C’est désormais officiel, la marque Alpine entrera en F1 à partir de la saison 2021 en lieu et place de l’équipe Renault F1.
En nommant son écurie Alpine F1 Team à partir de la saison 2021, le Groupe Renault choisit de mettre les couleurs de l’excellence française au cœur de la Formule 1.
Déjà reconnu pour ses records et succès en endurance et en rallye, le nom Alpine trouve naturellement sa place dans l’exigence, le prestige et la performance de la Formule 1.
La marque Alpine, symbole de sportivité, d’élégance et d’agilité, désignera le châssis et rendra hommage à l’expertise qui a fait naître l’A110.
Pour Alpine, c’est une étape clé pour accélérer le développement et le rayonnement de la marque. Le moteur de l’écurie continuera de bénéficier de l’expertise unique du Groupe Renault dans les motorisations hybrides, dont la dénomination E-Tech sera conservée.
La signature des nouveaux accords Concorde, avec le plafonnement des budgets et la mise en place d’un nouveau règlement technique à partir de 2022, ont conforté le Groupe Renault plus déterminé que jamais à retrouver le chemin des podiums et de la victoire sous ses nouvelles couleurs.
« Alpine est une belle marque, puissante et vibrante, qui colle un sourire sur le visage de ses adeptes. » nous explique Luca De Meo, Directeur général de Renault.
« En lançant Alpine, symbole de l’excellence française, dans la plus prestigieuse des disciplines automobiles mondiales, nous poursuivons l’aventure des constructeurs dans un sport renouvelé. »
« Nous apportons aussi une marque de rêve aux côtés des plus grands noms, pour des courses automobiles spectaculaires faites et suivies par des passionnés. Alpine amènera enfin ses valeurs dans le paddock de la Formule 1 : élégance, ingéniosité, et audace. »
Voici la grille de départ définitive et officielle du Grand Prix d’Italie 2020, huitième manche du championnat du monde de F1 qui se disputera ce dimanche 6 septembre à Monza.
C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a décroché la pole position au Grand Prix d’Italie en 1,18.887.
Le Britannique devance son coéquipier Valtteri Bottas pour 69 millièmes et la McLaren de Carlos Sainz pour huit dixièmes.
Sergio Perez, Max Verstappen, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Lance Stroll, Alex Albon et Pierre Gasly complètent le top dix de la grille de départ du GP d’Italie.
Notez que la grille de départ présentée ci-dessous prend en compte les diverses pénalités infligées aux différents pilotes. Cette grille sera mise à jour en temps réel, même dans le cas d’une pénalité tardive.
Lorsqu’un pilote reçoit une pénalité, celle-ci est matérialisée dans le tableau par un (+xP) à côté du nom du pilote en question.
Le départ du Grand Prix d’Italie sera donné ce dimanche à 15h10 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr.
Huitième manche de la saison 2020 de F1, le Grand Prix d’Italie est programmé ce dimanche 6 septembre à Monza.
Pour ce Grand Prix d’Italie, c’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche, le Britannique devance son coéquipier Valtteri Bottas et la McLaren de Carlos Sainz.
Sergio Perez, Max Verstappen, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Lance Stroll, Alex Albon et Pierre Gasly complètent le top dix de la grille de départ du GP d’Italie.
Le départ du Grand Prix d’Italie sera donné à 15h10 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr
Septième sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie, le pilote Renault F1 Daniel Ricciardo est convaincu qu’il pourra remonter dans la hiérarchie ce dimanche en course.
Le pilote australien a signé un chrono en 1,19.864 à seulement un dixième de la troisième place de Carlos Sainz, ce qui lui laisse penser qu’il pourra remonter assez facilement ce dimanche.
« Je me satisfais de cette septième place comme nous sommes bien revenus tout au long de la séance. » nous explique Daniel Ricciardo.
« Nous étions un peu en retrait en qualifications et nous n’avons pas vraiment affiché la même vitesse qu’hier ou ce matin. »
« C’était bien d’atteindre la Q3 et ce septième temps indique que nous sommes dans le match et que nous sommes bien placés pour nous battre pour de meilleures positions. »
« Notre voiture est bonne en course, donc je suis convaincu que nous pouvons hausser notre niveau de jeu d’un cran et connaître un bon dimanche. »
Le pilote Alfa Romeo Kimi Raikkonen estime que la séance de qualifications disputée ce samedi à Monza ressemblait plus à un départ de Grand Prix qu’à une séance qualificative.
En effet, tous les pilotes se sont jetés en piste au même moment pour chacun bénéficier de l’aspiration des autres monoplaces et ainsi gagner quelques précieux dixièmes sur un tour rapide.
Kimi Raikkonen faisait évidemment partie du « troupeau », mais le Finlandais n’a pas réussi à faire mieux qu’une quatorzième position.
« Nous pouvons être satisfaits de ce résultat, même si j’estime que nous aurions pu être au moins une place plus haut. » nous explique Iceman.
« Lors de mes premiers essais en Q1, l’équilibre de la voiture était vraiment bon, mais lors de ma dernière course avec des pneus neufs, j’ai eu un sous-virage. »
« Dans tous les cas, nous prenons ce résultat et nous nous battrons à partir d’ici: avec un peu de chance, ce sera un peu plus facile que de commencer plus haut. »
Lorsqu’on lui demande ce qu’il a pensé des « embouteillages » ce samedi sur la piste, le Finlandais a répondu: « Nous savions que la Q1 allait être compliquée et qu’il serait important d’être au bon endroit au bon moment: ce n’est pas la première fois que cela se produit ici et ce ne sera certainement pas la dernière. »
« Cela ressemblait plus à un départ de course qu’à une qualification, mais c’est ainsi que ça se passe. »
« Ce sera intéressant de voir ce que la course nous réserve: nous avons eu un peu de mal sur les longs relais hier, mais la voiture a fait un pas en avant et nous espérons pouvoir être plus forts demain. Nous ferons de notre mieux et verrons où nous aboutirons. »
Les deux pilotes Mercedes ont largement dominé la séance de qualifications à Monza ce samedi et ce, même sans le fameux mode fête, qui a été interdit pour la suite de la saison 2020 de F1.
Lewis Hamilton a signé la pole position ce samedi en Italie, tandis que son coéquipier Valtteri Bottas a terminé second à seulement 69 millièmes du Britannique.
Le plus épatant dans cette performance est que les deux pilotes n’ont pas bénéficié de l’aspiration des autres monoplaces en qualifications, mais il s’agissait en fait d’une tactique déjà réfléchie la veille par l’équipe du constructeur allemand.
En effet, selon les données récoltées en essais libres ce vendredi, Mercedes a conclu que le phénomène d’aspiration à Monza était certes bénéfique dans les lignes droites, mais avait l’effet inverse dans le second secteur plus sinueux.
« Nous avions fait un peu d’analyse hier sur les effets de l’aspiration et pour nous, nous semblions perdre autant dans les virages que nous gagnions dans les lignes droites. » nous explique Andrew Shovlin, ingénieur performance chez Mercedes.
« Sur cette base, nous avons décidé d’essayer de trouver de l’air pur pour courir, ce qui a l’avantage supplémentaire de simplifier votre session de qualifications. »
« Notre équipe a été très occupée à Brixworth au cours des deux dernières semaines pour préparer l’introduction du mode monomoteur et elle a fait du bon travail pour conserver sa puissance compétitive en qualifications. »
Renault F1 a connu un résultat mitigé lors des qualifications du Grand Prix d’Italie avec la septième place de Daniel Ricciardo et la douzième position d’Esteban Ocon à Monza.
Après leurs premiers relais en Q2, Daniel Ricciardo était neuvième tandis qu’Esteban Ocon pointait au douzième rang.
Daniel Ricciardo devait couper son deuxième tour lancé après avoir tiré large au cinquième virage alors qu’Esteban Ocon n’améliorait pas et terminait douzième.
En Q3, Daniel Ricciardo se qualifiait finalement septième à un peu plus d’un dixième de seconde du trio de tête.
« Nous sommes partagés aujourd’hui avec une monoplace dans le top dix et l’autre juste en dehors. » nous explique Alan Permane, directeur sportif chez Renault F1.
« C’était une bonne qualification pour Daniel même si nous espérions un peu plus, surtout après la performance du week-end dernier. »
« Cela dit, les temps étaient incroyablement proches dans ce groupe de voitures. Esteban a souffert avec le trafic et les tours de sortie comme beaucoup d’autres pilotes. »
« Nous connaissons l’importance de trouver une bonne aspiration à Monza et il fallait un peu jouer au chat et à la souris. »
« Il n’y a aucune raison pour que les deux pilotes n’effectuent pas une bonne course pour remonter demain. »
« Nous restons optimistes et nous ferons tout notre possible sur la stratégie pour mettre les deux voitures dans les points. »
L’un des principaux points de discussion du week-end du Grand Prix d’Italie était l’interdiction des « modes de fête » pour les moteurs lors des qualifications, mais si les rivaux de Mercedes espéraient que cela les ralentirait, cela ne semble pas avoir fonctionné.
Lewis Hamilton a décroché la pole position ce samedi à Monza et a également décroché le record du tour le plus rapide de l’histoire de la Formule 1.
Son coéquipier Valtteri Bottas s’est qualifié en seconde position et après la séance de qualifications, le Finlandais a envoyé un petit tacle à Red Bull, qui s’attendait peut-être à gagner du terrain sur Mercedes grâce à la nouvelle la règle sur les modes moteur.
Il est bon de préciser que Helmut Marko [consultant motorsport chez Red Bull] s’est targué il y a quelques jours d’avoir poussé auprès de la FIA pour que cette règle entre en vigueur.
Après les qualifications du Grand Prix d’Italie, les deux pilotes Red Bull s’élanceront depuis les cinquième et sixième positions.
« Lorsque vous commencez au premier ou au deuxième rang, vous avez toujours une chance. » explique Bottas.
« Je pense que le rythme que j’ai eu sur les longs relais et que nous avions en tant qu’équipe semble fort et aussi, avec le changement de la réglementation moteur pour les modes, ce sera encore meilleur en course pour nous, alors j’espère que ce sera bien. »
« La voiture se comportait vraiment bien aujourd’hui, le moteur allait bien et comme je l’ai déjà dit, ça devrait encore aller mieux en course. »
« Je ne sais donc pas à quel point Red Bull est maintenant satisfait de ce changement de règle moteur. Je ne sais pas… » a ajouté le pilote Mercedes, déclenchant au passage le fou-rire de son coéquipier Lewis Hamilton.
Le pilote Ferrari Charles Leclerc a admis qu’il était « douloureux » de ne pas arriver à passer en Q3 ce samedi aux qualifications du Grand Prix d’Italie.
Le Monégasque s’élancera ce dimanche depuis la treizième place sur la grille de départ à Monza, alors que son coéquipier Sebastian Vettel partira depuis une lointaine dix-septième position.
Tout cela signifie que les pilotes Ferrari partiront en dehors du top 10 pour la première fois à Monza depuis 1984, lorsque Michele Alboreto était 11e sur la grille et René Arnoux 14e – une statistique que Leclerc admet avoir du mal à avaler.
« C’est encore plus douloureux le fait que ce soit à la maison. Mais c’est la réalité du moment pour nous malheureusement et c’est comme ça. » a déclaré Leclerc.
« Nous devons travailler et, espérons-le, au Mugello, qui appartient toujours Ferrari, nous espérons que ce sera un peu mieux qu’ici. »
« Au final, on s’attendait à ce que ce soit un peu comme ça ce week-end. Nous savons que Spa et ici sont probablement les deux pires pistes pour nous, avec une autre probablement un peu plus tard dans l’année, mais c’est comme ça. »
« C’est difficile car une fois que vous avez fait un bon tour et que vous avez obtenu la 13e place, vous ne vous sentez pas bien. »
« Mais pour l’instant, c’est comme ça et je dois extraire le maximum de la voiture dans la situation dans laquelle nous nous trouvons et c’est ce que j’essaie de faire. »
« J’espère qu’à partir de la prochaine course, nous verrons une lumière au bout du tunnel. parce que pour l’instant, ce sont deux week-ends très difficiles pour nous où nous essayons beaucoup de choses sur la voiture, mais ça ne fonctionne pas. »
« Nous devons donc garder la tête basse, rester motivés et des jours meilleurs viendront, j’en suis sûr. »
Qualifié en douzième position sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie ce samedi à Monza, le Français Esteban Ocon a été placé sous enquête pour avoir bloqué la monoplace de Kimi Raikkonen pendant les qualifications.
Mais après avoir entendu les pilotes et examiné plusieurs angles de vidéo, ainsi que des données de la télémétrie et des positions GPS, les commissaires ont décidé de ne pas pénaliser le pilote Renault.
Esteban Ocon conserve donc sa douzième position sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie, le Français s’élancera ce dimanche devant la Ferrari de Charles Leclerc.
Dix-septième sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie, le pilote Ferrari Sebastian Vettel ne cachait pas sa frustration d’avoir été bloqué par plusieurs pilotes ce samedi en qualifications à Monza.
Dès la Q1 ce samedi, tous les pilotes se sont jetés en piste au même moment afin de bénéficier de l’aspiration des autres monoplaces.
La FIA avait pourtant averti les pilotes avant le début du week-end en leur imposant un temps minimum à respecter pour boucler un tour de circuit, mais malgré cela, les pilotes ont tout de même essayé de faire le petit train.
Le mauvais résultat du pilote allemand ce samedi n’est donc pas à mettre uniquement sur le compte des mauvaises performances de sa SF1000.
« Je ne suis pas le seul, mais je pense qu’on a pas été assez malins dans cette situation. C’est un peu de notre faute aussi. » a déclaré Sebastian Vettel au micro de Canal+.
« D’un point de vue des pilotes, je ne comprends pas pourquoi les pilotes créent un tel bazar dans le dernier secteur. »
« Il y a un temps minimum à respecter, et si chacun le respecte et créé l’écart nécéssaire ça passerait. »
Le coéquipier de Sebastian Vettel, le Monégasque Charles Leclerc, s’élancera pour sa part depuis la treizième position ce dimanche sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie.
A noter que le fait qu’il n’y ait aucune Ferrari dans le top dix du Grand Prix d’Italie est une première depuis 1984.
Seizième sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie, le Français Romain Grosjean était très en colère au terme de la séance de qualifications ce samedi à Monza.
Le pilote Haas ne comprend pas pourquoi son coéquipier Kevin Magnussen – qui roulait pourtant avec plus d’appuis aérodynamiques sur sa monoplace – était plus rapide que lui en ligne droite aujourd’hui, alors que Grosjean a également indiqué que des changements de dernière minute ont été réalisés sur sa F1 avant les qualifications.
« Il y a deux choses assez claires, je roule avec un réglage aérodynamique super léger, alors que Kevin n’arrive pas à le rouler et a remis les gros ailerons, et il va plus vite dans les lignes droites que moi. » a expliqué le Français au micro de Canal+.
« Donc, il faut qu’on m’explique d’une part. Et d’autre part, on a fait un changement entre les essais libres 3 et la qualif que je ne voulais pas faire et qui a rendu la voiture absolument moins performante. »
« Donc, oui beaucoup de frustration parce que aujourd’hui je pense qu’on pouvait aller en Q2 sur un circuit qui ne nous était pas favorable. J’ai eu un bon rythme tout le week-end et j’aime pas ça, j’aime pas qu’on fasse des choses qui ne fonctionnent pas en qualifs. »
Revenant sur les embouteillages en piste pendant les qualifications ce samedi, Grosjean estime qu’il faudrait tout simplement faire sortir les pilotes un à un à Monza, de façon à avir une piste dégagée.
« C’est impossible de se mettre d’accord. On a des pneus catastrophiques qui ont une fenêtre d’utilisation grande comme une fenêtre de prison, et on a besoin d’aspiration pour aller vite. »
« Donc, la seule solution pour moi sur un circuit comme Monza c’est de nous lancer un par un et d’avoir chacun un tour pour pas qu’il y ait de problème de bouchon et d’aspiration. »
Voici la grille de départ du Grand Prix d’Italie 2020, huitième manche du championnat du monde de F1 qui se disputera ce dimanche 6 septembre à Monza.
C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a décroché la pole position au Grand Prix d’Italie en 1,18.887.
Le Britannique devance son coéquipier Valtteri Bottas pour 69 millièmes et la McLaren de Carlos Sainz pour huit dixièmes.
Sergio Perez, Max Verstappen, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Lance Stroll, Alex Albon et Pierre Gasly complètent le top dix de la grille de départ du GP d’Italie.
Notez que la grille de départ présentée ci-dessous prend en compte les diverses pénalités infligées aux différents pilotes. Cette grille sera mise à jour en temps réel, même dans le cas d’une pénalité tardive.
Lorsqu’un pilote reçoit une pénalité, celle-ci est matérialisée dans le tableau par un (+xP) à côté du nom du pilote en question.
Le départ du Grand Prix d’Italie sera donné ce dimanche à 15h10 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr.
C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a décroché la pole position au Grand Prix d’Italie en 1,18.887.
Le Britannique devance son coéquipier Valtteri Bottas pour 69 millièmes et la McLaren de Carlos Sainz pour huit dixièmes.
Sergio Perez, Max Verstappen, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Lance Stroll, Alex Albon et Pierre Gasly complètent le top dix de la grille de départ du GP d’Italie.
Lewis Hamilton – pole position :« Ce n’était pas si mal, c’était une nouvelle fois une belle performance de la part de l’équipe aujourd’hui. » a déclaré le Britannique.
« Ce n’était pas la qualification la plus simple, c’est très exigeant, cela nécessite un tour très propre, donc de façon globale, je suis très satisfait avec le tour que j’ai réalisé. »
Valtteri Bottas – second :« C’était très serré, c’était attendu. Je partais le premier en piste ce week-end, donc ce n’était pas le top au niveau de l’aspiration. » a déclaré le Finlandais.
« En Q2, j’ai eu un petit peu d’aspiration et cela m’a aidé, donc…Mais au final, ce n’est pas si mal d’être deuxième ici. »
« Mes longs relais hier comparé à Lewis étaient très bons, donc je pense qu’on pourra avoir une bonne course demain. »
Carlos Sainz – troisième :« Je me suis vraiment senti fort depuis le début de cette séance de qualifications. » a déclaré Sainz.
« J’ai réalisé des tours très solides, j’ai essayé de placer un bon chrono en 1,19.6 et j’ai tout donné, j’avais un couteau sous la gorge. »
« En Q3, j’ai juste tout donné et comme vous pouvez le voir j’en tremble encore. Je suis content, ça a payé. »
« Quand j’ai plongé dans Ascari, je me suis dit ‘Wouah!! Quest-ce que je viens de faire ?’. Après, je ne sais pas si nous serons aussi bon demain en course, mais on va faire de notre mieux. »
C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a décroché la pole position au Grand Prix d’Italie en 1,18.887.
Le Britannique devance son coéquipier Valtteri Bottas pour 69 millièmes et la McLaren de Carlos Sainz pour huit dixièmes.
Sergio Perez, Max Verstappen, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Lance Stroll, Alex Albon et Pierre Gasly complètent le top dix de la grille de départ du GP d’Italie.
La fin du « Mode fête »
A partir de ce samedi 15h00, les pilotes ne peuvent plus utiliser un mode moteur spécial pour la suite du week-end (cette règle sera valable pour toutes les courses jusqu’à la fin de la saison).
A partir de ce samedi 5 septembre, les équipes ont l’obligation d’utiliser un mode moteur unique en qualifications et en course, ce qui devrait faciliter le travail des commissaires de la FIA qui doivent contrôler chaque week-end un certain nombre de paramètres des unités de puissance grâce à une analyse très détaillée des données, et il est estimé que cette directive les aidera à atteindre cet objectif – et à avoir plus confiance en la légalité des unités de puissance en conséquence.
Bien-sûr, certains estiment que l’objectif premier est d’essayer de « freiner » l’équipe Mercedes – même si cette raison n’a jamais été évoquée – car à ce stade on estime que c’est le moteur Mercedes qui développe le plus de puissance en qualifications, bien loin devant Ferrari, Renault ou Honda.
Autre raison évoquée par la FIA, la réduction des coûts en F1. Cette décision permettrait d’économiser des programmes de développement coûteux pour Honda, Renault et Ferrari à un moment où la FIA tente très activement de réduire les coûts.
Mercedes nargue la concurrence
Comme pour narguer la concurrence après l’introduction de la limitation des modes moteur censée « ralentir » l’équipe championne du monde, les deux pilotes Mercedes se sont hissés en Q2 avec des pneus Médiums quand tous leurs camarades ont lutté avec des pneus Tendres pour passer en Q2.
Cette limitation des modes moteur n’aura clairement pas réussi à les ralentir puisqu’au final, le record de la piste a été battu ce samedi à Monza et sans aspiration.
Ferrari à la ramasse
Le pilote Ferrari Sebastian Vettel n’a pas réussi à passer en Q2 ce samedi à Monza. Le quadruple champion du monde prendra le départ du Grand Prix d’Italie depuis la dix-septième position sur la grille de départ ce dimanche.
Son coéquipier Charles Leclerc est passé en Q2, mais le Monégasque n’a pas pu faire mieux qu’un treizième chrono.
Les pilotes prennent des risques
Dès la Q1, on a pu revoir exactement la même scène que celle vécue l’an dernier en Q3 avec des pilotes sortant des stands à la dernière minute et en essayant de bénéficier de l’aspiration des autres concurrents.
Ainsi, un petit train s’est rapidement formé derrière la Renault d’Esteban Ocon en Q1 et cela a bien failli mal se terminer tant l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen était proche de la boîte de vitesses de la RS20 du Français.
Notez qu’Esteban Ocon, Kimi Raikkonen et Nicholas Latifi ont d’ailleurs été placés sous enquête par la direction de course.
Ocon éliminé en Q2
Le pilote Renault Esteban Ocon a été éliminé en Q2 ce samedi. Le Français s’est élancé derrière son coéquipier pour une ultime tentative et en espérant bénéficier de l’aspiration de l’Australien.
Malheureusement pour lui, Ricciardo s’est loupé dans son tour rapide et a donc avorté son tour, laissant seul et sans aspiration son coéquipier pour la fin du tour. Ocon prendra finalement le départ du Grand Prix d’Italie depuis la douzième position (Rappel: le Français est sous enquête).
Pas moins de huit pilotes ont été convoqués chez les commissaires de course ce samedi avant la séance de qualifications du Grand Prix d’Italie.
Lewis Hamilton, Sergio Perez, Carlos Sainz, Alex Albon, Lance Stroll, Pierre Gasly, Romain Grosjean et Nicholas Latifi vont tous devoir aller expliquer aux commissaires du Grand Prix d’Italie pourquoi ils ont roulé aussi lentement lors des EL3 ce matin, hormis peut-être pour Lewis Hamilton qui s’est retrouvé « bloqué » dans le trafic et qui s’est d’ailleurs fait une grosse frayeur [à voir ici].
Pour rappel, la FIA a imposé un rythme minimum aux pilotes pour réaliser un tour de circuit à Monza: celui-ci a été fixé à 1,43.000 ce week-end.
La FIA reproche donc à tous ces pilotes cités ci-dessus d’avoir roulé en dessous de cette limite des 1,43.00 ce matin en EL3. Cette article sera mis à jour dès que la FIA nous communiquera le verdict de cette affaire.
Mise à jour à 15h25 : Aucun pilote n’a été pénalisé à la suite de cette enquête.
Retrouvez la grille de départ du Grand Prix d’Italie en cliquant ici.
Le manufacturier unique de la F1, Pirelli, disposera de 30 minutes pour tester des prototypes de pneus 2021 lors des essais du Grand Prix du Portugal, alors qu’il cherche à finaliser la nouvelle construction de ses gommes pour la saison prochaine.
La société italienne avait initialement prévu de tester les prototypes pendant 30 minutes en EL2 au Grand Prix du 70e anniversaire à Silverstone et pour le Grand Prix d’Espagne à Barcelone, mais a choisi de ne pas le faire.
« Nous avons décidé de reporter les tests prévus lors de la deuxième course à Silverstone et Barcelone pour redessiner certains prototypes avec le temps supplémentaire de réviser légèrement la construction pour l’année prochaine. » a déclaré Mario Isola, le directeur de Pirelli.
« Ce n’est que 30 minutes. Nous fournirons différents plans de course pour différentes équipes afin de collecter autant d’informations que possible pour définir le pneu pour l’année prochaine. »
Le Portugal a été choisi comme site pour ces tests, ce qui n’est pas l’idéal selon Isola étant donné que la Formule 1 n’y a jamais couru – mais il est convaincu que les caractéristiques de la piste et le climat seront en leur faveur.
« C’est prévu pour Portimao. C’est une nouvelle piste. Nous n’avons pas beaucoup de données de Portimao. »
« À partir de maintenant, nous avons beaucoup de nouvelles pistes [comme Mugello, Nurburgring, Imola et Istanbul], nous avons donc décidé sur quelle piste nous voulons tester et c’est Portimao, qui est un circuit de haute sévérité où nous y trouverons probablement du beau temps et c’est pourquoi nous avons décidé de désigner Portimao pour notre test. »
Rappelons qu’en 2021, les pneumatiques en F1 resteront sensiblement les mêmes que pour la saison 2020, alors qu’à partir de 2022, Pirelli introduira enfin ses gommes 18 pouces en catégorie reine.
Ce samedi matin en EL3, le pilote Renault F1 Daniel Ricciardo a été victime d’une panne mécanique en fin de session, ce qui a obligé l’Australien à immobiliser sa RS20 sur le bord de la piste.
Auteur du quatrième temps des EL3, Daniel Ricciardo s’est montré très compétitif ce matin à Monza avant qu’une panne ne vienne gâcher le tableau.
Un moment suspectée, une panne sur le moteur de la RS20 – qui est neuf ce week-end sur la voiture de Ricciardo – a rapidement été écartée par les ingénieurs qui nous signalent ce midi qu’il s’agit d’un problème en lien avec la pompe à carburant.
« C’est une panne présumée de la pompe à carburant sur la voiture de Daniel. C’est une pièce remplaçable et il devrait donc être prêt pour les qualifications. » indique Renault F1.
Ce matin en EL3, c’est le pilote Mercedes Valtteri Bottas qui a signé le meilleur temps. Le Finlandais a devancé les deux McLaren de Carlos Sainz et Lando Norris.
Daniel Ricciardo (+0.330), Lewis Hamilton (+0.350), Max Verstappen (+0.367), Alex Albon (+0.474), Esteban Ocon (+0.604), Lance Stroll (+0.715), Charles Leclerc (+0.928) et Sergio Perez (+0.808) complètent le top dix de ces EL3.
Notez que le chrono signé par Valtteri Bottas aurait dû être annulé par la FIA parce que le pilote Mercedes a placé les quatre roues de sa monoplace en dehors des limites de la piste au virage 11.
Le sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton s’est fait une très grosse frayeur ce samedi matin dans les dernières minutes de la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie à Monza.
Le pilote Mercedes arrivait à pleine vitesse sur un groupe de monoplaces au ralenti juste avant l’entrée de la Parabolica et en essayant d’éviter une Williams située à gauche de la piste le Britannique ne s’attendait pas à voir déboîter devant lui la Haas de Romain Grosjean.
Le coup de volant franc et le temps de réaction très rapide de Lewis Hamilton ont certainement évité un drame, alors que sa monoplace est allée rouler dans l’herbe.
Cette situation avec des voitures au ralenti sur la piste pour essayer de bénéficier de l’aspiration des autres concurrents est justement ce que veut éviter la FIA ce week-end et a donc envoyé une note à toutes les équipes pour qu’un temps minimum soit respecté lors du tour de sortie des stands cet après-midi pendant les qualifications.
C’est le pilote Mercedes Valtteri Bottas qui a signé le meilleur temps de la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie en 1,20.089 (Tendres).
Le Finlandais devance de deux dixièmes la McLaren de Carlos Sainz (Tendres) et de trois dixièmes la McLaren de Lando Norris (Tendres).
Daniel Ricciardo (+0.330), Lewis Hamilton (+0.350), Max Verstappen (+0.367), Alex Albon (+0.474), Esteban Ocon (+0.604), Lance Stroll (+0.715), Charles Leclerc (+0.928) et Sergio Perez (+0.808) complètent le top dix de ces EL3.
Notez que le chrono signé par Valtteri Bottas aurait dû être annulé par la FIA parce que le pilote Mercedes a placé les quatre roues de sa monoplace en dehors des limites de la piste au virage 11.
Une séance très calme
Dernière séance d’essais libres du week-end à Monza, les équipes n’ont semble-t-il pas souhaité taper dans les moteurs ce samedi matin afin de préserver la mécanique pour la séance de qualifications, notamment parce que le mode moteur qui sera utilisé cet après-midi sera le même jusqu’à la fin du week-end.
La fin du « Party mode »
A partir de ce samedi 15h00, les pilotes ne pourront plus utiliser un mode moteur spécial pour la suite du week-end (cette règle sera valable pour toutes les courses jusqu’à la fin de la saison).
A partir de ce samedi 5 septembre, les équipes auront l’obligation d’utiliser un mode moteur unique en qualifications et en course, ce qui devrait faciliter le travail des commissaires de la FIA qui doivent contrôler chaque week-end un certain nombre de paramètres des unités de puissance grâce à une analyse très détaillée des données, et il est estimé que cette directive les aidera à atteindre cet objectif – et à avoir plus confiance en la légalité des unités de puissance en conséquence.
Bien-sûr, certains estiment que l’objectif premier est d’essayer de « freiner » l’équipe Mercedes – même si cette raison n’a jamais été évoquée – car à ce stade on estime que c’est le moteur Mercedes qui développe le plus de puissance en qualifications, bien loin devant Ferrari, Renault ou Honda.
Autre raison évoquée par la FIA, la réduction des coûts en F1. Cette décision permettrait d’économiser des programmes de développement coûteux pour Honda, Renault et Ferrari à un moment où la FIA tente très activement de réduire les coûts.
Reste à savoir maintenant si l’introduction de cette directive technique va réellement changer la donne en qualifications le samedi et permettre à d’autres équipes que Mercedes de décrocher des pole positions, ce qui n’est absolument pas garanti.
Ricciardo en panne
La Renault pilotée par l’Australien Daniel Ricciardo a subi une panne mécanique en fin de séance, alors qu’il venait juste de signer le troisième meilleur temps de la session.
Les mécaniciens de l’équipe du constructeur français vont devoir travailler rapidement pour fixer le problème avant la séance de qualifications du GP d’Italie qui débutera à 15h00.