuis l’introduction des nouvelles règles techniques en 2022, les monoplaces à effet de sol avec des planchers Venturi roulent beaucoup plus proche du sol et sont plus rigides que par le passé, ce qui signifie que les pilotes à l’intérieur de leur cockpit ressentent pratiquement toutes les imperfections de la piste.

Dans ce contexte, et alors que les nouvelles règlementations techniques en Formule 1 devront être finalisées au mois de juin 2024, certains pilotes comme George Russell et Max Verstappen se disent préoccupés par le fait que la FIA n’aborde pas suffisamment la question dans les nouvelles règles qui sont en train d’être écrites.

« Le problème c’est notre confort, notre colonne vertébrale, la compression sur les bosses. En fin de ligne droite à pleine charge, l’impact est trop fort avec des hauteurs de caisse si basses. Nous sommes encore très bas, et je ne pense pas que la voiture de la saison 2026 sera très différente. » a déclaré Max Verstappen à la BBC.

George Russell pour sa part a déclaré que le problème s’aggrave à mesure que les monoplaces prennent de la vitesse dans les lignes droites et que les forces aérodynamiques les aspirent vers le sol.

« Tous les pilotes ont déjà parlé avec la F1 parce que ce n’est pas viable de continuer à faire rouler des voitures comme ça. » a déclaré le pilote Mercedes.

« Vous obtenez le maximum de performance en faisant rouler la voiture au plus près du sol et aussi rigide que possible. Vous avez donc l’impression que vos dents claquent dans la ligne droite. La longueur d’une pile « AA » est la distance qui nous sépare du sol au début [de la ligne droite] et à la fin elle a la taille d’un pois chiche. »

« Donc, chaque petite bosse traverse tout votre corps, et nous espérons qu’il y aura une meilleure solution sur la prochaine génération de voitures. »

Les monoplaces de F1 sont tellement basses que l’an dernier Lewis Hamilton et Charles Leclerc se sont fait piéger au Grand Prix des Etats-Unis et ont été disqualifiés des résultats de la course en raison d’une usure prononcée du patin de contrôle situé sous les monoplaces.

✅ Ricciardo et Tsunoda ont réglé leurs comptes après Bahreïn

Samedi dernier au Grand Prix de Bahreïn, un échange de positions entre les pilotes Visa Cash App RB a provoqué quelques tensions entre Yuki Tsunoda et son coéquipier Daniel Ricciardo, les deux hommes étant presque entrés en contact en fin de course.

Au tour 52, Yuki Tsunoda se battait avec le pilote Haas Kevin Magnussen pour la douzième place lorsque son équipe lui a demandé de laisser passer son coéquipier Daniel Ricciardo – dont la monoplace était équipée de pneus Tendres neufs – pour qu’il puisse essayer de dépasser Magnussen.

Après avoir demandé à son équipe s’il s’agissait d’une plaisanterie, Tsunoda s’est finalement écarté de la trajectoire pour laisser passer Daniel Ricciardo, mais l’Australien n’a jamais réussi à dépasser la Haas de Kevin Magnussen.

Une fois le drapeau à damier agité au passage du leader Max Verstappen, un Yuki Tsunoda visiblement frustré a plongé à l’intérieur du virage 8 pour dépasser Daniel Ricciardo et ainsi récupérer sa position. Mais dans sa manœuvre, le Japonais a tiré tout droit, avant de revenir en piste en frôlant la monoplace de son coéquipier qui a immédiatement exprimé sa colère à la radio.

Interrogé ce mercredi à Djeddah pour savoir si la tension était redescendue entre lui et son coéquipier, l’Australien Daniel Ricciardo a indiqué qu’ils avaient eu une explication et que tout était rentré dans l’ordre.

« J’ai évidemment dit quelques choses à la radio, mais je sais que tout est diffusé, donc j’ai essayé d’en garder un peu pour le briefing. » a expliqué Ricciardo au micro de Sky Sports.

« C’est dur, parce que dès qu’on met le casque et que nous arrivons à la fin de la course, il y a une certaine frustration et on est un peu épuisé. Donc, nous pouvons faire ou dire des choses qui ne nous ressemblent pas. Il faut prendre cela en compte. »

« Cela a été suffisamment évoqué en public, mais il est important que nous en parlions après la course. Donc, après notre briefing technique, nous avons également eu une discussion en privé et avons purgé l’air. »

« C’était important pour Yuki et moi de le faire et aussi pour que l’équipe sache que tout est « OK », que nous n’aurons aucun problème pour avancer. Ce n’était que la première course et je pense que c’est ce que nous devions faire. Maintenant c’est fait, nous nous concentrons sur l’Arabie Saoudite. »

« L’année dernière, tout s’est plutôt bien passé [entre lui et Tsunoda]. Il y a eu ce petit problème à Bahreïn, et si nous n’en parlions pas, on aurait pu penser qu’il y avait un problème. Mais nous étions tous les deux disposés à nous asseoir ensemble et à simplement parler. Je pense que c’était important. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait reçu des excuses de la part de Tsunoda, Daniel Ricciardo a répondu : « Je suis assez vieux pour ne pas avoir besoin que quelqu’un me prenne dans ses bras et me dise ‘désolé pour ça’. J’ai une vision un peu plus large. »

« C’est une équipe qui est relativement nouvelle à certains égards, et je sais que si vous avez des rivalités dès la première course, cela n’aidera pas l’équipe à avancer. Il s’agissait donc de gérer cela et de clarifier les choses. »

« Tout a été dit calmement, sans lever la voix ou quoi que ce soit. Nous avons traité cela comme des adultes. » conclut Ricciardo.