Red Bull et Max Verstappen concluent un partenariat avec EA Sports

Le triple champion du monde de F1, Max Verstappen, et son équipe Red Bull Racing, ont conclu un partenariat avec l’éditeur de jeux vidéo EA Sports qui développe notamment le jeu officiel de la Formule 1.

Dans le cadre de ce partenariat commercial, Max Verstappen arborera sur son casque tout au long de la saison 2024 de Formule 1 le logo d’EA Sports, alors que le Néerlandais dévoilera également un certain nombre de casques à la décoration unique inspirés d’EA Sports lors de certaines courses du calendrier.

« De la F1 au football et de la NFL au hockey, EA est synonyme de sport et de divertissement et nous sommes ravis de les intégrer en tant que partenaire de l’équipe. » a déclaré Christian Horner, directeur de l’écurie Red Bull Racing.

« La F1 connaît une croissance énorme, attirant un public nouveau, jeune et diversifié partout dans le monde, et pour beaucoup de ces fans, le jeu est au cœur de leur interaction avec la course et avec Red Bull Racing. »

« EA SPORTS a prouvé sa capacité à créer des jeux de F1 véritablement immersifs qui emmènent les fans au cœur de ce que nous faisons, leur permettant de courir en tant que héros tel que Max ou de se lancer dans leur propre carrière de pilote légendaire. »

« Nous sommes ravis de faire partie de cette histoire et, avec EA et Max, nous sommes impatients de faire passer le jeu de F1 au niveau supérieur avec F1 24. »

Ce partenariat a été annoncé quelques semaines avant la sortie officielle de F1 24, le dernier opus de la saga développé par EA Sports. F1 24 sera disponible dès le 28 mai 2024 juste après le Grand Prix de Monaco. Le jeu est d’ailleurs dores et déjà disponible en précommande sur Xbox, PlayStation et PC. 

En confiance, Tsunoda vise la Q3 et les points en Chine

Après avoir marqué des points lors de deux courses consécutives en Australie et au Japon, le pilote Visa Cash App RB, Yuki Tsunoda, arrive en Chine pour la cinquième manche de la saison en pleine confiance et visera de nouveau les points ce week-end à Shanghai.

Lors des deux dernières courses, Yuki Tsunoda a marqué sept points au championnat du monde (six en Australie et un au Japon), ce qui permet à son équipe d’occuper avant le Grand Prix de Chine la sixième place au classement des constructeurs. De plus en plus en confiance au volant de sa monoplace, le Japonais espère pouvoir poursuivre sur sa lancée ce week-end à Shanghai où il n’a jamais couru de toute sa carrière.

« Je suis très excité par le Grand Prix de Chine, c’est ma première fois sur cette piste. Je n’y suis jamais allé et en plus, ce sera un format Sprint, donc ce sera certainement un défi. » confie Tsunoda à la veille de la cinquième manche de l’année.

« En même temps jusqu’à présent, j’ai eu quelques bonnes courses, je me sens en bonne forme, donc nous allons maximiser cela. Bien sûr, je me sens en confiance et je viserai la Q3 et les points. »

« Cette piste semble très unique, le virage 1 et le virage 2 en particulier, c’est une sorte de long virage à droite puis un virage à gauche, donc évidemment, je pense que la gestion des pneus sera la clé de la course. Nous avons définitivement une bonne voiture, donc nous y arriverons avec du travail. »

Pour rappel, les pilotes ne disposeront que d’une seule séance d’essais libres ce week-end à Shanghai pour se familiariser avec la piste, avant de participer à la séance qualificative qui déterminera la grille de départ de la course Sprint programmée samedi (voir ici le déroulé exact du week-end à Shanghai).

Programme et horaires du Grand Prix F1 de Chine 2024

Voici le programme et les horaires du Grand Prix F1 de Chine – cinquième manche du championnat du monde 2024 de Formule 1 – qui se dispute du 19 au 21 avril sur le circuit international de Shanghai.

Pour ce cinquième rendez-vous de la saison 2024, les équipes de F1 participent à un week-end Sprint au format légèrement remanié avec une séance d’essais libres de 60 minutes le vendredi [EL1], avant de participer directement à la séance de qualifications Sprint le même jour qui détermine la grille de départ de la course Sprint programmée le lendemain.

Le samedi, les équipes participent à la course Sprint d’une durée de 30 minutes max, avant de participer un peu plus tard dans la journée à la séance de qualifications qui détermine la grille de départ de la course principale du dimanche [le Grand Prix]. Il est bon de noter que les écuries disposent d’un double Parc Fermé pour cet événement (à lire ici pour comprendre).

Le vendredi 19 avril, les pilotes participent à la seule séance d’essais libres du week-end à Shanghai [EL1] à 05h30 du matin (heure de Paris). La qualification Sprint est programmée le même jour à 09h30 du matin (heure de Paris).

Le samedi 20 avril, la course Sprint de 30 minutes max est programmée à 05h00 du matin (heure de Paris), tandis que la séance de qualifications qui détermine la grille de départ du Grand Prix de Chine est programmée à 09h00 du matin (heure de paris).

Enfin le dimanche 21 avril, le départ du Grand Prix de Chine 2024 sera donné à 09h00 du matin (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 56 tours de course sur le tracé international de Shanghai sur lequel la Formule 1 ne s’est plus rendue depuis 2019. 

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès ce vendredi 19 avril pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix de Chine en direct sur notre Live Center accessible ici.

Programme GP de Chine 2024 (heure de Paris)

Vendredi 19 avril : les EL1 à 05h30/Qualifs Sprint à 09h30

Samedi 20 avril : Course Sprint à 05h00/Qualifs à 09h00

Dimanche 21 avril : Départ du GP de Chine à 09h00

La règle du double Parc Fermé pour le Sprint expliquée

Avec l’introduction du nouveau format de course Sprint cette année en F1, les équipes de la grille bénéficient désormais de la nouvelle règle concernant le Parc Fermé et disposent donc d’une plus grande flexibilité avec un changement de configuration possible avant les qualifications.

Avec l’évolution des règles en F1, les équipes bénéficient d’une flexibilité accrue, un peu comme choisir le meilleur casino en ligne france pour maximiser ses chances de succès. Cela leur permet d’ajuster les réglages des monoplaces après la course Sprint, de manière similaire à la façon dont les joueurs peuvent affiner leurs stratégies pour obtenir des gains dans un casino en ligne. Cette nouvelle approche promet d’ajouter une dimension supplémentaire à la compétition, tout en offrant aux équipes une opportunité d’optimiser leurs performances, un peu comme un joueur cherchant à exploiter les meilleures opportunités sur un site casino en ligne.

Jusqu’à l’an dernier, lors d’un week-end Sprint la règle du Parc Fermé s’appliquait dès le début du Sprint Shootout [la qualification du Sprint], ce qui empêchait les écuries de toucher aux réglages des monoplaces pour le reste de l’événement.

Cette règle jugée trop restrictive par les équipes a donc été modifiée pour 2024 et les dix écuries de la grille pourront désormais modifier les réglages des monoplaces après la course Sprint du samedi.

Pour mieux comprendre, le premier Parc Fermé entrera en vigueur le vendredi avant le début de la qualification Sprint et se terminera après l’arrivée de la course Sprint le lendemain matin.

A partir de là, les équipes sont de nouveau autorisées à modifier les réglages des monoplaces avant la séance de qualifications qui détermine la grille de départ de la course principale [le Grand Prix].

Cela signifie qu’entre la qualification Sprint et la course Sprint, toutes les équipes pourront s’appuyer sur les données récoltées lors de ces deux séances pour voir si elles ont bien travaillé en termes de réglages. Dans le cas contraire, elles auront alors la chance de réinitialiser les réglages avant de se lancer dans les qualifications de la course principale.

Pour résumer, durant un week-end Sprint il y a désormais deux Parc Fermé. Le premier concerne le format Sprint [qualification Sprint et course Sprint], tandis que le deuxième Parc Fermé entre en vigueur avant la séance de qualifications qui détermine la grille de départ de la course principale du dimanche.

Cette règle du double Parc Fermé entrera en vigueur lors de chaque week-end Sprint de la saison. Le Grand Prix de Chine accueille le premier Sprint de 2024, il y en aura cinq autres après Shanghai : Miami, l’Autriche, Austin, Sao Paulo et le Qatar. 

Six ans que Ocon n’a plus roulé sur le circuit de Shanghai en Chine

Esteban Ocon aura attendu un an de plus que la plupart des pilotes pour retrouver le circuit international de Shanghai, sa dernière apparition sur ce tracé remontant à 2018 lorsqu’il pilotait encore pour Racing Point. 

Si la Formule 1 ne s’est plus rendue en Chine depuis cinq ans, certains pilotes de la grille n’ont tout simplement jamais roulé sur ce tracé au volant d’une F1. C’est le cas du pilote Williams Logan Sargeant, du Chinois Guanyu Zhou, du pilote McLaren Oscar Piastri ou encore du pilote Visa Cash App RB Yuki Tsunoda.

Les autres pilotes ont tous déjà roulé à Shanghai, mais Esteban Ocon pour sa part aura attendu une année de plus car le Français n’était pas titulaire en 2019 lors de la dernière édition du Grand Prix de Chine, il devait se contenter d’un rôle de réserviste chez Mercedes après avoir perdu son baquet chez Racing Point face à Lance Stroll.

Ce week-end donc, Esteban Ocon aura un peu l’impression de découvrir « un nouveau circuit » à Shanghai, mais le pilote Alpine se sent prêt après avoir passé beaucoup de temps dans le simulateur à Enstone au cours des derniers jours.

« Ce sera un peu comme aller sur un nouveau circuit puisque la Formule 1 n’a plus couru en Chine depuis cinq ans. La semaine dernière, j’étais au simulateur d’Enstone pour travailler dur à la préparation de ce week-end avec les ingénieurs, d’autant qu’il y aura un Sprint, et donc moins de temps de piste en essais. » a déclaré Ocon à la veille du Grand Prix de Chine.

« C’était agréable de se refamiliariser avec le tracé et d’évaluer différentes options de réglages. Shanghai propose un mélange intéressant de courbes à basses, moyennes et hautes vitesses, ainsi qu’une longue ligne droite opposée d’un kilomètre. »

« Il faut naturellement trouver un compromis entre l’appui dans les virages et la réduction de la traînée en ligne droite. J’aime piloter à Shanghai et j’y ai déjà connu de belles batailles. Ce sera bon de retourner en Chine et j’ai hâte de revoir les fans chinois en tribunes ! »

« Shanghai marque aussi le début de deux week-ends Sprint consécutifs et le premier de la saison 2024. Dans le passé, nous avons vu que ceux-ci ont tendance à offrir de nouvelles variables et à créer des opportunités. »

« Les dernières épreuves ont montré que nous sommes plus compétitifs sur un tour en qualifications, donc nous devons étudier comment en tirer profit avec le format revisité du Sprint. »

« La dégradation est traditionnellement assez élevée à Shanghai, d’où des stratégies variées et des batailles intéressantes en fin de course. »

« En tant qu’équipe, nous devons donc évaluer soigneusement notre stratégie avec les pneumatiques sur chaque séance et nous assurer de nous mettre dans la meilleure position possible, à la fois pour le Sprint et le Grand Prix. »

Avant le Grand Prix de Chine, Esteban Ocon n’a toujours pas marqué le moindre point au championnat du monde des pilotes, tout comme son coéquipier Pierre Gasly.

Sainz toujours dans le flou concernant son avenir

Carlos Sainz a insisté sur le fait qu’il n’avait toujours aucune idée de l’endroit où il courrait l’année prochaine, mais a promis de continuer « à pousser » pour prouver qu’il mérite sa place en Formule 1.

A la fin de cette saison 2024, Carlos Sainz devra quitter Ferrari pour laisser son baquet au septuple champion du monde Lewis Hamilton qui a signé un contrat pluriannuel avec l’écurie de Maranello à partir de 2025.

Carlos Sainz pour sa part a dû entamer des discussions avec plusieurs équipes de la grille pour tenter d’obtenir un baquet l’an prochain, alors que plusieurs baquets compétitifs sont encore disponibles comme chez Mercedes suite au futur départ de Lewis Hamilton ou encore chez Red Bull qui n’a toujours pas confirmé le renouvellement de contrat de Sergio Perez.

Interrogé pour savoir s’il savait déjà où il allait atterrir la saison prochaine, le principal intéressé a répondu : « Honnêtement, malheureusement je n’ai aucune idée d’où je serai l’année prochaine. » a déclaré Carlos Sainz à Sky Sports lorsqu’on lui demande s’il sait déjà pour quelle équipe il pilotera en 2025.

« C’est vrai que nous parlons à de nombreuses équipes. Mais j’ai juste besoin de rester concentré sur ce que je fais, de me prouver à moi-même, de prouver à tout le monde que lorsqu’on me donne une voiture rapide, je maximise ce que l’on me donne et je performe. »

« Cela a été un bon début de saison, et c’est vrai qu’avec cette voiture on peut briller un peu plus. Avec la voiture de l’année dernière, j’ai eu des performances similaires à celles de cette année, mais je n’ai pas pu briller. »

« C’était une voiture beaucoup plus difficile à piloter [en 2023], avec beaucoup plus de dégradation [des pneus]. Pendant la course, vous deviez regarder derrière, mais cette année, nous regardons vers l’avant, vous pouvez dépasser et cela vous permet de briller un peu plus. Cela aide, mais je vais continuer à pousser. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il pense pouvoir contrôler son avenir ou s’il dépend d’abord des décisions des autres pilotes de la grille, l’Espagnol a répondu : « Je pense que cela dépend aussi des autres…des autres équipes, de ce qu’elles choisissent de faire. »

« Après, elles savent que je suis disponible, donc on verra bien ce qui se passera. » a conclu le vainqueur du Grand Prix d’Australie 2024.

La F1 a réduit ses émissions de CO2 de 13% en 2022

La Formule 1 a publié son premier rapport d’impact sur l’environnement, révélant que le sport est en passe d’atteindre les objectifs fixés dans sa stratégie de développement durable afin d’être neutre en carbone d’ici 2030. 

Un rapport de 63 pages (disponible en intégralité ici) publié par la Formule 1 révèle les données de l’empreinte carbone de la F1 pour la saison 2022 (les données de la saison 2023 doivent encore être compilées) – la première année représentative à être mesurée après la pandémie de Covid-19 – et inclut des détails sur la façon dont le sport continuera dans sa démarche pour réussir à faire de nouveaux progrès et atteindre son objectif de neutralité carbone d’ici 2030.

« La durabilité est l’un des facteurs les plus importants pour nous, non seulement en tant que sport, mais aussi en tant qu’entreprise. » a déclaré Stefano Domenicali, président et chef de la direction de la Formule 1.

« Il ne nous suffit plus simplement d’offrir de l’action et des courses roue contre roue sur la piste, nous devons nous assurer que nous le faisons de manière durable afin que notre sport puisse prospérer longtemps dans le futur. »

« La F1 innove et influence la société au sens large depuis plus de 70 ans, et nous avons vu comment les grands esprits et la technologie du sport ont eu un impact positif dans de nombreux domaines différents, et maintenant nous avons transformé cette expertise et cette vision en faveur du développement durable. »

« Nous sommes un sport mondial avec plus de 700 millions de fans à travers le monde, ce qui nous donne une excellente plateforme pour créer le changement et influencer ceux qui regardent et s’engagent avec la F1 pour qu’ils passent à l’action et laissent leur propre héritage positif. »

« Au cours des quatre dernières années, nous avons réalisé des progrès significatifs et nous restons très concentrés sur nos objectifs. Je suis ravi de voir l’impact que nous pouvons avoir. »

La référence de 2018 a été confirmée en 2019, lorsque la F1 a lancé sa stratégie de développement durable dans le but d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2030, de laisser un héritage de changement positif partout où elle court et de construire un sport plus diversifié et inclusif.

La F1 s’est engagée à réduire ses émissions de carbone d’au moins 50 % par rapport à 2018, un objectif fixé en s’appuyant sur la science du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et sa définition des émissions nettes nulles, et en suivant les orientations fixées par le protocole sur les gaz à effet de serre.

Le rapport publié à la veille du Grand Prix de Chine présente les prochaines étapes du sport pour réduire davantage son empreinte carbone et atteindre les 37 % de réduction restants – en mettant notamment l’accent sur le secteur de la logistique qui représente près de la moitié de l’empreinte totale.

La Formule 1, les équipes de F1, les promoteurs de courses et leurs partenaires, ont réduit leurs émissions de carbone en passant aux énergies renouvelables et en effectuant des changements logistiques vers les opérations à distance et le fret maritime. Bien que les données carbone du rapport reflètent la saison 2022, il met également en évidence plusieurs activités environnementales de 2023 alors que les progrès se poursuivent avec de nouvelles innovations significatives.

Par exemple, toutes les monoplaces de F2 et de F3 ont testé un carburant durable à 55 % en partenariat avec Aramco, alors que la Formule 1 a franchi une nouvelle étape vers l’utilisation de carburant 100 % durable dans les monoplaces de F1 à partir 2026, parallèlement à la nouvelle réglementation sur les groupes motopropulseurs du sport.

Une nouvelle flotte de camions DHL alimentés au biocarburant a également réduit les émissions de carbone liées à la logistique de 83 % en moyenne au cours de la saison européenne.

Plus de 75 % des organisateurs ont utilisé des sources d’énergie renouvelables pour alimenter certains aspects de leur événement en 2023, allant des activations d’essai à l’ensemble du week-end du Grand Prix, contre 50 % en 2022. Ci-dessous, quelques exemples spécifiques :

  • Le Grand Prix d’Autriche a réduit les émissions concernées de plus de 90 % dans la voie des stands, le paddock et l’enceinte du tracé grâce à un projet pilote énergétique de nouvelle génération. Cet essai s’étend en 2024 et au-delà.
  • Le parc solaire du circuit international de Bahreïn a produit 5,28 MW d’énergie propre entre les Grands Prix 2022 et 2023 – suffisamment d’énergie renouvelable pour couvrir toute l’utilisation du circuit pour la F1 avec une capacité disponible importante.
  • Le Grand Prix de Grande-Bretagne était entièrement alimenté par des énergies alternatives vertes. Cela comprenait 2 746 panneaux solaires et l’utilisation de carburant à base d’huile végétale hydrotraitée (HVO) dans tous les générateurs temporaires.

Outre l’énergie, le Grand Prix de Las Vegas a également lancé un programme de conservation de l’eau, le premier en son genre, dans le but de mettre en œuvre des technologies capables de réduire, et éventuellement de compenser, la consommation d’eau extérieure lors d’événements sportifs à grande échelle.

En 2023, la Formule 1 a conservé son accréditation environnementale trois étoiles de la FIA, le plus haut niveau de reconnaissance de la durabilité environnementale décerné par l’instance dirigeante du sport, tout en devenant le premier championnat de sport automobile au monde à ce que toutes les équipes membres obtiennent le même statut.

Le rapport présente également les activités de la F1 réalisées tout au long de 2023 et qui reflètent les efforts de diversité et d’inclusion du sport. Il s’agit notamment du lancement de la F1 Academy pour aider à découvrir et à développer les jeunes talents féminins dans leur parcours vers les niveaux élites du sport automobile, et de la F1 Academy Discover Your Drive, une initiative mondiale visant à accroître le vivier de talents entrant dans le sport automobile en se concentrant sur quatre piliers : l’engagement des jeunes, l’identification des talents, participation et progression, et communauté.

Au niveau local, suite au lancement du premier programme F1 Academy Discover Your Drive en collaboration avec Motorsport UK et TeamSport, le nombre de filles qualifiées pour les finales locales du British Indoor Karting Championship (BIKC) a augmenté de 265 % en 2023.

La Formule 1 a continué à soutenir les étudiants en ingénierie à travers son programme de bourses d’études, les dix premiers boursiers ayant effectué des stages dans des équipes de F1 tout au long de 2023, et à inspirer la prochaine génération avec des initiatives éducatives, notamment des événements STEM et des journées d’information sur les carrières impliquant plus de 350 étudiants à travers le monde. Royaume-Uni.

Les opportunités offertes aux personnes issues de milieux sous-représentés d’accéder au monde de la Formule 1 se sont poursuivies, avec la création d’un groupe de travail formel sur la diversité et l’inclusion et la collaboration avec des partenaires, tels que la Mission 44 de Lewis Hamilton, pour créer des opportunités lors des Grands Prix du monde entier.

Alpine confirme des évolutions pour une seule A524 en Chine

L’information rapportée ce matin par La Chaine Renault selon laquelle Alpine s’apprête à introduire une mise à jour sur sa monoplace ce week-end au Grand Prix de Chine a été confirmée par l’équipe du constructeur français.

Ce week-end au Grand Prix de Chine, Alpine introduira sur l’une de ses monoplaces (une seule) quelques nouvelles pièces normalement prévues pour le Grand Prix de Miami. L’écurie du A fléché a en effet réussi à produire ces nouveautés à temps pour la cinquième manche de la saison qui se dispute à Shanghai du 19 au 21 avril.

« L’équipe a travaillé extrêmement dur et nous serons en mesure d’apporter une évolution sur une voiture ce week-end, soit une course plus tôt que prévu. » a confirmé Bruno Famin, Team Principal d’Alpine.

Déjà lors de la dernière manche disputée au Japon, Alpine avait introduit quelques nouveautés sur l’A524, notamment un nouveau Beam Wing, de nouvelles écopes de frein avant et un nouvel aileron avant. Ces améliorations n’avaient cependant pas permis à l’équipe de faire des progrès significatifs puisque aucun des deux pilotes n’a terminé dans les points à Suzuka après un accrochage survenu entre les deux Alpine lors du redémarrage de la course et qui a causé des dégâts. 

« Même s’il était bien d’apporter nos premières évolutions à Suzuka, nous devons faire plus. » a poursuivi Bruno Famin.

« La dernière course au Japon a souligné l’ampleur du défi qui nous attend pour améliorer notre niveau de performance. »

« Nous ne sommes pas là où nous le voulons et nous devons développer les performances de la voiture afin de nous battre pour des positions plus hautes. Le niveau doit être relevé dans tous les domaines pour que nous puissions nous sortir de ce moment difficile. »

Ce week-end à Shanghai, Alpine se retrouvera presque au même niveau que les autres écuries de la grille puisque personne n’a plus roulé sur le tracé chinois depuis cinq ans maintenant (la dernière édition du GP de Chine a eu lieu en 2019). 

Dans ce contexte si particulier, la préparation de l’équipe a été légèrement différente par rapport à d’habitude et les deux pilotes, Esteban Ocon et Pierre Gasly, étaient tous les deux à Enstone la semaine dernière pour travailler dans le simulateur.

« Cela fait cinq ans que la Formule 1 n’a plus couru en Chine, soit très longtemps en F1, d’où des défis uniques pour toutes les équipes et tous les pilotes ce week-end. » a ajouté Famin.

 » Les voitures sont complètement différentes de celles de 2019, donc la préparation a différé par rapport à d’habitude. C’est un bon tracé avec de longues lignes droites et de très longs virages, ayant entraîné dans le passé une forte dégradation des pneumatiques. »

« Compte tenu du format Sprint, nous aurons moins de préparation et il sera crucial d’être dans le coup dès les premiers tours de roues. Nos deux pilotes étaient au simulateur d’Enstone la semaine dernière pour prendre le temps d’être prêts à relever le défi. »

Avant le Grand Prix de Chine, Alpine fait partie des trois équipes de la grille avec Williams et Stake à ne pas avoir marqué le moindre point au championnat du monde des constructeurs. 

Toto Wolff : la Chine est un marché clé pour la F1

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, ne cache pas son enthousiasme de voir la Formule 1 revenir en Chine après cinq années d’absence au cœur d’un « marché clé » pour la croissance du sport selon l’Autrichien.

La Formule 1 ne s’est plus rendue à Shanghai depuis 2019 avant que la crise sanitaire du Covid 19 ne limite les déplacements à travers le monde. En 2024, cela fait donc cinq ans qu’il n’y a pas eu de Grand Prix de Chine dans le pays le plus peuplé de la planète avec près de 1,5 milliard d’habitants environ selon les derniers chiffres mis à jour.

Le marché en Chine pour les constructeurs automobiles tels que Ferrari, Mercedes ou encore Aston Martin est colossal, alors que la Formule 1 – qui est devenu le sport à la croissance la plus rapide au monde – compte bien poursuivre sa progression en Chine, ce qui laisse penser à Toto Wolff que le retour de la catégorie reine à Shanghai cette année est un moment « important » pour la Formule 1.

« Le retour en Chine est un moment important pour le sport. En tant que plus grand marché automobile au monde et deuxième économie mondiale, la Chine joue un rôle crucial dans l’empreinte mondiale de ce sport. » a déclaré Wolff à la veille du Grand Prix de Chine.

« La croissance de la F1 ces dernières années a été positive et la Chine est un marché clé pour poursuivre cette progression. »

« Nous sommes impatients de courir à Shanghai pour la première fois en cinq ans et de ramener la F1 aux fans chinois. Avec des tribunes combles, je suis sûr que ce sera un événement fantastique. » a ajouté le patron de l’équipe Mercedes dont la fortune personnelle a été estimée à 1,6 milliard de dollars par Forbes.

D’un point de vue simplement sportif (et oui, nous sommes quand même là pour ça), Toto Wolff s’attend à quelques défis en Chine ce week-end, notamment parce que la F1 a programmé à Shanghai sa première course Sprint de la saison (voir ici le mode d’emploi du nouveau format Sprint) sur un tracé où les équipes n’ont pas roulé depuis cinq ans, et alors que le revêtement a été entièrement refait avant l’arrivée du grand cirque.

« Ce sera un week-end intéressant en piste. Avec les nouvelles voitures, les nouveaux pneus et les changements apportés au revêtement de la piste depuis notre dernière course en Chine, il y aura beaucoup d’inconnues. » a ajouté Wolff.

« Nous avons également le premier week-end Sprint de l’année et cela apporte ses propres défis. Les changements de format, y compris un deuxième parc fermé, amélioreront le rythme du week-end – et la seule heure d’essais [les EL1 le vendredi] met toujours la pression pour prendre des décisions correctes avec des informations imparfaites. Nous attendons cependant ce test avec impatience. »

Avant le Grand Prix de Chine, Mercedes occupe la quatrième place au championnat du monde des constructeurs avec un point de retard sur Aston Martin, mais contrairement à ce que laissent penser les résultats, l’écurie Mercedes a fait de grands progrès lors de la dernière course disputée au Japon insiste Toto Wolff.

« Les résultats ne le montrent pas nécessairement, mais nous avons fait de solides progrès avec notre voiture au Japon. Nous sommes impatients de bâtir là-dessus ce week-end. » a conclu l’Autrichien.

Mercato : Alpine F1 étudie le marché des pilotes « au cas où »

Le Team Principal d’Alpine en Formule 1, Bruno Famin, a insisté sur le fait que son équipe n’est pas « pressée » de prendre une décision concernant ses futurs pilotes pour la saison 2025, mais qu’elle se prépare tout de même à toute éventualité « au cas où » Pierre Gasly et Esteban Ocon décidaient de partir.

A la fin de cette saison 2024, les deux pilotes Alpine, Esteban Ocon et Pierre Gasly, verront leur contrat arriver à son terme avec l’équipe du constructeur français. Alpine étant dans une situation difficile avec une monoplace mal née, l’écurie basée à Enstone pourrait avoir le plus grand mal à conserver ses pilotes pour l’an prochain et même à en attirer d’autres. 

Alors que le marché des pilotes s’est déjà emballé depuis l’annonce surprise de Lewis Hamilton qui quittera Mercedes à la fin de l’année pour rejoindre Ferrari, Bruno Famin lui a une nouvelle fois insisté sur le fait que Alpine est « satisfait » de son duo de pilotes actuel.

« Nous sommes satisfaits de nos pilotes, et nos pilotes sont satisfaits de nous. » a déclaré Bruno Famin dans un entretien exclusif accordé au site du championnat.

« Nous leur parlons régulièrement. Nous verrons ce que nous pourrons faire à l’avenir. Il y a des hauts et des bas, nous sommes dans une période difficile, mais nous avons un projet avec une vision à long terme. »

« Nous avons un bon point fort pour le projet 2026 – nous sommes constructeur et nous développons l’unité de puissance – qui est en bonne voie, nous pouvons tout optimiser. Nous avons un projet qui n’a pas besoin de les convaincre [de rester]. »

« Je voudrais profiter de cette occasion pour les remercier, car nous sommes dans une situation difficile. Ce n’est pas le début de saison que nous souhaitions et j’apprécie à quel point ils sont constructifs avec l’équipe, non seulement dans la communication avec les journaliste, mais aussi en interne. Lorsque nous essayons de trouver des solutions avec la voiture, les deux nous sont très utiles. »

Un œil sur le marché

Malgré tout, Alpine étudie évidemment le marché des pilotes « au cas où » et l’équipe du constructeur français peut s’appuyer sur plusieurs talents comme le pilote de réserve Jack Doohan ou encore le pilote de F2 Victor Martins.

« Nous regardons également le marché et nous avons notre académie où nous développons les talents de demain ou du futur. Nous avons Jack Doohan qui est notre réserviste, Victor Martins en F2. » a ajouté Famin. 

« Nous avons un large champ de possibilités. Nous sommes heureux avec Esteban, heureux avec Pierre – mais nous sommes prêts à réagir au cas où quelque chose arriverait. »

Concernant une annonce sur l’identité des deux pilotes pour la saison 2025, Bruno Famin a insisté sur le fait que Alpine prendra son temps : « Nous ne sommes pas pressés pour le moment pour être franc. »

« Nous avons d’autres problèmes à résoudre, d’autres choses à améliorer, et nous ne sommes pas pressés. Nous sommes prêts, nous sommes préparés, mais nous ne sommes pas pressés. »

Chez Haas, Komatsu veut améliorer la communication entre les usines

Ayao Komatsu – récemment nommé Team Principal de Haas en remplacement de Guenther Steiner – a expliqué à quel point l’équipe américaine était perdante en raison de « gros problèmes de communication » au cours des dernières années.

L’écurie américaine Haas a débuté en Formule 1 en 2016 et son siège social est situé aux Etats-Unis. Cependant, l’équipe dispose également d’un bureau d’études en Italie au sein de l’usine Ferrari à Maranello – son partenaire technique – ainsi qu’une usine au Royaume-Uni. De plus, Haas dispose également d’une seconde base en Italie chez Dallara qui fabrique le châssis.

Pour Ayao Komatsu – qui est à la tête de l’équipe depuis le début d’année – cette configuration avec plusieurs installations dispersées un peu partout dans le monde reste un domaine à améliorer en urgence, notamment parce que la communication au sein de l’écurie est l’un des plus gros problèmes depuis quelques années selon lui.

« Pour le moment, nous apportons des améliorations à la voiture. » a déclaré Ayao Komatsu dans le podcast Beyond The Grid à propos des priorités de son équipe en ce début d’année.

« Mais au début, avec une usine au Royaume-Uni, une usine en Italie, nous ne fonctionnions pas correctement en équipe, il y avait de gros problèmes de communication. »

« En Italie, vous avez un bureau d’études et un département aérodynamique, donc ce sont ceux qui conçoivent essentiellement la voiture. Les installations britanniques regroupent l’équipe de course, l’ingénierie de course et toutes les fonctionnalités nécessaires pour analyser les performances de la voiture. Ces deux groupes doivent travailler ensemble, mais cela n’a pas été le cas. »

« C’est désormais mon objectif principal : faire travailler ensemble ces deux installations. Il est clair pour moi que nous avons des gens talentueux dispersés un peu partout, mais nous n’avons pas vraiment disposé d’un cadre approprié pour travailler ensemble. »

« Même si ce n’est pas idéal en termes d’installations en Italie et au Royaume-Uni, je vois encore beaucoup de choses que nous pouvons améliorer pour que cela fonctionne. Jusqu’à présent, ce qui s’est passé au cours des derniers mois prouve que nous pouvons faire beaucoup mieux. »

« Nous devons avoir cette base de relation, de respect mutuel, de compréhension mutuelle, que nous construisons. Je sens que cette année, nous travaillons beaucoup, beaucoup mieux. »

Un soutien sans faille

De façon générale, Komatsu a été ravi de la façon dont le personnel de l’équipe a réagi à sa nomination en début d’année au poste de directeur, le Japonais affirmant le soutien reçu par les membres de l’équipe a dépassé toutes ses attentes.

« Je suis simplement très heureux de la réaction de tous les membres de l’équipe. Lorsque cette nouvelle a été annoncée, je suis allé parler avec nos managers et avec tout le monde dans l’équipe, j’ai fait autant de tête-à-tête que possible. J’ai commencé à essayer de m’asseoir et parler avec eux honnêtement et de manière transparente. »

« 90% des gens voient cela comme une opportunité de s’améliorer et nous sommes tous alignés sur la manière dont nous voulons améliorer cette équipe, sur la manière dont nous voulons y parvenir. Je suis tout simplement submergé par le soutien positif que je reçois. J’en suis très, très reconnaissant. »

Avant le Grand Prix de Chine – cinquième manche du championnat du monde 2024 – l’équipe Haas occupe la septième place au championnat du monde des constructeurs avec trois points de retard sur Visa Cash App RB.

Kabir Anurag rejoint l’Alpine Academy

Alpine a annoncé à la veille du Grand Prix de Chine l’arrivée de Kabir Anurag, pilote de Formule 4, au sein du programme de l’Alpine Academy.

En 2024, Kabir disputera le championnat d’Italie de Formule 4 et le Championnat Euro 4 avec US Racing après sa campagne en Formula Winter Series en début d’année.

Originaire de la Cité Etat de Singapour, le pilote âgé de seize ans devient le neuvième membre du programme de développement mis en place par Alpine F1 Team.

Kabir Anurag aura accès aux installations ultramodernes de l’écurie au siège des activités F1 d’Enstone (Royaume-Uni) tout en bénéficiant des conseils et du soutien du personnel de l’Academy et de l’équipe de F1 au sens large.

« Je suis ravi de rejoindre l’Alpine Academy pour la saison 2024. C’est un honneur de bénéficier du soutien et de la confiance d’Alpine F1 Team et d’avoir l’opportunité de travailler avec le programme de développement de l’écurie pour progresser dans ma carrière sur la piste et en dehors. » a déclaré Kabir Anurag.

« Je vais commencer ma première saison en F4 Italie et en Euro 4, et j’ai hâte de montrer ce dont je suis capable sous les couleurs d’Alpine. »

McLaren s’attend à souffrir à Shanghai, mais voit des opportunités

Le Team Principal de McLaren, Andrea Stella, pense que le tracé de Shanghai n’est certainement pas le plus adapté à la MCL38 cette année et s’attend donc à voir son équipe en difficulté ce week-end au Grand Prix de Chine.

Alors que la Formule 1 revient ce week-end à Shanghai pour la première fois depuis 2019, toutes les équipes de la grille seront logées à la même enseigne avec très peu – voire aucune – de données pertinentes pour cette cinquième manche de la saison 2024.

Du côté de chez McLaren, Andrea Stella estime pour sa part que la configuration du tracé de Shanghai n’est certainement pas la plus adaptée à la MCL38, cependant, l’Italien pense que le manque de données pour toutes les équipes pourrait tout de même présenter des opportunités.

« De tous les circuits sur lesquels nous avons couru jusqu’à présent cette année, il semblerait que le circuit international de Shanghai ne soit peut-être pas le mieux adapté à notre voiture. » confie Stella à la veille du Grand Prix de Chine.

« Mais nous pourrions être confrontés à une météo imprévisible. Le manque de données pour toutes les équipes pourrait également présenter des opportunités et des défis. »

« Ce week-end aura lieu aussi notre premier événement Sprint pour 2024 et bien que cela puisse offrir plus de chances de marquer des points, cela ajoute également le défi de devoir maximiser nos efforts lors de la première séance d’essais pour collecter autant de données que possible avant la course, en particulier sur un circuit sur lequel nous n’avons pas couru depuis cinq ans. »

« Nous travaillerons dur pour nous assurer que nous sommes bien préparés et en mesure de capitaliser là où les opportunités se présentent. »

Avant le Grand Prix de Chine, l’équipe McLaren occupe la troisième place au championnat du monde des constructeurs avec 69 points inscrits depuis le début de l’année, soit 51 de moins que la Scuderia Ferrari. 

Comme une première fois pour Pirelli au Grand Prix de Chine

Après cinq ans d’absence, la Formule 1 revient en Chine ce week-end pour y disputer sa cinquième manche de la saison 2024 sur le tracé de Shanghai et Pirelli – comme les dix équipes de la grille – ne dispose finalement que de très peu de données pertinentes.

En effet, la dernière course disputée en Chine remonte à 2019 lorsque les monoplaces d’ancienne génération roulaient encore avec des pneumatiques treize pouces (contre 18 pouces actuellement) et alors que ces F1 étaient caractérisées par un fond plat et avec une aérodynamique complètement différente de l’actuelle génération.

Dans ce contexte, c’est un peu comme si tout le monde repartait de zéro ce week-end à Shanghai, et bien que la sélection de pneus soit la même qu’en 2019 avec les C2 (Durs), C3 (Mediums) et C4 (Tendres), vous aurez compris qu’il est bien difficile pour les écuries de savoir à quoi s’attendre tant que les monoplaces n’auront pas pris la piste. 

La situation sera également compliquée par le fait que le Grand Prix de Chine sera le premier des six événements prévus pour la saison à adopter le format Sprint et qui a également été légèrement modifié par rapport à l’année dernière.  Les équipes n’auront alors qu’une seule heure (60 minutes) vendredi pour trouver les meilleurs réglages des monoplaces et, surtout, tester les pneus sur une longue distance sur une piste qui sera forcément loin d’être dans les conditions optimales.

« Il est prévisible que l’évolution du niveau d’adhérence offert par l’asphalte resté inchangé depuis 2019, et la piste n’ayant été utilisée que dans très peu d’épreuves depuis, elle devrait être importante [l’évolution] au fur et à mesure que les voitures y mettront de la gomme. » explique Pirelli à la veille du Grand Prix de Chine.

« Pour les équipes et les pilotes, le travail effectué sur simulateur sera donc encore plus important que d’habitude, tant en préparation de l’épreuve que pendant celle-ci. »

Avec le format Sprint, une répartition différente des pneus secs est également adoptée, qui passe de 13 à 12 trains (deux Durs, quatre Mediums et six Tendres) tandis que celle des pneus pluie reste inchangée (cinq Intermédiaires et deux Full Wet).

Autre point à prendre en compte en Chine, la météo. Les premières prévisions annoncent de la pluie pour les journées de vendredi et de samedi à Shanghai, alors que les températures pourraient fluctuer de façon importantes : « Le mois d’avril à Shanghai est traditionnellement marqué par des changements de température importants, avec des fluctuations de plus de 10°C, ajoutant une inconnue supplémentaire au puzzle auquel seront confrontés les équipes et les pilotes. » souligne Pirelli.

Enfin, si l’on se fie aux précédentes éditions du Grand Prix de Chine, le tracé de Shanghai est considéré comme un circuit sévère pour les pneumatiques, notamment le pneu avant gauche qui souffre terriblement dans le premier virage que l’on nomme affectueusement « la coquille d’escargot » avec plusieurs points de corde ou encore le virage 13 légèrement surélevé et qui précède la longue ligne droite arrière.

Données Pirelli pour le GP de Chine

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Le Grand Prix de Chine n’est pas qu’une course pour Zhou

Très plébiscité depuis son arrivée en Chine il y a quelques jours, le seul pilote chinois de la grille en Formule 1, Guanyu Zhou, s’attend à vivre un Grand Prix de Chine intense devant son public ce week-end à Shanghai.

Guanyu Zhou est devenu en 2022 à l’âge de 22 ans le premier représentant de la Chine à courir en Formule 1 en tant que titulaire pour l’équipe Alfa Romeo Racing (désormais Stake F1). Zhou a remplacé directement Antonio Giovinazzi qui n’avait pas hésité à l’époque à critiquer publiquement le chois d’Alfa Romeo, l’Italien dénonçant une F1 devenue « impitoyable » où  « l’argent dicte les règles ».

En 2024, Zhou a entamé sa troisième saison en Formule 1, mais jusqu’à présent, le Chinois n’a jamais pu rouler devant son public à domicile car le Grand Prix de Chine ne faisait plus partie du calendrier de la Formule 1 depuis 2019 – date de la dernière édition – en raison de la crise sanitaire du Covid 19 et des restrictions de voyage qui en ont résulté.

Ce week-end donc, le pilote Stake va enfin pouvoir courir devant ses fans et lorsqu’on lui demande dans quel état d’esprit il se trouve à la veille de son premier Grand Prix de Chine, Zhou a répondu : « Je ne peux pas être plus excité que maintenant, alors que je m’apprête à courir chez moi à Shanghai. »

« Être le premier pilote chinois à courir en Formule 1 en Chine signifie beaucoup pour moi – cela me remplit d’une immense joie, fierté et responsabilité. »

« Ce n’est pas qu’une course pour moi : après quatre ans d’absence au calendrier, le championnat revient enfin, et avec un pilote chinois sur la grille, nous allons écrire l’histoire. » a-t-il poursuivi.

« C’est l’occasion d’inspirer et d’ouvrir la voie aux générations futures intéressées par ce sport : nous avons pu voir leur passion lorsque les billets ont été mis en vente, car ils ont été entièrement vendus en quelques heures – mon pays adore les courses et il l’attendait ce moment depuis des années. »

« Pour moi, cependant, l’accent reste mis sur la performance : une fois sur la piste, je traiterai ce week-end comme n’importe quel autre week-end et je travaillerai dur pour tirer le meilleur parti de la voiture. »

« J’ai hâte de tout donner, de partager la passion avec toute notre équipe sur la piste et à la maison, et de commencer un nouveau chapitre du sport automobile chinois avec le public. Mais surtout, j’ai hâte de faire une bonne course et de recommencer à marquer des points. »

Pour sa première course à domicile, Guanyu Zhou portera un casque spécial ce week-end à Shanghai, un casque inspiré du métro et des monuments de Shanghai.

Mode d’emploi du nouveau format de course Sprint en F1

Ce week-end au Grand Prix de Chine – cinquième manche du championnat du monde 2024 – la Formule 1 inaugure sur le tracé de Shanghai son tout nouveau format de course Sprint validé en début d’année par la Commission F1.

Jusqu’à la saison dernière, les équipes de F1 participaient à une séance d’essais libres de 60 minutes le vendredi, avant de participer à la séance de qualifications qui déterminait la grille de départ de la course principale du dimanche [le Grand Prix].

Le lendemain [le samedi], la journée était entièrement réservée à la course Sprint avec une séance qualificative [anciennement appelée Shootout] programmée le matin et qui déterminait la grille de départ du Sprint programmé un peu plus tard. 

Mais lors de sa première réunion de l’année, la Commission F1 a validé une option concernant les formats de week-end Sprint, ce qui veut dire qu’en 2024 la séance de qualifications  « classique » pour la course principale se déroulera de nouveau le samedi.


A partir de 2024, les équipes participent toujours à une séance d’essais libres de 60 minutes le vendredi, avant de participer aux qualifications Sprint dont le résultat détermine la grille de départ de la course Sprint programmée le lendemain matin [le samedi]. Le samedi après-midi, les équipes participent à la séance de qualifications qui détermine la grille de départ de la course principale du dimanche [le Grand Prix].

Pour résumer : la séance de qualifications classique qui détermine la grille de départ du Grand Prix [la course principale] a retrouvé sa place le samedi après-midi, alors que la séance qualificative qui détermine la grille de départ du Sprint a été avancée au vendredi après-midi.

Vendredi : Essais libres (60 minutes) et Qualifications Sprint

Samedi : Course Sprint et Qualifications pour le Grand Prix 

Dimanche : Le Grand Prix (course principale) 


Calendrier courses Sprint 2024

Après le Grand Prix de Chine, cinq autres événements du calendrier accueilleront un format Sprint en 2024 : Miami, Autriche, Austin, Sao Paulo et le Qatar. 

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Alpine, le développement du moteur Renault 2026 est « sur la bonne voie »

Bruno Famin, le Team Principal d’Alpine en Formule 1, assure que les ingénieurs de Viry-Châtillon travaillent sans relâche pour faire en sorte de développer une unité de puissance 2026 plus performante que l’actuelle qui est montée à l’arrière de l’A524 et qui souffre d’un déficit de puissance par rapport aux autres moteurs de la grille.

Depuis le 1er mars 2022, les motoristes ne sont plus autorisés à apporter des améliorations sur leurs unités de puissance afin de maitriser les coûts et donner aux motoristes suffisamment de temps pour préparer l’arrivée d’un nouveau moteur en 2026.

Ce gel concerne le moteur à combustion interne, le turbo, le MGU-H, le système d’échappement et les spécifications d’huile moteur ainsi que les carburants. Cependant, le MGU-K, la batterie et l’électronique pouvaient encore être modifiés jusqu’au 1er septembre 2022. Passé cette date du 1er septembre, plus aucun changement n’est autorisé à moins d’une dérogation spéciale pour permettre à un motoriste trop en retrait sur les autres de rattraper son retard. 

Le gel s’applique également aux fournisseurs de carburant et d’huile, mais les équipes sont autorisées à changer de fournisseur pendant la période d’homologation – à condition que le changement soit pour des raisons commerciales et non techniques.

Du côté de chez Alpine, le moteur Renault est en retrait depuis quelques années déjà et le gel du développement n’a certainement pas aidé le constructeur français qui doit « patienter » jusqu’au prochain changement de règlementation en 2026 avant d’avoir une unité de puissance digne de ce nom.

Certains experts estiment que le moteur Renault accuse un déficit d’environ 15 kw par rapport à ses concurrents et que cela pourrait coûter jusqu’à cinq dixièmes par tour sur certaines pistes. 

Interrogé pour savoir si ses équipes avancent bien sur le développement de la future unité de puissance 2026, Bruno Famin a indiqué qu’il était « assez satisfait » du travail de ses ingénieurs et que Alpine est « sur la bonne voie » : « Viry [l’usine moteur d’Alpine en France] travaille depuis assez longtemps sur la nouvelle règlementation moteur. » a déclaré Bruno Famin lors d’un entretien accordé au site du championnat du monde.

« La bonne nouvelle, c’est que nous sommes sur la bonne voie. Nous sommes assez satisfaits de ce que nous faisons. Le niveau est assez ambitieux. Pour l’instant, nous sommes sur la bonne voie, mais on ne sait jamais ce que font les concurrents. » a-t-il ajouté.

Bien que Alpine apportera plusieurs améliorations à sa monoplace 2024 (la première mise à jour est programmée à Miami), Bruno Famin semble déjà faire passer le message aux fans de la marque qui devront prendre leur mal en patience au moins jusqu’en 2026, date à laquelle le changement de règlementation offrira à Alpine le plus d’opportunités pour grimper dans la hiérarchie.

« Nous voulons certainement revenir sur la première partie de la grille, améliorer significativement notre position. Nous savons que le changement majeur dans la règlementation [en 2026] est une opportunité de changer la donne. Nous voulons saisir cette opportunité. C’est le but. » a poursuivi Famin.

« Nous voulons faire un pas significatif et trouver de la cohérence, ne pas être une année cinquième, une autre année septième et une année sixième. Nous devons nous rapprocher beaucoup plus des plus grandes équipes. »

Avant le Grand Prix de Chine, cinquième manche du championnat du monde 2024, l’équipe Alpine n’a toujours pas marqué le moindre point au classement constructeurs, tout comme Williams et Stake F1.

Pluie, Sprint et beaucoup d’inconnues pour le retour de la F1 en Chine

Ce week-end, la Formule 1 fait son grand retour à Shanghai pour y disputer le Grand Prix de Chine après cinq années d’absence en raison de la crise sanitaire du Covid 19. Au programme de ce cinquième rendez-vous de la saison 2024 : de la pluie, une course Sprint et beaucoup d’inconnues pour les dix équipes de la grille.

Sur le papier, tous les ingrédients sont réunis pour nous offrir un Grand Prix de Chine excitant puisque les équipes n’ont plus roulé sur le tracé de Shanghai depuis 2019, soit trois ans avant que l’actuelle règlementation technique soit introduite en Formule 1, ce qui signifie que les données à disposition des écuries sont plus qu’obsolètes à la veille de ce cinquième Grand Prix de la saison 2024. 

Pour ne rien arranger, la Formule 1 a décidé d’organiser à Shanghai la première de ses six courses Sprint de la saison sur un tracé où les possibilités de dépassement sont nombreuses. Cependant, aucune équipe de la grille n’a roulé à Shanghai depuis 2019 et, compte tenu du fait qu’elles n’auront qu’une seule séance d’essais libres d’une heure le vendredi avant de participer à la séance de qualifications Shootout, il faudra s’attendre à quelques surprises.

Autre point important à prendre en compte : les premières prévisions météo annoncent de la pluie à Shanghai tout au long du week-end, notamment le samedi à l’heure de la séance de qualifications du Grand Prix de Chine programmée à 15h00 en heure locale.

Le dimanche pour la course, le ciel devrait rester dégagé au dessus du tracé chinois. Evidemment, nous publierons notre traditionnel bulletin météo d’avant Grand Prix ce jeudi 18 avril sur notre site grâce à notre partenaire Celinium. 

Que s’est-il passé en 2019 au GP de Chine ?

En 2019, date de la dernière édition du Grand Prix de Chine, la Formule 1 célébrait sur le tracé de Shanghai la 1000e course de l’histoire du championnat du monde. C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a remporté le Grand Prix de Chine 2019. Le Britannique devançait alors son ancien coéquipier Valtteri Bottas et l’ancien pilote Ferrari Sebastian Vettel.

Derrière, Max Verstappen, Charles Leclerc, Pierre Gasly, Daniel Ricciardo, Sergio Perez, Kimi Raikkonen et Alexander Albon complétaient le top dix à l’arrivée de l’épreuve.

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès le vendredi 19 avril pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix de Chine en direct sur notre Live Center accessible ici.

Alpine : « L’équipe n’est absolument pas à vendre » martèle Bruno Famin

Le Team Principal de l’équipe Alpine, Bruno Famin, a une nouvelle fois indiqué à qui veut bien l’entendre que Renault ne compte absolument pas vendre son équipe de Formule 1 malgré de nouvelles rumeurs qui ont émergé ces dernières semaines.

Alpine a débuté la saison 2024 de la pire des manières, puisqu’après les quatre premières manches disputées, l’écurie du constructeur français n’a toujours pas ouvert son compteur de points au championnat du monde. la faute à une monoplace mal née et avec laquelle il faudra pourtant continuer à travailler tout au long de l’année.

Dans ce contexte, les rumeurs sur une éventuelle vente de l’équipe Alpine par Renault (le propriétaire) ont de nouveau été lancées par certains médias, mais une nouvelle fois, Bruno Famin a tenu à rétablir la vérité.

« Nous avons un vrai projet avec Alpine. Nous avons le projet de développer la notoriété de la marque Alpine à l’échelle mondiale à travers le sport automobile et la Formule 1 en particulier. » a déclaré Bruno Famin dans un entretien exclusif pour le site de la F1.

« Nous avons le plein soutien de la haute direction. L’équipe n’est absolument pas à vendre. Nous continuerons à faire pression pour atteindre nos objectifs. » a ajouté le Français.

« Ce n’est pas une période amusante. » a poursuivi Famin. « Nous ne sommes pas là où nous voulons être en termes de performances, nous ne faisons pas le projet pour être P15 ou P16. Nous voulons être à l’avant, nous voulons développer les performances de la voiture – et nous voulons nous battre pour les podiums et pour les victoires le plus tôt possible. »

« Tout le monde [au sein du conseil d’administration] comprend que ce n’est pas un défi facile. C’est un défi très difficile – nous devons beaucoup de respect à nos concurrents. Pour avancer, nous devons placer la barre plus haut, élever notre niveau, nous devons nous améliorer. »

« Dans l’histoire, notre équipe, auparavant sous la marque Renault – au début du projet dans les années 1970, tout le monde se moquait de nous – et nous étions forts dans ces moments-là. »

« Nous voulons profiter de ces moments difficiles maintenant. Nous savons que tout le monde a des hauts et des bas. Nous sommes en mauvaise posture, mais nous profiterons de l’occasion pour être plus forts très bientôt et apporterons certainement les changements nécessaires au sein de l’équipe pour atteindre nos objectifs. »

« La voiture que nous avons maintenant est le résultat d’une gestion précédente. » a-t-il ajouté.

« Mais ce qui est important, c’est ce que nous faisons maintenant. Et je suis content de ce que nous faisons. Bien sûr, le chemin est très long et nous avons beaucoup à améliorer. »

Comme il l’avait annoncé au Grand Prix du Japon, Alpine apportera des améliorations à sa monoplace avec un nouveau package qui est attendu pour la sixième course à Miami. D’autres mises à jour sont attendues par la suite.

A court terme, l’objectif d’Alpine est de revenir « dans les points », car même si les cinq meilleures équipes bloquent le plus souvent les opportunités de marquer des points, la 6e place du championnat des constructeurs reste un objectif réaliste pour Alpine avec encore 20 courses restantes.

La F1 ne veut pas d’un calendrier avec plus de 25 courses

Alors que la Formule 1 a dévoilé cette semaine (avec beaucoup d’avance) son calendrier officiel pour la saison 2025 composé de 24 Grands Prix, le PDG de la catégorie reine, Stefano Domenicali, estime pour sa part qu’il s’agit d’un « bon nombre » et ne voit pas l’utilité d’ajouter plus de courses.

Depuis le rachat de la Formule 1 en 2016 par les Américains de Liberty Media, le nombre de courses par saison n’a cessé d’augmenter pour arriver à un record en 2024 avec pas moins de 24 Grands Prix – dont six courses Sprint – à disputer entre mars et décembre.

De nombreuses voix s’élèvent dans le paddock depuis quelques temps déjà pour souligner à quel point le rythme imposé par la Formule 1 est insupportable, mais les détenteurs des droits commerciaux ne semblent pas décidés à baisser le nombre de courses dans un avenir plus ou moins proche.

Lorsque le consultant de Canal+, Jean Alesi, demande au PDG de la Formule 1 s’il pense que 24 Grands Prix au calendrier est le maximum que puisse faire la F1, Stefano Domenicali a répondu : « Quand on pense que certaines années on a eu des problèmes pour faire dix-sept Grands Prix, aujourd’hui on en fait 24 ! »

« Je pense que vingt-quatre c’est le bon nombre, par rapport à l’intérêt que la Formule 1 a au niveau mondial. Mais techniquement, on peut en faire vingt-cinq. Mais je pense que vingt-quatre c’est le bon nombre. »

24 Grands Prix en 2025

En 2025, le calendrier comprendra également 24 courses et débutera en Australie le 16 mars et se terminera à Abou Dhabi le 7 décembre : « 2025 sera une année spéciale alors que nous célébrerons le 75e anniversaire du championnat du Monde de Formule 1 de la FIA, et c’est cet héritage et cette expérience qui nous permettent de proposer un calendrier aussi solide. » a déclaré l’Italien lors de la présentation du calendrier officiel 2025.

« Une fois de plus, nous visiterons 24 sites incroyables à travers le monde, offrant des courses, une hospitalité et des divertissements de premier ordre, qui seront appréciés par des millions de fans dans le monde entier. »

Officiellement donc, la Formule 1 semble vouloir s’arrêter à 25 courses par saison au maximum, ce qui reste tout de même un sacré défi logistique pour toutes les équipes, personnel qui travaille dans le paddock et évidemment les journalistes qui font eux aussi partie du grand cirque de la F1 tout au long de l’année.