Mick Schumacher espère toujours un retour en F1 pour 2025

Mick Schumacher a insisté sur le fait qu’obtenir un baquet en Formule 1 reste à l’heure actuelle sa priorité, alors que plusieurs équipes de la grille n’ont pas encore annoncé leur duo de pilotes pour la saison 2025 et au-delà.

L’Allemand Mick Schumacher a fait ses débuts en F1 avec l’écurie américaine Haas en 2021, mais après deux saisons compliquées pour lui, l’équipe a décidé de se passer de ses services, ce qui l’a écarté de la catégorie reine. Afin de garder un pied en Formule 1, Schumacher a accepté un rôle de pilote de réserve pour Mercedes, tandis qu’il s’est également engagé avec Alpine en Endurance.

Malgré le fait qu’il soit désormais en Endurance, Mick Schumacher a insisté sur le fait qu’il cherche toujours à revenir en Formule 1 et le jeune homme de 25 ans suit de très près un marché des pilotes très dynamique cette année et a toujours l’espoir de pouvoir se retrouver sur la grille en 2025.

« Nous devons attendre et voir, mais je pense que tout est très ouvert en Formule 1 pour le moment. » a déclaré Mick Schumacher dans un entretien accordé à Divebomb Motorsport.

« Il y a encore trois ou quatre équipes qui ont des places disponibles [Mercedes, Alpine, Stake et Visa Cash App RB] et des places non sous contrat, ce qui signifie, comme certains autres pilotes l’ont déjà dit, qu’un pilote en particulier [Carlos Sainz, ndlr] est le bouchon de la bouteille [l’entretien a eu lieu avant l’officialisation de Sainz chez Williams]. »

« Mais beaucoup d’équipes n’ont pas la pression de prendre une décision maintenant, ce qui me laisse un peu dans l’incertitude à ce sujet. »

« Bien sûr, la Formule 1 aura toujours la priorité dans tout ce que je fais, donc tant que ce n’est pas complétement fermé pour moi, j’attendrai et me concentrerai là-dessus. »

Lors de son passage en F1 avec l’équipe Haas, Mick Schumacher a marqué douze points lors de la saison 2022 [en Autriche et en Grande-Bretagne].

Vowles insiste, Williams F1 est résolument tournée vers l’avenir

Le Team Principal de Williams, James Vowles, a insisté sur le fait que lui et son équipe sont désormais pleinement tournés vers l’avenir et que le résultat de la saison en cours l’importe peu finalement.

En 2020, la famille Williams a décidé de céder son équipe au fonds d’investissement américain Dorilton Capital, mais Williams a toutefois conservé son identité et son siège au Royaume-Uni. L’arrivée de ces nouveaux propriétaires a permis à Williams de poursuivre de nombreux investissements qui étaient jusque-là en attente et la formation basée à Grove n’a désormais plus grand chose à voir avec l’équipe d’antan.

Pour James Vowles – qui a accepté de diriger l’écurie depuis la saison 2023 – la priorité est désormais l’avenir et non plus le passé : « Quand j’ai commencé, nous nous concentrions sur le présent. Nous nous concentrons désormais sur 2024, 25, 26. »

« Et d’ailleurs, nous avons également lancé un projet pour 2027. Nous avons de très bons individus qui regardent vers l’avenir – ils ne s’intéressent plus au présent. » a expliqué James Vowles dans un entretien accordé au site de la Formule 1.

« C’est pourquoi quand les gens me demandent : « Êtes-vous content ou mécontent de 2024 ? », je m’en fiche. Je déteste le dire, mais cela ne veut rien dire pour moi. J’ai adoré le fait de marquer des points à Monaco, mais je suis vraiment excité par ce qui nous attend en 2025, 2026 et 2027, car c’est là que nous investissons notre temps et nos ressources. Nous devons le faire. »

« Il y a trop de choses à changer et à défaire pour ne pas se retrouver dans une situation où nous nous concentrons seulement sur aujourd’hui. Je suis enthousiaste pour l’avenir. Sommes-nous là où j’espérais que nous serions en 2024 ? Non. »

« J’espérais que nous démontrerions au monde que nous ne reculons pas et que nous faisons quelques pas en avant, mais cela me convient car je vois que les bases de ce que nous avons fait sont suffisamment bonnes. »

Le Britannique – résolument tourné vers l’avenir – estime que 2026 (avec l’introduction des nouvelles règles en F1) sera le point de redémarrage pour son équipe à condition de pouvoir récolter suffisamment de bonnes données en 2024 et 2025 et d’arriver à utiliser tous les nouveaux outils qui entreront en fonction dans les prochains mois: « Où devons-nous être d’ici 2026 ? Nous devons avoir des données complètes sur tout. » insiste-t-il.

« Cela signifie que nous ne dépasserons plus les capacités. Cela signifie peut-être que nous ne pourrons pas être aussi grands et audacieux que nous le souhaitons, mais nous construirons la voiture selon les spécifications, les standards, avec une bonne qualité et le bon coût. »

« Nous commencerons par là et nous développerons ensuite les ressources autour de cela, y compris les installations, pour ajouter des performances. Je sais que nous pouvons y arriver en 2026. Au-delà de cela, les installations, les nouveaux simulateurs – tous ces éléments seront mis en ligne. Ils sont commandés en arrière-plan. »

« Nous dépensons de l’argent en coulisses et ces fonds apparaîtront dans les deux ou trois prochaines années. Il faudra ensuite les utiliser correctement. On ne peut pas courir avant de pouvoir marcher et nous ne marchons pas encore. »

L’argent justement, Williams bénéficie du soutien financier du fonds d’investissement américain Dorilton Capital, mais l’écurie de Grove – comme toutes les autres écuries de la grille – a également besoin de l’aide financière de sponsors. A ce titre, Vowles a indiqué que Williams est en discussion depuis quelques mois avec des entreprises importantes.

« À Monaco et à Miami, nous avons eu environ quatre ou cinq discussions sérieuses avec des sponsors en titre. Il ne s’agit pas de prospects potentiels, mais d’un ou deux pas au-delà, où l’on entre réellement dans le vif du sujet. Ce n’est pas un mais plusieurs – quatre ou cinq. J’espère que d’ici le début de l’année prochaine, tout sera réglé. » a-t-il insisté.

Alors qu’il mène une véritable révolution chez Williams depuis son arrivée, James Vowles sait qu’il reste encore un long chemin à parcourir pour revenir aux avant-postes, mais le Britannique se dit « heureux » d’être à la tête de l’une des plus grandes écuries de la grille.

« Je me lève chaque matin avec une immense joie de faire partie du projet. Il y a des jours différents – parfois je me réveille et je me dis : « il y a tant à faire ! ». Mais ce que j’apprécie, c’est que nous faisons une différence tangible et réelle et que l’on peut voir l’impact de cette différence presque quelques heures après avoir pris la décision. »

« C’est sans aucun doute la partie la plus agréable. Il faut beaucoup de travail en peu de temps pour que cela devienne un succès. Mais il y a aussi de vraies raisons pour lesquelles les gens devraient être heureux ici. »

A partir de 2025, l’équipe Williams pourra compter sur un tout nouveau duo de pilotes avec Alex Albon, dont le contrat a été récemment renouvelé, et Carlos Sainz qui rejoindra l’écurie à la fin de la saison 2024.

Daniel Ricciardo : « Je devais me ressaisir »

Daniel Ricciardo a admis que son début de saison n’a pas été à la hauteur des attentes de son équipe, mais l’Australien a su se ressaisir en retrouvant le chemin des points avant le début de la trêve estivale, ce qui lui a très certainement permis de conserver son baquet pour le reste de la saison. 

L’avenir de Ricciardo chez Visa Cash App  RB a été remis en question à plusieurs reprises depuis le début de l’année, notamment parce que le pilote australien a connu une première partie de campagne difficile comparé à son coéquipier Yuki Tsunoda.

Après le Grand Prix de Belgique où Ricciardo a franchi la ligne d’arrivée à la onzième place, avant d’être finalement classé dixième une fois la disqualification de George Russell actée, l’Australien a dressé un bilan plutôt positif de ses dernières courses et a estimé qu’il a su se ressaisir à temps.

« J’aurais aimé que ma première moitié de saison soit solide, mais ce n’était pas le cas. » a déclaré Daniel Ricciardo après l’arrivée du Grand Prix de Belgique.

« J’ai évidemment eu des difficultés lors de la première moitié de la saison, et il était clair que je devais me ressaisir et trouver quelque chose. Quand on regarde en arrière, probablement depuis Montréal, la pression a commencé à monter [notamment après les propos tenus par Jacques Villeneuve].

« Mais à part Silverstone – qui a été un peu une exception – j’ai l’impression que les [dernières] courses ont été un peu plus en phase avec ce dont je suis capable, et j’ai l’impression de quitter le week-end [à Spa] en me sentant plus satisfait et épanoui. »

Comme dans un top casino en ligne, où chaque mise peut tout changer, Ricciardo semble avoir joué gros à chaque Grand Prix, et sa ténacité commence enfin à porter ses fruits.

« C’est important d’avoir réussi à le faire [à marquer des points], cela me permet de rentrer dans la trêve avec beaucoup plus de dynamisme. Je suis juste impatient de revenir à Zandvoort [la première course après la pause]. »

Juste avant la trêve estivale, Christian Horner – le directeur de Red Bull – a confirmé que Ricciardo terminerait la saison 2024 au volant de la Visa Cash App RB, alors qu’une autre évaluation de ses performances aura lieu en fin d’année pour savoir si le contrat de l’Australien sera renouvelé pour l’an prochain.

Williams a besoin du niveau d’exigence de Carlos Sainz pour avancer

Peu après le Grand Prix de Belgique, l’équipe Williams a confirmé la signature de Carlos Sainz pour au moins deux saisons à partir de 2025, ce qui signifie que le pilote espagnol fera équipe avec le Thaïlandais Alexander Albon.

Interrogé sur l’arrivée imminente de Carlos Sainz chez Williams, Dave Robson – responsable de la performance au sein de l’écurie britannique – a expliqué comment l’Espagnol pourrait changer toute la dynamique de l’équipe et aider ainsi Williams à retrouver le sommet de la grille en Formule 1.

« Je pense qu’il y a quelques choses qui vont être un peu intimidantes pour nous en tant qu’ingénieurs. » a déclaré Dave Robson, cité par le site du championnat.

« Je pense qu’il ne fait aucun doute que c’est une excellente nouvelle pour nous et un véritable signal d’intention qui va certainement améliorer les choses. »

« Je pense que Carlos lui-même, et je ne le connais pas vraiment en tant que personne, mais je sais qu’il a la réputation de vraiment diriger tout… Enfin, de conduire tout le monde très dur pour sortir tout le potentiel de la voiture. Il va être exigeant, j’en suis sûr, et nous en avons besoin. »

Dans un environnement aussi compétitif que la Formule 1, la rigueur et la stratégie sont essentielles — tout comme dans le monde du casino en ligne argent réel, où les joueurs expérimentés cherchent à maximiser leurs gains en s’appuyant sur des décisions calculées et une bonne gestion du risque.

Dave Robson estime également que Sainz va inévitablement pousser Alex Albon dans ses derniers retranchements dès l’an prochain, ce qui sera également bénéfique pour l’équipe qui aura alors deux pilotes très compétitifs.

« Je sais depuis mes débuts chez Williams, quand nous avions Felipe [Massa] et Valtteri [Bottas], ou avant cela chez McLaren, que lorsque vous avez deux pilotes qui se poussent l’un et l’autre et qui se battent pour les positions importantes qui rapportent des points, alors cela devient beaucoup plus difficile. » a-t-il poursuivi.

« C’est juste plus difficile sur le muret des stands quand vous avez deux voitures qui s’affrontent directement. Il n’y a évidemment aucune raison de penser que ça va mal finir, cela se terminera bien, mais ce sera certainement très différente de ce à quoi nous sommes habitués. »

Enfin, Robson a ajouté que 2025 sera une année d’apprentissage pour Williams afin de mieux connaître Carlos Sainz et sa façon de travailler en vue de la saison 2026 et l’introduction des nouvelles règles. 

« Je pense qu’en vue de 2026, nous devons utiliser l’année prochaine….il y aura beaucoup de travail d’ingénierie à faire pour mieux comprendre la voiture et la rendre plus rapide. » a-t-il ajouté.

« Une grande partie du processus d’apprentissage de l’année prochaine consistera à comprendre Carlos lui-même, à retravailler la dynamique de l’équipe sur la piste et à l’usine, afin de comprendre comment gérer deux pilotes qui sont en compétition l’un avec l’autre. »

Valtteri Bottas estime que Stake F1 se rapproche de la zone des points

Le Finlandais Valtteri Bottas estime que son équipe se rapproche désormais de la zone des points et qu’il ne manque plus que des améliorations techniques sur la C44 pour enfin parvenir à ouvrir son compteur de points cette saison.

Après les quatorze premières manches de l’année, l’écurie Stake (future équipe Audi) est la seule de la grille à ne pas avoir marqué le moindre point au championnat du monde, alors qu’il reste encore dix Grands Prix à disputer et trois courses Sprint au programme.

S’exprimant après le Grand Prix de Belgique où il a été classé quinzième (une fois la disqualification de Russell actée), Valtteri Bottas a estimé que son équipe devrait être en mesure de marquer ses premiers points de l’année au cours de la deuxième partie de saison : « Le point positif [du GP de Belgique] est que nous avions à nouveau l’impression d’être dans une meilleure position avec le rythme de course par rapport à la concurrence, mais ce n’est toujours pas assez pour un top dix. » a déclaré le Finlandais.

« Nous avons essayé une stratégie différente [en réalisant un deuxième arrêt en fin de course], mais cela n’a pas vraiment porté ses fruits. Mais comme je l’ai dit, c’était un peu mieux que lors des épreuves précédentes. »

« Je pense que nous nous rapprochons [de la zone des points], parce qu’aujourd’hui, c’était l’une des meilleures courses que nous ayons faites. »

« Nous devons simplement continuer à apporter des améliorations, c’est ce que nous devons faire, et nous devons aussi continuer à progresser dans tous les domaines. »

Après le Grand Prix de Belgique, l’équipe Stake occupe la dernière place au championnat du monde des constructeurs avec quatre points de retard sur Williams et…408 points de retard sur le leader Red Bull Racing.

Oliver Bearman espère qu’Antonelli le rejoindra bientôt en Formule 1

Le Britannique Oliver Bearman, récemment annoncé en tant que titulaire au sein de l’équipe Haas à partir de la saison 2025 de F1, espère pouvoir retrouver en catégorie reine très prochainement son actuel coéquipier en F2, Andrea Kimi Antonelli.

Antonelli – qui court cette année aux côtés de Bearman chez Prema en Formule 2 – est lui aussi pressenti pour une promotion en Formule 1 dans un avenir plus ou moins proche, notamment parce que le jeune Italien fait partie de la branche junior de Mercedes et a déjà pu tester une monoplace de Formule 1 moderne grâce à l’écurie du constructeur allemand dans le cadre de tests privés.

S’exprimant au micro de Sky Sports, Oliver Bearman – qui sera coéquipier d’Esteban Ocon chez Haas l’an prochain – a insisté sur le fait que le jeune Antonelli mérite lui aussi une place en Formule 1 : « Nous nous sommes toujours suivis et avons progressé à peu près au même moment. » a déclaré le Britannique.

« Je connais Kimi depuis longtemps, nous avons couru un peu ensemble en F4, beaucoup sur simulateur, maintenant nous sommes coéquipiers en F2. »

« J’espère qu’il sera également en F1 car il le mérite. Un jour, j’espère me battre pour un titre mondial avec lui car je pense que c’est la trajectoire que nous visons tous les deux. »

Tout comme dans le monde compétitif de la Formule 1, où seuls les meilleurs pilotes accèdent au sommet, les joueurs expérimentés cherchent constamment le meilleur casino en ligne france pour vivre des sensations fortes et miser en toute sécurité.

Pour rappel, l’équipe Mercedes n’a toujours pas annoncé quel pilote roulerait aux côtés de George Russell l’an prochain en Formule 1, ce qui laisse encore un peu d’espoir à Antonelli, même si Toto Wolff – patron de l’écurie du constructeur allemand – a déjà insisté sur le fait qu’il ne souhaitait pas bousculer les choses avec le jeune homme âgé de seulement 17 ans.

Lando Norris aurait aimé voir Sainz signer chez Red Bull

Lando Norris a réagi à l’annonce de la signature de son ancien coéquipier Carlos Sainz chez Williams, le pilote McLaren affirmant que l’Espagnol aurait dû se retrouver chez Red Bull plutôt que dans une écurie de fond de classement.

Après de nombreuses spéculations au sujet de son avenir, Carlos Sainz – qui quittera définitivement Ferrari à la fin de la saison 2024 – a finalement choisi de signer un contrat pluriannuel chez Williams à partir de la saison 2025 où il fera équipe avec le Thaïlandais Alexander Albon.

S’exprimant au micro de Sky Sports au sujet de la signature de Carlos Sainz chez Williams, Lando Norris – qui était coéquipier de l’Espagnol chez McLaren dans le passé – estime que le Madrilène aurait dû atterrir dans une écurie plus compétitive comme Red Bull ou bien Mercedes.

« Evidemment, je ne sais pas quels sont leurs plans [à Red Bull et Mercedes]. Mais la réponse la plus simple est de dire Red Bull. Il aurait dû y aller à mes yeux. » a déclaré Norris.

« Mais je ne suis pas objectif, parce que je connais Carlos plus que Checo [Sergio Perez, dont l’avenir a été remis en question chez Red Bull]. Mais Carlos mérite beaucoup [mieux]. »

« C’est l’un des meilleurs pilotes de F1, il a déjà prouvé à maintes reprises, et je suis un bon ami à lui. Mais je suis content pour lui qu’il soit toujours en F1. Je suis content qu’il ait toujours un volant et qu’il puisse essayer de ramener Williams [à l’avant de la grille]. »

« Je pense que le fait qu’il soit associé à Alex [Albon] est également une bonne chose. Bien sûr, comme beaucoup de gens, j’aurais aimé qu’il aille chez Red Bull, mais ce n’est pas à moi de prendre cette décision. »

Carlos Sainz pour sa part a indiqué qu’il est convaincu que rejoindre le projet Williams est une bonne décision : « Je suis très heureux d’annoncer que je rejoindrai Williams Racing à partir de 2025. »

« Ce n’est un secret pour personne que le marché des pilotes de cette année a été exceptionnellement complexe pour diverses raisons et qu’il m’a fallu un certain temps pour annoncer ma décision. » a déclaré Sainz.

« Cependant, je suis pleinement convaincu que Williams est l’endroit idéal pour poursuivre mon aventure en F1 et je suis extrêmement fier de rejoindre une équipe aussi historique et performante, où beaucoup de mes héros d’enfance ont piloté dans le passé et ont laissé leur marque dans notre sport. »

Albon attend avec impatience des améliorations techniques chez Williams

Alex Albon espère que Williams sera en mesure d’introduire sur sa monoplace sa véritable première « mise à niveau » de 2024 peu après la reprise de la saison, le Thaïlandais expliquant que l’équipe a été « sur la défensive » jusqu’à présent.

Après les quatorze courses disputées jusqu’à présent, l’équipe Williams a marqué quatre points, ce qui signifie que l’écurie britannique occupe à la pause estivale la neuvième place au championnat du monde des constructeurs, juste devant Stake F1.

S’exprimant après le Grand Prix de Belgique où il a franchi la douzième place à l’arrivée de l’épreuve, Alex Albon a expliqué que Williams a désormais besoin d’introduire des mises à jour conséquentes pour espérer marquer plus de points en deuxième partie de saison. 

« Nous n’avons pas eu beaucoup, voire pas du tout, d’améliorations cette saison, donc nous sommes sur la défensive. » a déclaré Alexander Albon.

« Nous travaillons dur à l’usine, tout le monde travaille très dur… Bien sûr, il y a une petite pause en ce moment, mais le temps nous le dira. »

« Si nous pouvons apporter une première véritable amélioration à la voiture à notre retour, je pense que nous pourrons nous battre pour des points un peu plus régulièrement. Mais pour l’instant, je pense que nous n’aurions pas pu faire mieux aujourd’hui [à Spa] que la 13e ou 12e position. »

« Je pense que nous avons été sur la défensive dès le début [de saison]. Nous avons été en retard avec notre voiture et nous en avons payé le prix toute la saison jusqu’à présent. »

« Nous travaillons dur, je pense que nous avons de bonnes choses pour l’avenir. » a ajouté le pilote Williams.

« En même temps, nous avons des domaines sur lesquels nous devons travailler. Nous allons profiter de cette pause pour réfléchir et nous concentrer sur le développement, pas seulement pour cette année, mais surtout pour l’année prochaine. »

L’année prochaine justement, Alex Albon fera équipe avec l’Espagnol Carlos Sainz dont l’arrivée a été annoncée au lendemain du Grand Prix de Belgique. 

Officiel : Andrea Stella reconduit à la tête de McLaren F1 pour plusieurs années

McLaren Racing a annoncé aujourd’hui une prolongation de plusieurs années du contrat d’Andrea Stella en tant que directeur de l’équipe McLaren de Formule 1.

Depuis qu’il a pris le poste de Team Principal en décembre 2022, l’équipe a progressé rapidement sous sa direction, remportant deux victoires en Grands Prix, 18 autres podiums en Grands Prix et une victoire en Sprint. Avant de rejoindre l’équipe en 2015, Andrea Stella a commencé sa carrière chez Ferrari, en tant qu’ingénieur des performances pour Michael Schumacher et Kimi Räikkönen, puis en tant qu’ingénieur de course pour Räikkönen et Fernando Alonso au cours de son mandat de 15 ans.

« C’est un privilège de faire partie de l’équipe McLaren de Formule 1, et je suis honoré de continuer à assumer mon rôle de directeur d’équipe. » a déclaré l’Italien.

« Nous avons fait de grands progrès au cours de la dernière année et demie et nous avons encore beaucoup de travail à faire pour se battre constamment en tête de la grille, ce qui pose un défi passionnant. »

« Le succès passe par le travail de l’équipe en synergie, et j’apprécie mon rôle, qui m’a permis d’aider à libérer les talents individuels et à donner aux gens les moyens de travailler ensemble pour atteindre notre but. »

« Mes remerciements vont à Zak [Brown, PDG de McLaren] pour sa confiance en tant que leader, à toute mon équipe de direction et à tous mes collègues de l’équipe, pour leur collaboration et leur soutien continus. Je suis enthousiasmé par ce que nous pouvons continuer à accomplir ensemble. »

La durée exacte du nouveau contrat signé par Andrea Stella n’a pas été communiquée par l’équipe McLaren.

Christian Horner : « Tout le monde veut voir Perez réussir »

Le patron de Red Bull, Christian Horner, a insisté sur le fait que « tout le monde » au sein de l’équipe souhaite voir Sergio Perez réussir à performer, alors que l’avenir à court terme du Mexicain a été remis en cause au cours des dernières semaines.

Au lendemain du Grand Prix de Belgique, l’équipe Red Bull a confirmé que Sergio Perez restera bien aux côtés de Max Verstappen jusqu’à la fin de la saison 2024. Cette décision intervient après que les dirigeants de Red Bull se sont rencontrés ce lundi 29 juillet pour discuter de l’avenir de Sergio Perez suite à une série de performances décevantes. Le directeur de l’équipe, Christian Horner, a annoncé la nouvelle aux employés de l’usine immédiatement après cette réunion.

S’exprimant juste avant cette annonce, Christian Horner a déclaré que ce ne sont pas seulement les résultats de Perez qui doivent être pris en considération, mais bien plusieurs facteurs : 

« Bien sûr, il faut prendre en compte beaucoup de choses, mais il y a eu un excellent partenariat entre les deux pilotes« , a déclaré Christian Horner. « Checo a un excellent esprit d’équipe, c’est vraiment un homme d’équipe, et c’est pourquoi il a été sélectionné. C’est pourquoi nous l’avons pris fin 2020 pour le mettre aux côtés de Max. »

« Il a remporté six, sept courses pour nous, deuxième au championnat du monde l’année dernière, Dieu sait combien de podiums… c’est la combinaison la plus réussie que nous ayons jamais eue comme duo de pilotes.« 

« Et puis, c’est frustrant pour tout le monde de voir Checo en difficulté parce que aucun d’entre nous ne veut le voir comme ça. Tout le monde veut le voir réussir. L’équipe l’a soutenu et le soutient toujours. Tout le monde veut le voir réussir, parce que ça fait mal de le voir dans la situation dans laquelle il se trouve. » a déclaré le team principal Red Bull.

Le Britannique avait admis après la course que Red Bull projetait de voir au moins Sergio Perez sur le podium à l’arrivée du Grand Prix de Belgique ce dimanche – où il s’était élancé de la première ligne – et qu’il avait été surpris par la façon dont le pilote mexicain avait perdu du terrain pour ne franchir la ligne d’arrivée qu’en huitième position, regagnant finalement une place suite à la disqualification de George Russell.

« Checo a connu des difficultés au cours des dernières courses, et ce qui est si déroutant pour nous, c’est que la saison a très bien commencé pour lui, puis s’est essoufflée. Il a fait un excellent travail, un super travail en qualifications. Évidemment, nous devons passer en revue tout ça et comprendre les problèmes rencontrés en course. Nous avons donc le temps de le faire, de l’analyser et de travailler avec lui.« 

Tout comme dans les moments d’incertitude sur une table de jeu dans un site casino en ligne, l’avenir d’un pilote peut basculer en une course. Avant le Grand Prix des Pays-Bas programmé fin août à Zandvoort, Sergio Perez occupe la la septième place au championnat du monde des pilotes avec 131 points marqués, soit 146 points de moins que son coéquipier Max Verstappen, actuel leader du championnat.

James Vowles surpris que Mercedes et Red Bull n’aient pas choisi Sainz

Le Team Principal de Williams, James Vowles, s’est dit très surpris de constater que Red Bull et Mercedes n’aient pas saisi l’opportunité de signer Carlos Sainz lorsque l’Espagnol était encore disponible sur le marché des pilotes.

Au lendemain du Grand Prix de Belgique, l’équipe Williams a confirmé la signature de l’Espagnol Carlos Sainz dans le cadre d’un contrat de deux années, ce qui veut dire que le Madrilène fera équipe avec le Thaïlandais Alex Albon à partir de la saison 2025.

Mais alors qu’il a récemment indiqué avoir entamé les discussions avec Sainz dès la fin de l’année dernière, James Vowles a admis sa surprise de constater que ni Mercedes ni Red Bull n’ont tenté de s’assurer les services de l’Espagnol au cours des derniers mois.

« Je le considère comme l’un des quatre meilleurs pilotes voire quelque fois le numéro deux sur la grille. Pourquoi ne voudriez-vous pas de lui dans votre écurie? »

« Mon point de vue c’est que, fondamentalement, les concurrents se rapprochent de plus en plus, donc le pilote peut faire la différence… et je ne parle pas seulement en termes de performances. Regardez Carlos et regardez toutes les équipes dans lesquelles il a évolué – elles se sont considérablement améliorées. Et je comprends pourquoi, après avoir passé les neuf derniers mois à lui parler au moins une fois par semaine, voire quotidiennement. »

« Carlos est une machine à performances. Il fera absolument tout ce qu’il faut pour non seulement se transformer lui-même, mais aussi l’équipe qui l’entoure en même temps. »

« Et c’est puissant, cela vaut plus que sa façon de conduire la voiture, cela vaut la peine de faire avancer l’équipe dans le même sens. »

Au sujet de Red Bull, James Vowles reconnait avoir été étonné du choix de l’équipe autrichienne de maintenir Sergio Perez aux côtés de Max Verstappen pour les deux prochaines saisons au détriment de Carlos Sainz qui était pourtant disponible sur le marché des pilotes.

« Quand vous êtes dans la position de Red Bull et que vous avez un championnat du monde des constructeurs en jeu, c’est toujours une décision difficile, mais oui, j’aurais mis Carlos aux côtés de Max [Verstappen]. » a déclaré Vowles, cité par Racer.

« Si Red Bull a décidé de faire cela, encore une fois, il y a des raisons derrière que je ne connais pas, ils sont plusieurs fois champions du monde et ils ne prennent pas les décisions à la légère. Mais j’ai été surpris. »

Du côté de chez Mercedes, le départ du septuple champion du monde Lewis Hamilton force l’écurie du constructeur allemand à trouver un remplaçant à partir de la saison 2025. Plusieurs noms ont été évoqués dont celui de Carlos Sainz mais Mercedes semble plutôt vouloir se tourner vers l’avenir avec notamment le jeune Andrea Kimi Antonelli accessoirement pilote junior de Mercedes qui a déjà réalisé plusieurs tests au volant d’une F1 moderne.

« Si vous êtes chez Mercedes, c’est aussi un choix difficile. Ils ont hésité entre la possibilité de ne pas être compétitifs, auquel cas il est logique d’investir dans l’avenir, ou être très compétitifs… maintenant, c’est une décision plus difficile de savoir si vous investissez dans des entités connues ou inconnues. »

« Mais cela dit, si Mercedes a pris cette décision, ils détiennent beaucoup plus d’informations que moi, il est plus que probable qu’ils soient confiants dans la direction qu’ils vont prendre. Que ce soit Max [Verstappen] ou Kimi [Antonelli], je ne suis pas sûr, mais ce que je veux dire, c’est qu’ils ne sont pas idiots, ils ont pris la décision de manière sensée. »

James Vowles a admis qu’il n’était pas sûr que l’accord serait conclu tant que Sainz n’aurait pas signé le contrat, mais il a également suggéré qu’il n’existait pas dans le contrat de clause de sortie permettant à l’Espagnol de rejoindre des équipes comme Mercedes ou Red Bull dans un avenir proche.

« Il y a donc exactement 10 personnes dans le monde qui savent ce que contient le contrat », a déclaré le team principal de Williams. « Le camp de Carlos sait et je sais ce qu’il y a dedans. Tout ce que vous avez lu sur Internet n’est que pure spéculation. »

« Le message selon lequel nous sommes ensemble en 2025 et 2026 et au-delà ne vient pas de moi, il vient de Carlos. Il voulait que ce soit très clair pour vous tous, pour le monde, qu’il est engagé et que c’est là qu’il veut être. »

L’espagnol Carlos Sainz quittera officiellement la Scuderia Ferrari après la dernière course de la saison programmée en décembre à Abou Dhabi. Il rejoindra alors sa nouvelle écurie Williams, très certainement lors des tests pneumatiques sur le tracé de Yas Marina. 

Disqualification de Russell : Mercedes livre ses premières conclusions

L’équipe Mercedes a expliqué les raisons pour lesquelles la monoplace de George Russell a été pesée en dessous du poids minimum autorisé en F1 dimanche dernier après l’arrivée du Grand Prix de Belgique, ce qui lui a valu une disqualification.

Juste après l’arrivée du Grand Prix de Belgique, les commissaires de course ont pesé la Mercedes de George Russell avant de prélever un échantillon de carburant. La première pesée indiquait un poids de 798 kilos, ce qui est le poids minimum requis par la règlementation technique.

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Après cette première pesée, 2,8 litres de carburant ont été retirés du réservoir de la Mercedes de Russell, mais la monoplace n’a pas été « entièrement vidangée » a indiqué le délégué technique de la FIA, Joe Bauer, dans son rapport. La voiture a été de nouveau pesée sur les balances FIA et le poids était de 796,5 kg.

Comme ce poids est inférieur de 1,5 kg au poids minimum requis par l’article 4.1 de la réglementation technique, et qui doit également être respecté à tout moment pendant la compétition, ce problème a été remonté aux commissaires sportifs pour examen. Ces derniers ont confirmé la non-conformité de la Mercedes W15 de Russell et ont acté la disqualification du Britannique.

S’exprimant quelques jours après la disqualification de Russell, le directeur de l’ingénierie chez Mercedes, Andrew Shovlin, a expliqué : « C’était évidemment très décevant et malheureux, surtout après qu’il [Russell] ait fait une course aussi solide pour gagner en partant de si loin. » a déclaré le Britannique.

« Nous essayons de comprendre exactement ce qui s’est passé. Une grande partie de cela consiste à obtenir le poids de tous les différents composants. »

« La voiture peut perdre beaucoup de poids pendant la course. Les pneus, les patins [de contrôle sous la voiture], les freins, la consommation d’huile y contribuent. Le pilote lui-même peut perdre beaucoup de poids, et dans cette course en particulier, George a perdu pas mal de poids. »

« Les voitures [les deux Mercedes] ont commencé la course avec le même poids. Lewis et George ont tous deux été pesés après les qualifications. Les voitures avaient le même poids à 500 grammes près. La voiture de George était la seule à avoir eu ce problème, et c’est parce que des éléments comme l’usure des pneus étaient beaucoup plus élevée. »

« Il semble que nous ayons perdu davantage de matière sur la planche. Nous allons néanmoins collecter toutes ces données et voir comment nous pouvons affiner nos processus car nous ne voulons clairement pas que cela se reproduise à l’avenir. »

Concernant l’impact sur les performances qu’aurait pu avoir le poids inférieur de la monoplace de Russell, Shovlin a ajouté : « En termes de rythme au début de la course, il est nul car la voiture de George et celle de Lewis démarrent la course avec le même poids. »

« Bien sûr, comme la voiture de George a perdu du poids plus vite que celle de Lewis tout au long de la course, il y a un gain associé à cela. Mais on parle de centièmes de seconde par tour. C’est très faible car lorsque l’on parle de quantités comme un ou deux kilos, cela ne représente pas beaucoup de temps au tour. Mais comme je l’ai dit, au départ de la course, les voitures avaient le même poids. »

Malgré cette disqualification, Mercedes dresse tout de même un bilan très positif du Grand Prix de Belgique avec une W15 ayant affiché un rythme très prometteur dans des conditions chaudes : « C’était un moment doux-amer. » a ajouté Shovlin.

« C’était une fin de course fantastique. Réussir à faire le doublé était un véritable exploit, surtout après un vendredi très difficile. »

« Mais dans l’ensemble, au-delà de la déception, l’équipe est vraiment encouragée par la performance. L’équipe d’ingénieurs a fait un excellent effort pour que la voiture soit aussi performante en course. C’était aussi encourageant pour nous, car les circuits chauds n’ont pas été notre point fort cette année. »

« La piste était assez chaude en Belgique et nous avons pu très bien performer, notamment sur les longs relais. George a évidemment fait l’un des plus longs relais de tous les temps. Il y a eu beaucoup de points positifs, c’est sûr, et c’est juste dommage que nous n’ayons pas pu conserver ce résultat. »

Après le Grand Prix de Belgique, l’équipe Mercedes occupe la quatrième place au championnat du monde des constructeurs avec 79 points de retard sur McLaren.

La pluie gâche la dernière journée d’essais Pirelli à Spa

Pirelli a conclu ses deux journées de test sur le circuit de Spa-Francorchamps en Belgique, des essais auxquels ont participé les équipes Aston Martin et Alpine. 

Après une journée ensoleillée hier à Spa-Francorchamps, les prévisions annonçaient une nouvelle journée sèche aujourd’hui, ce qui aurait permis de poursuivre sans interruption le travail de développement des nouveaux composés slicks pour 2025. Cependant, à partir de 8 heures du matin, le ciel s’est progressivement couvert, puis il s’est mis à pleuvoir à 10 heures, parfois assez fort.

Les ingénieurs Pirelli présents sur le circuit, en concertation avec les deux équipes présentes, Aston Martin et Alpine, ont donc modifié le programme de la journée. Seul Stoffel Vandoorne, le pilote de réserve Aston Martin sélectionné pour cet essai, a effectué le programme de secours convenu au préalable, en se concentrant sur le développement des pneus extrêmes et intermédiaires.

Le Belge a effectué 71 tours, principalement sur piste mouillée, même si le meilleur temps de 1’48 »342 a été réalisé sur piste sèche. Le test consistait à comparer différentes solutions en termes de construction et de sculpture de la bande de roulement sur une piste particulièrement difficile comme Spa. Avant que la pluie ne tombe, l’Australien Jack Doohan était également en piste avec l’Alpine, effectuant seulement 15 tours, le meilleur temps en 1’45 »569.

La prochaine séance d’essais, prévue pour 2025, aura lieu la semaine suivant le Grand Prix d’Italie, les 3 et 4 septembre. Trois équipes, Red Bull Racing, Racing Bulls et Mercedes, seront présentes sur le circuit de Monza pour soutenir Pirelli.

Fernando Alonso prend son résultat à Spa « comme une victoire »

Neuvième à l’arrivée du Grand Prix de Belgique, l’Espagnol Fernando Alonso a ensuite été classé huitième une fois la disqualification de George Russell actée par la FIA. Bien qu’il termine cette quatorzième course de l’année loin du podium, le double champion du monde se montrait toutefois satisfait du résultat après une première partie de saison mitigée pour Aston Martin comparé à 2023.

« Je suis content du résultat. Je pense que les quatre premières équipes sont hors de portée, comme nous le savons, donc la neuvième place est une victoire pour nous. Ces deux points sont bons à prendre. » a déclaré Fernando Alonso après l’arrivée du Grand Prix de Belgique.

« Je pense que le rythme n’était pas très bon durant toute la course, mais l’équipe a fait un très bon choix de stratégie avec un seul arrêt comme Russell. C’était clairement la stratégie à suivre, donc au final, nous avons pris ces points. »

Tout comme dans le monde du meilleur casino en ligne de France, où la bonne stratégie est essentielle pour remporter la victoire, Alonso et son équipe ont su prendre les bonnes décisions pour maximiser leurs chances de succès sur la piste.

Alors que la Formule 1 entame sa traditionnelle trêve estivale de quinze jours, Fernando Alonso espère que cette période sera l’occasion pour son équipe de se ressourcer et de revenir en meilleure forme dès la rentrée des classes fin août.

« Les six dernières semaines ont été intenses. Nous avons eu cinq courses, nous avons aussi eu le festival de Goodwood au milieu, donc six week-ends consécutifs [sur les routes]. » a ajouté le double champion du monde.

« Nous avons vraiment besoin d’une pause, surtout les mécaniciens, tous ceux qui voyagent pour les courses consécutives. C’est bien de faire une pause maintenant, parce que la deuxième partie de l’année va être exigeante. J’espère que nous pourrons tirer des leçons de ces deux dernières courses [Hongrie et Belgique] et revenir plus forts. »

Après le Grand Prix de Belgique, l’équipe Aston Martin occupe la cinquième place au championnat du monde des constructeurs avec 193 points de retard sur Mercedes.

Alpine F1 nomme son nouveau Team Principal, Oliver Oakes

L’équipe Alpine a annoncé la nomination d’Oliver Oakes au poste de Team Principal en remplacement direct de Bruno Famin, qui quittera ses fonctions à la fin du mois d’août.

Oliver Oakes prendra ses fonctions après la trêve estivale et rapportera directement à Luca de Meo, CEO Renault Group. Le Britannique âgé de trente-six ans deviendra le deuxième plus jeune Team Principal de l’histoire de la Formule 1 en prenant ses fonctions chez Alpine.

En 2015, Oliver Oakes a fondé Hitech Grand Prix, qui évolue depuis près d’une décennie aux avant-postes des compétitions monoplaces tant sur la scène nationale qu’à l’international. Champion du monde de karting en 2005, Oliver Oakes a su instiller la culture de la gagne chez Hitech Grand Prix pour s’imposer dans tous les championnats disputés par l’équipe et contribuer à la progression de la carrière de certains des plus éminents pilotes d’aujourd’hui.

« Je suis extrêmement reconnaissant envers Luca de Meo et Flavio Briatore de me donner l’opportunité de ramener Alpine F1 Team sur la voie de la compétitivité. » a déclaré Oakes.

« L’équipe est composée de personnes talentueuses et dispose d’excellentes ressources. Je suis convaincu que nous pouvons accomplir énormément de choses ensemble pendant le reste de cette saison et à plus long terme. J’ai hâte de commencer après la trêve estivale. »

« Je suis ravi que nous ayons pu recruter Oli Oakes pour notre projet F1. » a ajouté Flavio Briatore, conseiller exécutif d’Alpine.

« Oli est extrêmement talentueux et possède un solide palmarès en matière de leadership et de succès en sport automobile. Sa nomination à ce poste est un excellent exemple de notre force et de notre confiance en notre équipe et envers les jeunes talents, et je me réjouis de travailler en étroite collaboration avec lui dans notre but commun de progresser dans la hiérarchie et de remporter des courses. »

L’arrêt au stand raté de Piastri à Spa-Francorchamps s’est avéré coûteux

Le Team Principal de McLaren, Andrea Stella, a reconnu que l’arrêt au stand raté sur la monoplace d’Oscar Piastri au Grand Prix de Belgique s’est avéré coûteux pour l’Australien, l’empêchant très certainement de rattraper les deux pilotes Mercedes.

Alors qu’il a passé la majeure partie de la course aux avant postes dimanche dernier au Grand Prix de Belgique à la suite d’un excellent départ, Oscar Piastri a vu sa progression être ralentie lorsqu’il s’est arrêté au 31e tour avec un arrêt au stand de plus de 4 secondes, notamment parce que le pilote australien a mal positionné sa monoplace.

Dans les tours suivant son arrêt, Piastri s’est retrouvé derrière la Ferrari de Charles Leclerc, avant de dépasser le Monégasque quelques tours plus tard. L’Australien s’est ensuite retrouvé à un peu plus d’une demi-seconde de la Mercedes de Lewis Hamilton en troisième position. Piastri finira par franchir la ligne d’arrivée à cette place, avant d’être classé deuxième une fois la disqualification de George Russell actée.

Réfléchissant après course à l’impact de cet arrêt au stand raté, Andrea Stella a expliqué : « Je pense que cette perte d’une demi-seconde ou d’une seconde lors de l’arrêt au stand s’est finalement avérée coûteuse, notamment parce qu’il aurait pu se retrouver derrière Leclerc plus tôt avec des pneus frais, ce qui veut dire qu’il aurait pu finaliser son dépassement plus facilement. »

« Nous devons travailler avec les pilotes pour qu’ils ne fassent pas trop d’erreurs, même dans les moments les plus chauds, car cela peut coûter cher. Je pense que nous avons eu quelque chose de similaire à Silverstone. »

Lorsqu’on lui demande s’il pense que Piastri aurait pu viser un seul et unique arrêt à Spa – comme ce fut le cas pour Russell – Andrea Stella a répondu : « En termes de possibilité, oui avec le recul. »

« Nous y avons réfléchi, mais nous n’étions pas convaincus que cela allait fonctionner. Si ce genre de stratégie ne fonctionne pas, cela peut devenir très, très douloureux car il était trop tard pour [changer de stratégie] et vous risquez donc de perdre beaucoup de positions. »

« Je pense que pour nous c’était assez extrême, en termes de prise de risque, car si vous vous engagez sur cette voie et que cela ne fonctionne pas, vous allez probablement gâcher une journée de course. Avec Oscar, nous pensions avoir un bon rythme et que nous étions en mesure d’utiliser un arrêt supplémentaire pour couvrir les positions. »

Grâce aux 18 points de Piastri et aux dix points marqués par son coéquipier Lando Norris à Spa, McLaren s’est encore un peu plus rapproché de Red Bull au championnat du monde des constructeurs et compte désormais 43 points de retard sur l’équipe autrichienne. 

Esteban Ocon et Stoffel Vandoorne en piste à Spa ce mardi

Esteban Ocon et Stoffel Vandoorne étaient en piste à Spa-Francorchamps ce mardi deux jours après le Grand Prix de Belgique 2024, les deux hommes ayant participé à la première des deux journées d’essais programmés par Pirelli cette semaine.

En effet, deux jours d’essais sont prévus cette semaine sur le circuit de Spa-Francorchamps, réalisés avec le soutien d’Aston Martin et d’Alpine, qui ont aligné aujourd’hui respectivement Stoffel Vandoorne et Esteban Ocon.

Le programme technique concocté par les ingénieurs Pirelli comprend la finalisation des constructions et la poursuite de la comparaison entre différentes solutions pour les mélanges les plus Durs de la gamme.

Par une journée ensoleillée, avec des températures dépassant les 50°C sur l’asphalte, le Belge Stoffel Vandoorne – qui découvrait pour la première fois l’AMR24 – a bouclé un total de 92 tours de piste avec un meilleur temps de 1’45 »561.

Esteban Ocon pour sa part a bouclé 97 tours en enregistrant son meilleur temps en 1’45 »445. Les chronos ne sont clairement pas comparables à ceux du week-end dernier, lorsque le Grand Prix de Belgique se déroulait sur le même tracé. Les essais se poursuivront ce mercredi avec Jack Doohan au volant de l’Alpine et Stoffel Vandoorne à nouveau sur l’Aston Martin.

Tout comme dans un casino en ligne argent réel, où chaque mise compte et peut faire la différence, ces journées d’essais exigent une précision extrême, chaque tour étant crucial pour affiner les réglages et maximiser la performance.

McLaren s’est encore rapprochée de Red Bull au championnat

Le Team Principal de McLaren, Andrea Stella, est ravi d’avoir une nouvelle fois marqué de nombreux points avec ses deux monoplaces au Grand Prix de Belgique, ce qui a permis à l’écurie britannique de réduire encore un peu plus l’écart avec Red Bull au championnat du monde des constructeurs.

A Spa-Francorchamps, Oscar Piastri a terminé deuxième (une fois la disqualification de Russell actée), tandis que son coéquipier Lando Norris a été classé cinquième une fois les résultats définitifs publiés. En Belgique, McLaren a marqué plus de points que Red Bull (28 contre 20) et a donc une nouvelle fois réduit son écart au championnat du monde pour revenir à 43 points de l’écurie de Milton Keynes.

Depuis le début de la saison 2024, McLaren fait preuve d’une grande cohérence avec des points marqués à chaque course par au moins un de ses pilotes, ce qui n’est pas le cas de Red Bull. Dans ce contexte, et alors qu’il reste encore dix Grands Prix à disputer (et trois courses Sprint), le Team Principal de McLaren a tenu à souligner la force cohérence de son équipe jusqu’à présent.

« Je pense que nous sommes en fait assez satisfaits du niveau de cohérence et de robustesse dont nous disposons en tant qu’équipe, la seule équipe où les pilotes ont marqué des points à chaque événement, et une fiabilité énorme jusqu’à présent. » a déclaré Stella après le Grand Prix de Belgique.

« J’ai perdu le compte du nombre de points d’affilée, c’est peut-être 10, dix podiums d’affilée. Il y a tellement d’occasions de faire mieux, mais le tableau d’ensemble est celui d’une équipe très forte et cohérente, et cela mérite d’être souligné. »

« Aujourd’hui [à Spa], vu la façon dont la course s’est déroulée, je pense qu’il est toujours important que nous gagnions des points sur Red Bull, car si vous m’aviez dit avant la course que vous alliez gagner des points sur Red Bull, je n’en serais pas si sûr car je m’attendais à ce que Verstappen s’en sorte [il a pris le départ depuis la onzième place pour terminer quatrième]. »

« Nous avons pris huit points, nous en avons 43 de retard. Je tire les leçons positives et nous continuons à travailler sur les opportunités. »

« Dans l’ensemble, McLaren a réalisé une très bonne première partie de saison. Nous sommes encore plus proches du sommet au championnat des constructeurs et nous attendons avec impatience la deuxième partie de la saison. »

Après le Grand Prix de Belgique donc, McLaren est la deuxième force de la grille avec 43 points de retard sur Red Bull Racing. 

Ferrari à « un ou deux dixièmes » de pouvoir se battre pour des victoires

Le directeur de la Scuderia Ferrari, Frederic Vasseur, dresse un bilan plutôt positif du Grand Prix de Belgique disputé sur le circuit de Spa-Francorchamps où Charles Leclerc a franchi la ligne d’arrivée à la quatrième place (transformée ensuite en podium suite à la disqualification de Russell) et Carlos Sainz a terminé à la septième place (il a lui aussi gagné une position suite à la disqualification de Russell).

S’exprimant après l’arrivée de l’épreuve, Frederic Vasseur a estimé qu’en raison des caractéristiques de la piste belge qui n’ont clairement pas favorisé Ferrari, le résultat de cette quatorzième manche de l’année n’est pas si mauvais : « Nous avons tous été surpris par la très faible dégradation des Durs et à l’inverse par la très forte dégradation des Mediums. » a expliqué Vasseur dimanche soir à Spa.

« Cela signifie que George (Russell) a eu la meilleure stratégie et derrière lui tout le monde a terminé à dix secondes, ce qui est en fait très bon pour le sport et le championnat. »

« Notre rythme général était bon et aujourd’hui nous avons pu terminer devant les deux Red Bull et une McLaren, ce qui à Spa-Francorchamps n’est pas si mal. »

Frederic Vasseur pense qu’il manque encore « un ou deux dixièmes » à la SF-24 pour pouvoir être en mesure de se battre pour des victoires à la régulière chaque week-end. 

« Je pense que ce week-end, sur un circuit potentiellement difficile pour nous, nous avons trouvé un peu plus de performance, mais il nous manque encore un ou deux dixièmes pour pouvoir nous battre à nouveau pour la victoire. » a-t-il ajouté.

« Nous allons nous concentrer sur cela dès demain et après la pause [estivale] pour augmenter notre compétitivité pour les prochaines courses. »

Le bilan de la première partie de saison de Ferrari comparé à 2023 n’est pas si mauvais en réalité puisque par rapport à la même période l’année dernière, Ferrari a montré des signes évidents de progrès.

Jusqu’à présent, cette saison, il y a eu deux victoires contre zéro en 2023 pour Ferrari et dix podiums, contre trois l’année dernière. L’an dernier, l’écurie italienne était à 312 points du leader contre 63 actuellement en occupant la troisième place au championnat du monde derrière McLaren.  En parallèle, les amateurs de sensations fortes peuvent aussi tenter leur chance sur un casino en ligne argent réel, où l’adrénaline est au rendez-vous et les gains peuvent être aussi excitants qu’un podium en Formule 1.

Pirelli choisit ses pneus les plus Tendres pour Monza, Bakou et Singapour

Pirelli – le manufacturier unique de la Formule 1 – a choisi les trois composés les tendres de sa gamme pour les trois Grands Prix programmés au mois de septembre : le GP d’Italie, celui d’Azerbaïdjan et celui de Singapour.

Dans ces trois courses, le C3 sera le pneu Dur, le C4 sera le Medium et le C5 sera le Tendre. Si les deux circuits urbains de Bakou et de Singapour constituent la scène naturelle pour les composés sélectionnés, le choix de les confirmer également pour l’épreuve de Monza pourrait créer quelques surprises.

Il convient en effet de rappeler que la piste de Monza où se déroule le Grand Prix d’Italie a été entièrement refaite, les travaux étant terminés il y a seulement quelques semaines. Ce sera donc un grand défi pour Pirelli, mais aussi pour les équipes et les pilotes, de voir comment les composés se comporteront sur le nouvel asphalte.

Les trois épreuves programmées au mois de septembre se dérouleront respectivement le 1er septembre pour le Grand Prix d’Italie, le 15 septembre pour le Grand Prix d’Azerbaïdjan et le 22 septembre pour le Grand Prix de Singapour.

Les choix de pneus de Pirelli

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